|
|
|
|
|
|
© DR - LE CLIENT de Joel Schumacher (1994) p10
09/11/2012 05:07
Distinctions
-Nomination à l'Oscar de la meilleure actrice pour Susan Sarandon en 1995. -Prix de la meilleure actrice pour Susan Sarandon, lors des BAFTA Awards en 1995. -Nomination au prix de la meilleure actrice dans un film à suspense pour Susan Sarandon, lors des Blockbuster Entertainment Awards en 1995. -Nomination au Screen Actors Guild Award de la meilleure actrice pour Susan Sarandon en 1995. -Young Artist Award du meilleur jeune acteur dans un long métrage pour Brad Renfro en 1995.
*
*
Good performances here; some plot holes
* Somehow the plot holes didn't seem so glaring in Grisham's novel. Anyway, this is one of Susan Sarandon's many excellent performances. And Tommy Lee Jones gleefully chews the scenery here. You might think he is overacting, but he is really playing a character that comes across that way. Brad Renfro was an excellent find for this part. I haven't seen him in anything else, though. I imagine his Southern accent will hurt in getting other roles. Current TV stars Bradley Whitford and Anthony Edwards were non-entities in this film. It's a good film, not great. Grade B-
Was the above review useful to you? 5 out of 8 people found the following review useful:
Enjoyable Thriller
Author: mjw2305 from England 29 December 2006
* Mark Sway (Brad Renfro) and his little brother are witnesses to the suicide of a mob lawyer. After his brother falls into a coma and he becomes the target of the mob and the federal prosecutor (Tommy Lee Jones) he is forced to hire Reggie Love (Susan Sarandon) who is an attorney with a chequered past and a courageous heart.The direction and story are both very strong, and i thought Jones and Saradon both put in great performances; and even if i did find new-comer Brad Renfro's character a little annoying at times, it wasn't at detriment to the film.The Client is a tense and dramatic thriller that has enough entertainment value to forgive it, its minor plot holes.7/10
| |
|
|
|
|
|
|
|
© DR - LE CLIENT de Joel Schumacher (1994) fin
09/11/2012 05:10
Very Absorbing, But Could Have Been More!
Author: g-bodyl from United States 22 December 2012 *
The Client is a good film with moments of extreme greatness especially for a courtroom thriller such as this. But there are also scenes where they should have been added into the editing room. The film was excellent in the beginning, slows to a crawl in the middle, and picks up in the end. If it stayed like the beginning, this film would have been flawless.
*
After a 11-year-old kid and his brother witnessed a suicide, the kid hires an attorney to help protect him and his family from threatening mafia members and a stubborn Federal District attorney.The acting is very good in this film. Susan Sarandon seemed like she was born to play this role. She was just perfect! For a kid who never acted before, Brad Renfro was brilliant as the snobby 11-year-old.
*
Overall, this is a slightly above-average crime thriller. Sarandon steals the show as her role of the attorney. Joel Schumacher directed a masterpiece compared to the Batman films he would take over afterwards. I rate this film 8/10.
| |
|
|
|
|
|
|
|
© DR - LE QUAI DES BRUMES de Marcel Carné (1938)
10/11/2012 06:20
*
*
*
*
| |
|
|
|
|
|
|
|
© DR - LE QUAI DES BRUMES de Marcel Carné (1938) p2
10/11/2012 06:39
Le Quai des brumes
est un film français réalisé par Marcel Carné en 1938, rattaché à la veine du réalisme poétique,
adapté du roman Le Quai des brumes de Pierre Mac Orlan publié en 1927.
*
*
La critique de DVD CLASSIK
Résumé
Jean (Jean Gabin) déserteur de la Coloniale arrive en camion dans la ville portuaire du Havre. Désabusé et hanté par ses souvenirs de guerre, il cherche à fuir la France. En quête d’un bateau, il fait la rencontre de personnages attachants, de petites frappes et surtout de la belle Nelly (Michelle Morgan) dont il tombe amoureux...
Analyse et critique (part 1)
Dans ses mémoires, Marcel Carné déclare : « A l ‘époque les écrans regorgeaient de comédies, musicales ou non, brillantes, ensoleillées et grouillantes de figuration. Et voilà que j’arrivais avec ma boîte de nuit vide, ma brume, ma grisaille, mon pavé mouillé et mon réverbère. » Aujourd’hui on a du mal à imaginer comment ce jeune réalisateur de 29 ans, qui n’a alors que deux films à son actif, a pu trouver le financement pour produire un projet si sombre… La genèse du Quai des brumes a été maintes fois racontée, mais il est bon d’en rappeler quelques détails : 1937, Jean Gabin, en balade dans Paris, s’engouffre dans un cinéma pour voir ce film dont sa femme ne cesse de lui parler, Drôle de drame. Il assiste alors à une représentation sifflée et conspuée par le public. Mais le comédien n’en a cure ; ébloui par le style de Carné et les textes de Prévert, il contacte son agent afin de rencontrer le réalisateur.
