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 CINEMA :Les blessures narcissiques d'une vie par procuration
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CINEMA :Les blessures narcissiques d'une vie par procuration

VIP-Blog de tellurikwaves
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  • Créé le : 10/09/2011 19:04
    Modifié : 09/08/2023 17:55

    Garçon (73 ans)
    Origine : 75 Paris
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    © DR -LA CITE DES FEMMES -Fellini (1980)

    18/12/2012 10:11

    © DR -LA CITE DES FEMMES -Fellini (1980)


    La Cité des femmes
    (La città delle donne)
    est un film franco-italien réalisé par Federico Fellini en 1979, sorti en 1980.

     

    La Cité des femmes a été très controversé lors de sa sortie, les critiques lui faisant plus ou moins les mêmes reproches (outrance, misogynie, incohérence du récit, mauvais goût...)  qu'à l'occasion de précédents films de Federico Fellini.
     
    En fait, sous réserve d'accepter le parti-pris de la mise en scène, le film est fascinant par son aspect symbolique et le style  adopté de la poésie onirique ; les femmes y ont en vérité le beau rôle, alors que les deux personnages masculins, Snàporaz et Katzone (joué par Ettore Manni — décédé en 1979,  année du tournage — qui tient là son dernier rôle au cinéma), sont pitoyables.(Wikipédia)
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    External Reviews





    © DR -LA CITE DES FEMMES -Fellini (1980) p2

    18/12/2012 17:27

    © DR -LA CITE DES FEMMES -Fellini (1980)  p2


    Résumé
    Bercé par les cahots du train, Snaporaz se laisse aller à regarder sa voisine. Et il se sent attiré, irrésistiblement attiré. C'est ainsi qu'à sa suite, il descend du wagon en pleine campagne, la cherche, la trouve, la cherche à nouveau parce qu'elle s'est jouée de lui, et découvre alors un hôtel immense où se tient un congrès de féministes.
     
    Là, au détour des salles, il aperçoit une parodie de la femme au foyer, une assemblée de militantes, une femme à hommes, des homosexuelles et bien d'autres femmes encore, qui l'entraînent dans un dédale d'ascenseurs, de corridors, et ne veulent pas le laisser échapper.
     
    La critique de presse frenchy
     
    Le  Canard Enchaîné
    « Fresque délirante. Monde d’illusions et de désillusions. Orage marqué par des éclairs de nostalgie et de tendresse. Cauchemar entrecoupé de beaux rêves. C’est à la fois tout  cela, le film de Federico Fellini. C’est aussi un constat de la vanité donjuanesque et de la monotonie conjugale. C’est encore un réquisitoire contre la femme-objet (…). On n’en sort  peut-être pas féministe mais on peut en sortir, si on ne l’était déjà, felliniste. Parole d’homme ».
    Jean-Paul Grousset, 12/11/1980
     
    Avant-Garde
    « Sur La Cité des femmes on a dit et on s'apprête à dire beaucoup de mal. Alors, c'est une peu difficile d'en parler, de peur d'être irrémédiablement versé dans une catégorie ou une  autre, les défenseurs de l'idéologie contre l'art, les partisans de l'art à tout prix prêts à donner n'importe quelle incartade" (…).
     
    Tour à tour Madone, mère, épouse (Fellini disait  éternelle victime et emmerdeuse), amie, symbole : nuit, étoile, lumière, montgolfière enfin qui l'emportera pour l'enfermer encore une fois dans l'obscurité de ses incompréhensions, la  femme de Fellini traverse le film, tisse un fil d'Ariane sans arriver à se cristalliser.
     
