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 CINEMA :Les blessures narcissiques d'une vie par procuration
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CINEMA :Les blessures narcissiques d'une vie par procuration

VIP-Blog de tellurikwaves
  • 12842 articles publiés
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  • 1 visiteur aujourd'hui
  • Créé le : 10/09/2011 19:04
    Modifié : 09/08/2023 17:55

    Garçon (73 ans)
    Origine : 75 Paris
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    © DR -LA CITE DES FEMMES -Fellini (1980) p6

    18/12/2012 17:58

    © DR -LA CITE DES FEMMES -Fellini (1980)  p6


    Anna Prucnal :L'épouse

     

    Le Figaro (2)
    « Film brillant et profond. Comme toutes les paraboles transparentes dans leurs grandes lignes, ce film sur notre époque a aussi ses zones d’ombre, ses images chargées de symboles qui nous rappellent que tout comportement humain fondamental procède aussi de la houle des profondeurs. Film enfin servi par des acteurs dont les visages comme toujours chez Fellini racontent tout d’eux-mêmes du premier coup, mais savent en même temps maintenir l’ambigüité d’un jeu à la fois réaliste et symbolique ».
    Gérard Montassier, 05/11/1980

    *
    France Soir
    « Fellini a fait avec La Cité des femmes un film mystérieux et onirique (…). Mais l’attraction la plus fastueuse de La Cité des femmes, c’est encore Fellini lui-même qui se met tout  entier dans chaque objet, chaque personnage étant à la fois la jeune pucelle et la vieille maquerelle. Sous prétexte qu’il les montre telles qu’il les rêve et les cauchemarde, grandes,  avec des poitrines hyper développées, agressives ou maternelles, on dit que Fellini n’aime pas les femmes. Or elles sont sa raison de vivre et sa raison de filmer. Sans elles, ses films s’écrouleraient comme des châteaux de cartes ».
    Monique Pantel, 17/05/1980

    France Soir (2)
    « On en vient à se dire que Fellini n’est jamais aussi grand que lorsqu’il se cite. C’est à la fois flatteur et un peu inquiétant pour l’avenir d’une inspiration repliée sur elle-même ».
    Robert Chazal, 20/05/1980

    France Soir(3)
    « Tout en descendant vers La Cité des femmes, nous aurons ainsi l’occasion, à chaque virage, de retrouver nos émotions de La Dolce Vita, de Huit et demi,d’Amarcord. Car c’est l’enfant, l’adolescent ou l’adulte de ces chefs d’œuvre que ce nouveau film nous invite à retrouver dans cette cité délirante où le rêve devient cauchemar ».
    Robert Chazal, 05/11/1980






    © DR -LA CITE DES FEMMES -Fellini (1980) p7

    18/12/2012 18:01

    © DR -LA CITE DES FEMMES -Fellini (1980)  p7


    Fiche technique
    Scénario : Federico Fellini, Bernardino Zapponi,
    Paula Mitchell et Brunello Rondi, d'après
    une histoire des deux premiers
    Photographie : Giuseppe Rotunno
    Musique : Luis Bacalov
    Directeur artistique : Giorgio Giovannini
    Création des décors : Dante Ferretti
    Décors de plateau : Bruno Cesari et Carlo Gervasi
    Costumes : Gabriella Pescucci
    Montage : Ruggero Mastroianni
    Producteurs : Franco Rosselini,
    Renzo Rossellini et Daniel Toscan du Plantier,
    pour Opera Film Produzione
    et Gaumont International
    Genre : Poème onirique
    Format : Couleurs
    Durée : 134 minutes
    Dates de sorties :  Italie : 28 mars 1980 /
    France : 5 novembre 1980

     

     
     