*
L’entretien a lieu quelques jours plus tard et Gabin lui demande s’il a un sujet à lui proposer. A l’époque, il est une immense star et le jeune Carné un illustre inconnu. Cependant, celui que le grand Jean surnommera peu de temps après « le Môme » ne se démonte pas et propose l’adaptation du roman de Mac Orlan : Le Quai des brumes. Gabin, sous contrat avec l’UFA (compagnie de production allemande), pousse les studios germaniques à accepter le scénario. Les producteurs ne prennent pas la peine de lire l’adaptation rédigée par Prévert.
*
Trop contents de faire tourner la star, ils acceptent le projet et les premiers essais ont lieu à Neubabelsberg. Mais l’ambiance des studios d’outre-Rhin est pesante et Marcel Carné renâcle à tourner ses premières scènes. Quelques jours plus tard, il reçoit une communication de l’UFA lui indiquant que le tournage est annulé. La censure a lu le synopsis et l’a jugé amoral : parmi ce comité, un certain docteur Goebbels impose des idées, prémisses de son abominable chantier destructeur...
| |
|
|
|
|
|
|
|
© DR - LE QUAI DES BRUMES de Marcel Carné (1938) p3
10/11/2012 06:46
Résumé 2 Un déserteur de l'infanterie coloniale arrive au Havre, espérant s'y cacher puis repartir à l'étranger. Dans la baraque du vieux Panama, où il trouve refuge grâce à un clochard, il rencontre le peintre fou Michel Kross, et une orpheline, Nelly.Il en tombe immédiatement amoureux. Cette dernière vit chez son tuteur Zabel, qui tente d'abuser d'elle sans arrêt. Retrouvant son envie de vivre,auprès de Nelly, Jean se croit sauvé...
*
*
La critique de DVD CLASSIK(suite)
Finalement le projet rebondit entre les mains françaises du producteur Gregor Rabinovitch, ravi de produire le prochain Gabin ! Carné peut enfin tourner l’adaptation du roman de Mac Orlan dont l’action, initialement prévue à Montmartre, est transposée au Havre. Rabinovitch et son complice Shiffrin réalisent avec retard la puissance et la noirceur du drame rédigé par Prévert. Ils essaient par tous les moyens de freiner Carné dans sa création mais rien n’y fait. Gabin soutient Carné et porte le film jusqu’à cette avant-première organisée sur les Grands Boulevards où le film connaîtra ses premières salves d’applaudissements.
*
Malheureusement,le film de Marcel Carné reste trop souvent enfermé dans le carcan de cette belle histoire. Mais la légende ne doit pas occulter le contenu extraordinaire du Quai des brumes et il est juste d’en rappeler la force moderne, poétique et prophétique qu’ont su lui insuffler le réalisateur et son équipe. Pendant les années soixante, les jeunes critiques de la Nouvelle Vague ont lapidé Carné, qu’ils considéraient comme l’antonyme de la modernité cinématographique.(les pauvres cons !)
* Son cinéma noir et blanc aux dialogues ciselés, ses plans d’une grande rigidité et son approche poétique étaient qualifiés de désuets. Mais il suffit de quelques images pour ouvrir les yeux des cinéphiles contemporains. A travers Le Quai des brumes, puis Le Jour se lève ou Les Enfants du paradis, le réalisateur français impose un style dont les héritiers sont aujourd’hui Tim Burton ou dans une autre mesure Lars Von Trier.En utilisant à merveille les décors d’Alexandre Trauner, Marcel Carné inscrit son drame dans des lieux ordinaires et dénués d’humanité : la boîte de nuit, inondée de lumière, est peuplée d’hommes et de femmes sombrant dans l’ennui.
la cabane au bord de l’eau est le refuge d’un artiste suicidaire et d’un guitariste sans illusions, et enfin, le magasin de bibelots, où aucun client ne s’aventure, est tenu par un homme qui ne comprend pas pourquoi les gens s’aiment… Cette caractérisation des décors et des personnages crée une ambiance poétique et désabusée. Certains critiques de l’époque sont subjugués par le "style Carné" qu’ils qualifient de « Réalisme poétique ».
| |
|
|
|
|