    Toutes ces images de la femme (…) n'aboutissent pas à un discours sur les femmes. On a envie de
    dire en sortant : « beaucoup de bruit pour rien » même si ce bruit a pris la forme d'un bestiaire fantastique par lequel on veut bien se laisser transporter ».
    [S.N.], 22/11/1980
     
     
     





    © DR -LA CITE DES FEMMES -Fellini (1980) p3

    18/12/2012 17:31

    © DR -LA CITE DES FEMMES -Fellini (1980)  p3


    Bernice Stegers : L'inconnue du train

     

    La Croix
    « La Cité des femmes se prête à toutes les appréciations. Féministe ? Antiféministe ? Beau ou laid ? Drôle ou non ? Comme toujours, les sarabandes felliniennes échappent à  l’analyse (…). Une fois de plus, Fellini dérange ou séduit. Pour le simple plaisir de laisser libre cours à son imagination et à son délire (…). Un film colossal, étincelant, plein de  trouvailles qui transforme la laideur en beauté et qui corrige constamment la vulgarité grâce à des clins d’œil ou à une dramatisation excessive.S’il prône une morale,elle se fonde sur l’humour, la simplicité, l’importance de l’affectivité ».
    Jeanine Baron, 26/04/1980 

    Les Echos
    « Il y a ici de visages, des images, des inventions superbes et que seul Fellini est capable de nous offrir. Moins inspiré, sans doute : on a l’impression, au bout de quinze œuvres  souvent magistrales, fulgurantes, que le maître, ici, se pastiche, se répète, bavarde, et qu’il a un peu perdu le fil d’Ariane qui, ailleurs, le menait magiquement–et nous avec lui–à  travers les tortueux dédales de ses fantasmagories de visionnaire Cela dit, même s’il coule avec d’irritants voire d’ennuyeux à-coups, quel torrent, encore ! Or le cinéma d’aujourd’hui  n’en est pas si gorgé que l’on puisse, ici, faire la trop fine bouche sans remords… »
    Annie Coppermann, 05/11/1980
     





    © DR -LA CITE DES FEMMES -Fellini (1980) p4

    18/12/2012 17:47

    © DR -LA CITE DES FEMMES -Fellini (1980)  p4


    La galerie aux portraits

     

    L’Express
    « Féministe, La Cité des femmes, ou antiféministe ? Allons, docteur Kraft-Ebing, dites-nous ! Les bacchanales de l’inconscient, les gynécées de l’imaginaire, la matriarchie utopique,  tout y est : n’espérez pas déchiffrer un quelconque message fellinien. Les femmes ? Fellini n’est ni pour, ni contre. Bien au contraire ».
    François Forestier, 01/11/1980
     
     
    Le Figaro
    « Moi, j’ai bien ri, en tous cas, à cette vision des femmes et tout ce qu’elle sous-entend. De quoi se réjouir si nous ne sommes pas féministes. De quoi nous amuser aussi, si nous le  sommes un brin. De quoi rire des hommes surtout et de tous leurs fantasmes. Se régaler de tenir une telle place dans leur vie ».
    Hélène de Turckheim, 21/03/1980
     
     





    © DR -LA CITE DES FEMMES -Fellini (1980) p5

    18/12/2012 17:55

    © DR -LA CITE DES FEMMES -Fellini (1980)  p5


    Résumé 2
    Dans un train où voyagent les époux Snàporaz, le mari aborde une inconnue dans les toilettes qui se laisse embrasser puis se dérobe et descend lorsque le convoi s'arrête en pleine campagne.Snàporaz suit cette dame et se retrouve dans une grande maison emplie de femmes tenant une sorte de congrès. Il va aller d'une rencontre étrange à l'autre, tombant notamment sur un Don Juan vulgaire, Katzone...
     
     
     
    Le Figaro
    « Federico Fellini est peut-être le seul cinéaste au monde dont l’art ne se réfère à aucune règle commune, que ce soit pour la respecter ou pour la violer, mais à sa seule imagination  créatrice, aux seuls caprices de son inspiration (…). Je dirai enfin que la question ne se pose même pas de savoir si La Cité des femmes est ou n’et pas le meilleur film de Fellini, il  est en tous cas beaucoup trop tôt pour en débattre. Ce dont je suis sûr en revanche, c’est que les féministes et les misogynes y trouveront également matière à colère et à délectation. Ce qui prouve à quel point le cinéaste se moque des unes comme des autres. Il faudra décidément revoir le film avant de se risquer à la moindre exégèse et de faire le tri  dans cette prodigieuse avalanche d’images ».
    [S.N.], 20/05/1980
     





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