    © DR -LA CITE DES FEMMES -Fellini (1980) p8

    18/12/2012 18:07

    © DR -LA CITE DES FEMMES -Fellini (1980)  p8


    Cast
    Marcello Mastroianni : Snàporaz
    Anna Prucnal : Elena Snàporaz
    Bernice Stegers : L'inconnue dans le train
    Ettore Manni : Le docteur Xavier Katzone
    Donatella Damiani : Donatella
    Jole Silvani : La motocycliste
    Fiammetta Baralla : Onlio
    Catherine Carrel : La commandante
    Marcella Di Falco : L'esclave
    Silvana Fusacchia : La patineuse
    Gabriella Giorgelli : La pêcheuse de San Leo
    Sibilla Sedat : La juge
    Alessandra Panelli : La maîtresse de maison
    Rosaria Tafuri : La danseuse
    Carla Terlizzi : Une "conquête" de Katzone
    Fiorella Molinari : La punk
    Katren Gebelein : La petite Enderbreith
    Les militantes féministes:
    Hélène Calzarelli,
    Stéphane Emilfolk,
    Dominique Labourier,
    Sylvie Matton,
    Maïté Nahyr,
    Loredana Solfizi
    Sylvie Wacrenier






    © DR -LA CITE DES FEMMES -Fellini (1980) p9

    18/12/2012 18:49

    © DR -LA CITE DES FEMMES -Fellini (1980)  p9







    © DR -LA CITE DES FEMMES -Fellini (1980) p10

    18/12/2012 18:56

    © DR -LA CITE DES FEMMES -Fellini (1980)  p10


    Télérama
    « Il faut revoir La Cité des femmes comme on ré-écoute une symphonie. La deuxième vision se révèle plus riche que la première et ainsi de suite. Certes, la profusion, la redondance contrôlée, l’excès de zèle et le grouillement des images et des thèmes provoquent une griserie qui conduit soit à la jubilation esthétique, soit au rejet pur et simple.Mais plus on explore ce film, plus on s’y perd… et plus on s’y retrouve. Bien entendu, il faut aimer les plongeons,le vertige,l’égarement et les délices de l’hallucination.Il faut accepter de considérer les délires du cinéaste pour ce qu’ils sont : des divagations très personnelles, des rêveries, des souvenirs obsessionnels.

    Quand nos propres fantasmes rencontrent ceux de Fellini, le choc est fécond. Sinon, et bien, on peut toujours regarder, écouter et essayer de comprendre les confidences d’un artiste qui s’exprime par paraboles ; on peut vibrer à ses propos en en respectant le mystère et la bella confuzione ; on peut admirer ses projections mentales sans partager son goût pour la démesure ».
    Gilbert Salachas, 05/11/1980

    Le Point
    « Pour tous ceux qui l’adopteront, La Cité des femmes est l’ouverture d’une sorte de vanne. On s’y plonge, comme Fellini lui-même (ou son alter ego Mastroianni), avec un sentiment  à la fois exaltant et excédé de perdition ».
    Robert Benayoun, 03/11/1980

    La Tribune de Genève
    « On ressort de La Cité des femmes à la fois heureux, parce que conforté dans la haute idée qu’on se fait de son auteur, et un peu déçu. Le feu d’artifice n’a pas été aussi lumineux, varié et rapide qu’on le rêvait. On espérait davantage des décors – finalement assez réduits – et de leur utilisation (…). Mais ces réserves, pour fâcheuses qu’elles paraissent, importent finalement assez peu. A demi réussie, La Cité des femmes constitue malgré tout l’une des attractions majeures de l’année ».
    Etienne Dumont, 12/04/1980

    Le Parisien
    "La Cité des femmes est une œuvre délibérément onirique, dans laquelle Fellini laisse aller son imagination et libère ses fantasmes, jusqu’au délire. Cela nous vaut une suite  d’images somptueuses ou cauchemardesques, présentées dans un désordre savant, avec cette science de la magie et du merveilleux qui caractérise l’univers cinématographique fellinien".
    André Lafargue, 08/11/1980

    Le Quotidien de Paris
    "L’homme se regarde vieillir à travers ses obsessions et la levée de boucliers de la société féminine. Fellini a presque atteint l’âge des sages. Le monde ne l’effraie plus autant, et si l’on compare ce dernier film avec Huit et demi, on sent le chemin parcouru, la distance de l’homme qui s’éloigne des enfers qui ont tourmenté sa jeunesse ".
    [S.N.], 05/11/1980






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