Résumé 2
Dans un train où voyagent les époux Snàporaz, le mari aborde une inconnue dans les toilettes qui se laisse embrasser puis se dérobe et descend lorsque le convoi s'arrête en pleine campagne.Snàporaz suit cette dame et se retrouve dans une grande maison emplie de femmes tenant une sorte de congrès. Il va aller d'une rencontre étrange à l'autre, tombant notamment sur un Don Juan vulgaire, Katzone...
Le Figaro
« Federico Fellini est peut-être le seul cinéaste au monde dont l’art ne se réfère à aucune règle commune, que ce soit pour la respecter ou pour la violer, mais à sa seule imagination créatrice, aux seuls caprices de son inspiration (…). Je dirai enfin que la question ne se pose même pas de savoir si La Cité des femmes est ou n’et pas le meilleur film de Fellini, il est en tous cas beaucoup trop tôt pour en débattre. Ce dont je suis sûr en revanche, c’est que les féministes et les misogynes y trouveront également matière à colère et à délectation. Ce qui prouve à quel point le cinéaste se moque des unes comme des autres. Il faudra décidément revoir le film avant de se risquer à la moindre exégèse et de faire le tri dans cette prodigieuse avalanche d’images ».
[S.N.], 20/05/1980