Analyse d'IKEN EIGA (fin)
L'intrigue est aussi moins prenante bien que ne souffrant pas réels points faibles. La comparaison avec ses deux travaux antérieurs souligne simplement une absence de chef d'oeuvre pour ce coup-ci. La surprise est toujours bien amenée et cette force de rétention d'informations fonctionne toujours mais la chute déçoit un peu.Dans ces tourments, le triangle deux femmes-un homme est bien exploité.
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Outre la responsabilité de chacun, la question du cas Dora, tampon du couple alors qu'elle aspirait à se rapprocher de Maurice – Blier -, demeure.Au final, un très bon Clouzot. Il lui manque de la densité et une chute plus sympathique pour se hisser au niveau de ses deux précédents chefs d'oeuvre.
à suivre...quand je serais d'humeur