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 CINEMA :Les blessures narcissiques d'une vie par procuration
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CINEMA :Les blessures narcissiques d'une vie par procuration

VIP-Blog de tellurikwaves
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  • Créé le : 10/09/2011 19:04
    Modifié : 09/08/2023 17:55

    Garçon (73 ans)
    Origine : 75 Paris
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    © DR -LA CITE DES FEMMES -Fellini (1980) p11

    18/12/2012 19:03

    © DR -LA CITE DES FEMMES -Fellini (1980)  p11


    Le Nouvel Observateur
    « La Cité des femmes, ce n’est déjà plus seulement un film, c’est l’artiste, Fellini, devenu soi-même art, devenu soi-même cinéma. Alors, il n’y a plus de voies et manières. L’énergumène Cinémafellini n’a qu’à respirer et songer, sa grâce vivifiante engendre un univers de formes,de paroles,de mouvements.Cet univers est là,il vit»
    Michel Cournot, 10/11/1980

    Le Nouvel Observateur(2)
    « La Cité des femmes n’est pas un accident, un échec abasourdissant au milieu de l’œuvre d’un génie. Comme nos maladies, il était programmé dans la vie antérieure et les films précédents de son auteur ».
    Michel Mardore, 01/10/1980

    Les Nouvelles Littéraires
    "La Cité des femmes est un film nocturne, où se rejoignent l’obscurité du ventre maternel et celle du spectacle, nuit trouée d’étoiles, de feux d’artifices, de paillettes. Nuit mystérieuse, envoûtante, où se font et se défont les fables, les mythes qui nous hantent, nous ravissent, nous bercent et nous effraient.Alors, anti féministe, La Cité des femmes ? Ni pro, ni anti. Un poème magique et dérisoire, émouvant et burlesque, d’un indécrottable rêveur fasciné par la femme insaisissable et multiforme, doublé d’un petit enfant qui cherche son pouce en s’endormant, vaguement inquiet de la nuit qui l’entoure, et le protège pourtant si bien. La nuit de l’inconscient. La nuit de l’inconscience".
    Alain Rémond, 06/11/1980

    Le Monde
    « La Cité des femmes n’est plus un film de fantasmes. C’est un film onirique, dont la mise en scène suit la logique du rêve, où l’inconscient se révèle (…). Sans morceau de bravoure, mais avec, de séquence en séquence, d’admirables idées de mise en scène, l’auteur de La Cité des femmes se livre à celles qu’il a si souvent utilisées, en leur demandant de le remettre au monde ».
    Jacques Siclier, 08/11/1980

    L’Humanité
    « La Cité des femmes est une œuvre profondément fellinienne inscrite dans un univers à la fois culturel et personnel très précisément délimité, formant une sorte de rempart à toutes les attaques ponctuelles que l’on peut diriger contre elle. Il convient d’avoir cela présent à l’esprit en allant voir le film, si l’on veut conserver la marge de disponibilité nécessaire au plaisir ».
    François Maurin, 22/05/1980

    Minute
    "Tout a long du film, on retrouve les thèmes et observations chers à Fellini. Les rêves de l’enfance marqués par les fesses cyclopéennes de la Saraghina, les fantasmes érotiques de l’adolescence, la gourmandise sexuelle de l’âge adulte, l’obsession des fêtes foraines, du cirque et de la mascarade.Passant de la truculence rabelaisienne à l’image la plus raffinée. Impudique sans jamais être vulgaire. C’est que, à l’écran plus qu’ailleurs, l’atmosphère, la laideur, la beauté, tout n’est que question d’éclairage et que, entre autres dons, Fellini a le génie de la lumière".
    [S.N.], 12/11/1980
     
    L’Humanité Dimanche
    " Fellini renvoie tout le monde dos-à-dos grâce à un rêve-cauchemar-délire. Et quel spectacle il nous offre là : douloureux et pathétique, drôle et quelque peu sournois. Je l’ai dit : entrez dans ce labyrinthe et laissez-vous errer..."
    Samuel Lachize, 07/11/1980






