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 CINEMA :Les blessures narcissiques d'une vie par procuration
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CINEMA :Les blessures narcissiques d'une vie par procuration

VIP-Blog de tellurikwaves
  • 12842 articles publiés
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  • 1 visiteur aujourd'hui
  • Créé le : 10/09/2011 19:04
    Modifié : 09/08/2023 17:55

    Garçon (73 ans)
    Origine : 75 Paris
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    © DR - LE NOM DE LA ROSE de J.J.Annaud (1986) fin

    11/02/2013 06:59

    © DR - LE NOM DE LA ROSE de J.J.Annaud (1986)  fin


    Great film based on a great book

    Author: IvanKaramasov
    17 January 2006

    I remember this film made a huge impression on me when I first saw it in the cinema almost 20 years ago. I think I watched it three times in a couple of  months. Recently, I purchased the DVD and my memory did not prove me wrong, the film is still great. It is a quite free adaption of Umberto Eco's novel,  and if you have just recently read it, you may be irritated by all the deviations from the story of the book.

    But it is important to remember that to fit a  600-page, quite academic novel into a two-hour movie one just have to make adjustments. In fact, I have to admit that I think the movie is superior to the  book. The book is very good indeed, but to my taste slightly too dry. The movie is perhaps more "shallow", but it has a totally unique atmosphere and  an exciting plot. Sean Connery does one of his best, if not the best, role as a combination of Sherlock Holmes and a medieval philosopher.

    Very  entertaining indeed! If you buy the DVD, the extra material is almost as interesting as the movie itself. The almost two-hour interview with the director  Annaud is very inspiring, and he really comes over as almost a renaissance man. Very thoughtful, yet energetic and with a real purpose to his work. I  remember when I first saw the movie, that I felt I had never seen any movie which so convincingly pictured life in the middle ages. When we hear about  all the painstaking work that went into making the movie historically correct, this is no surprise.

     






    © DR - PERSONA d'Ingmar Bergman - 1966

    16/02/2013 16:41

    © DR - PERSONA d'Ingmar Bergman - 1966


     

    Persona

    est un film suédois d'Ingmar Bergman, sorti en 1966.

     

    Résumé
    Elizabeth Vogler, célèbre actrice au théâtre, s'interrompt brusquement au milieu d'une tirade de la pièce Électre. Elle ne parlera plus. D'abord soignée dans une clinique, son médecin l'envoie se reposer au bord de la mer en compagnie d'Alma, une jeune infirmière.Les deux femmes se lient d’amitié. Le silence permanent d'Elizabeth conduit Alma à parler et à se confier. La découverte d’une lettre dans laquelle Elizabeth divulgue cette confession à son médecin provoque alors une crise relationnelle profonde.

     

    Fiche technique
     
    Titre : Persona
    Titre original : Persona
    Réalisation : Ingmar Bergman
    Scénario : Ingmar Bergman
    Production : Ingmar Bergman
    Musique : Lars Johan Werle
    Photographie : Sven Nykvist
    Montage : Ulla Ryghe
    Pays d'origine : Suède
    Format : Noir et blanc - 1,37:1 - 35mm
    Genre : Drame
    Durée : 80 minutes
    Date de sortie : 18 octobre 1966
     
    Cast
     
    Liv Ullmann : Elizabeth Vogler
    Bibi Andersson : Alma
    Margaretha Krook : le médecin
    Gunnar Björnstrand : le mari d’Elizabeth
    *
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    © DR - PERSONA d'Ingmar Bergman - 1966 p2

    16/02/2013 16:52

    © DR - PERSONA d'Ingmar Bergman - 1966 p2


     

    Commentaire par Olivier Bitoun

    L’actrice Elisabet Vogler, alors qu’elle est sur scène à interpréter Electre, se retrouve d’un seul coup sans voix. Son mutisme se poursuit après l’incident. Après un séjour à l’hôpital, elle part en compagnie de son infirmière Alma se reposer dans sa demeure de l’île de Fårö.Persona est un film qui a « sauvé la vie » de Bergman. Le titre premier du film Cinématographe résonne comme le testament d’un cinéaste, alors que cette œuvre va consacrer la renaissance de son auteur. 

    Bergman imagine les premières images de son film alors qu’il délire, cloué sur un lit d’hôpital, atteint d’une double pneumonie. Refusant tout contact avec l’extérieur, le cinéaste se mure dans le silence et se laisse aller à ses dérives mentales. Les corps de mourants passent devant lui comme dans un songe, deux infirmières discutent et se montrent leurs mains, leur image se fondent et elles ne font plus qu’une seule et même personne, des photos de journaux de Liv Ullman et Bibi Andersson frappent Bergman par l’étrange effet de lumière qui éclaire leurs visages...

    Persona est né. De ces visions, le cinéaste tire en deux semaines un scénario, quitte son lit et une semaine plus tard démarre le tournage à Stockholm. Cette urgence, ce besoin de créer, irriguent chaque minute du film.Naît alors une tension, un désir brûlant de cinéma, une passion vorace qui donne à Persona la force et, pourrait-on presque dire, la naïveté d’un premier film.






    © DR - PERSONA d'Ingmar Bergman - 1966 p3

    16/02/2013 16:58

    © DR - PERSONA d'Ingmar Bergman - 1966 p3


     

    Commentaire par Olivier Bitoun (suite)
      
    En abordant les années 60, Bergman offre ses films les plus purs : Les Communiants, Le Silence, Persona… lignée qui s’étend jusqu’à la fin de la décennie avec La Honte. Purs au sens où le cinéaste se confronte directement à ses sujets, avec son imaginaire, sa logique propre. Bergman nous plonge directement au cœur de son monde sans plus faire appel à des formes narratives communément admises et acceptées. Ce sont ses films, son univers, son cinéma. Le cinéaste a balayé ses influences, il parle avec ses mots, s’est créé un langage propre, unique. Avec Persona, il semble aller aussi loin que possible dans cette forme de cinéma, mais l’œuvre à venir regorge tant et plus de chemins de traverse, d’expérimentations. 
     





    © DR - PERSONA d'Ingmar Bergman - 1966 p4

    16/02/2013 17:10

    © DR - PERSONA d'Ingmar Bergman - 1966 p4


     

    Commentaire par Olivier Bitoun (suite 2)
      
    Alors que l’on pouvait imaginer à l’époque que Bergman était allé au bout de sa démarche expérimentale, c’était sans compter sur la soif insatiable de découverte qui anime l’homme.Ce plaisir de créer et d’innover, jamais pris à défaut, peu d’auteurs peuvent s’en prévaloir, les plus novateurs s’emmurant bien souvent dans leurs créations et creusant les mêmes sillons.Audaces formelles, pulsions librement exprimées, refus d’une narration classique, Bergman offre avec Persona une approche de la mise en scène autant physique que mentale.Mentale, car l’île de Fårö où se déroule entièrement le film (et où Bergman se retire dorénavant) est un lieu clos que l’on peut circonscrire à un monde cerveau, celui d’Elisabet et/ou Alma. Physique tant le film est en contact direct avec le spectateur.
     





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