    © DR -LA CITE DES FEMMES -Fellini (1980) p11b

    18/12/2012 19:26

    © DR -LA CITE DES FEMMES -Fellini (1980)  p11b


    Le Journal du Dimanche

    "C’est un bavardage masturbatoire, confus, contradictoire, libérateur, visionnaire, balbutiant, intimidé, exalté, angoissé. C’est une fable après dîner d’un homme un peu ivre, le rêve d’un homme qui ne peut connaître la femme parce qu’il erre en elle comme le Petit Chaperon rouge dans le bois. Par certains côtés, ce film est la somme de tous ceux que j’ai faits, par d’autres il est une chose placentaire, vaguement indécente, pleine d’humeurs, d’obscurités, à laquelle il serait erroné de vouloir donner absolument une forme, des contours. C’est aussi un hommage au cinéma vu comme femme, initiation sexuelle, image rêvée, impalpable. Au cinéma, on est comme dans un ventre maternel, en arrêt et recueilli, plongé dans le noir, en attendant que la vie arrive de l’écran.Il faudrait aller au cinéma avec l’innocence du fœtus".

    *Fellini, propos recueillis par Lietta Tronabuoni, traduits par Patrice de Nussac, 02/11/1980 /Le Journal du Dimanche






    © DR -LA CITE DES FEMMES -Fellini (1980) p12

    18/12/2012 19:32

    © DR -LA CITE DES FEMMES -Fellini (1980)  p12


    Fellini does feminism.
    Author: squelcho
    28 June 2005
    *
    I'm not going to pretend that this is classic Fellini, or a masterpiece of Italian/European art-house cinema, but.....there's a lot going on in this movie that rewards a lengthy attention span. Mastroiani plays the archetypal middle-aged menopausal misogynist, the oldest swinger in town, calling women everything but women. Sows, mares, bitches, etc.

    Fellini effortlessly sets him up for a long slow surreal fall from grace, deconstructing his fear of women in the process. It's a temporal culture clash, as stiff monochrome macho sexism meets technicolour badass feminism head on. There's a few of Fellini's sublime production games going on in the background, most notably the orgasm orchestra that builds from the sono-portraits of Marcello's past lovers. The symbolism on display throughout is typically oblique, but it's effortlessly played for laughs in a way that few of his earlier films managed.

    I've seen most of Fellini's output, from La Strada to Ginger and Fred, and for me this movie stands out along with those two as an accessible entry point into the satirical world view of one of Italy's most interesting directors. It's certainly not a masterpiece, but it's definitely a wry look at the sexual mores of the day. And the cinematography ain't bad either.

     

     






    © DR -LA CITE DES FEMMES -Fellini (1980) p13

    18/12/2012 19:40

    © DR -LA CITE DES FEMMES -Fellini (1980)  p13


    City of Women

    Author: Martin Teller from Portland OR
    4 January 2012
    Kind of shrill and not very subtle, but nonetheless fascinating. Marcello Mastroianni plays "Snaporaz" (Fellini's nickname for the actor), who gets lost in a nightmare world where he is confronted with feminism, absurd satires of machismo and sexual fantasies and confusion. This film doesn't seem to have a very good reputation, even among Fellini fans, but I was mostly enthralled with its strange, unpredictable rhythms, visually astonishing sets,sense of humor and dreamworld logic.The cinematography (by Guiseppe Rotunno, who did a number of other Fellini films, as well as ALL THAT JAZZ, with which this picture shares some similarities) is delightful and the score is a mix of the usual carnivalesque tunes and eerie, more modern sounds... and one hell of a great Italo-disco song. Some parts are annoying or just too long, but overall it's my favorite of Fellini's later career, a surreal amusement about masculine fear and self-loathing.

     

     






    © DR -LA CITE DES FEMMES -Fellini (1980) p14

    19/12/2012 03:45

    © DR -LA CITE DES FEMMES -Fellini (1980)  p14


    Disagree with other posters -- Outstanding Movie

    Author: enigma7-3 from United States
    19 February 2007
    By the time this movie was made Women's issues were alive in the media of all industrialized nations ... This movie was meant to shock and shock it does. Its not crass ... it is very cerebral and highbrow. The character is lost in a sea of femme weapons. This movie actually depicts well the confusion and men and women in a new age. The movie is full of enticement followed by letdown and weirdness ... as is our daily lives in this new age. Have you ever heard that all a man thinks about is sex ... well this movie takes it to extremes. Its funny, scary, enticing, crazy, dreamy, wild, intellectual, modern. I think one of best of Frederico. He got better with age. The movie characters are all over the edge, too much, too weird ... its all for a point.






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