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 CINEMA :Les blessures narcissiques d'une vie par procuration
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CINEMA :Les blessures narcissiques d'une vie par procuration

VIP-Blog de tellurikwaves
  • 12842 articles publiés
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  • 1 visiteur aujourd'hui
  • Créé le : 10/09/2011 19:04
    Modifié : 09/08/2023 17:55

    Garçon (73 ans)
    Origine : 75 Paris
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    ©-DR- ORPHEE de Jean Cocteau (1950) p43

    27/12/2014 05:37

    ©-DR- ORPHEE de Jean Cocteau (1950)  p43


    External reviews

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    ©-DR- ORPHEE de Jean Cocteau (1950) fin

    27/12/2014 05:43

    ©-DR- ORPHEE de Jean Cocteau (1950)  fin


    Récompenses et distinctions(source Wiki)

    Nomination au prix du meilleur film, lors des BAFTA Awards de 1951.

    Source IMDb

    Showing all 0 wins and 2 nominations

    BAFTA Awards 1951

    Nominated
    BAFTA Film Award

    Best Film from any Source

    France.


     

    Venice Film Festival 1950

    Nominated
    Golden Lion

    Jean Cocteau

     






    ©-DR-LES ENFANTS TERRIBLES de J.P.Melville/J.Cocteau (1950)

    29/12/2014 03:47

    ©-DR-LES ENFANTS TERRIBLES de J.P.Melville/J.Cocteau (1950)


     

    Les Enfants terribles
    est un film français, adapté par Jean Cocteau d'après son roman,et
    réalisé par Jean-Pierre Melville, sorti en 1950.

     *

    Lien vers la fiche complete IMDb
    http://www.imdb.com/title/tt0042436/combined

     

      

    Résumé

    Une cour de collège dans les années 30. Au cours d'une bataille de boules de neige, Paul est blessé par Dargelos et ramené chez lui par son ami Gérard. Une fois alité, le malade est soigné par sa soeur, Elisabeth. Ils partagent la même chambre dans l'appartement de leur mère, malade. Ils se sont construits un univers chimérique régi par de sibyllins symboles. Leur chambre est un véritable sanctuaire où trône un « trésor » chargé d'une signification également connue d'eux seuls Examiné par le médecin de la famille, Paul est invité à rester au lit. Après la mort de leur mère, les deux enfants se retrouvent seuls. Elisabeth ne supporte plus de s'occuper de son frère, qu'elle trouve paresseux, désordonné et avec qui elle se chamaille continuellement. Un jour, elle décide de chercher du travail et fait la connaissance d'Agathe

     

     

      Cast

    Jean Cocteau (voix off) : le narrateur
    Nicole Stephane : Élisabeth
    Édouard Dermit : Paul
    Jacques Bernard : Gérard
    Renée Cosima : Agathe/Dargelos
    Adeline Aucoc : Mariette
    Maurice Revel : le docteur
    Maria Cyliakus : la mère
    Roger Gaillard : l'oncle de Gérard
    Melvyn Martin : Michaël
    Jean-Marie Robain : le proviseur
    Annabel Buffet : le mannequin
    Émile Mathys : le censeur
    Étienne Aubray
    Rachel Devirys
    Hélène Rémy
     
     
    Fiche technique
    Titre original : Les Enfants terribles
    Réalisation : Jean-Pierre Melville
    Scénario : Jean Cocteau et Jean-Pierre Melville
    Adaptation : Jean Cocteau d'après son roman
    Les Enfants terribles (Éditions Grasset, 1929)
    Dialogues : Jean Cocteau
    Assistants-réalisation : Claude Pinoteau,
    Serge Bourguignon, Jacques Guymont et Michel Drach
    Décors : Émile Mathys et Jean-Pierre Melville
    Costumes : Christian Dior,
    pour certains costume de Nicole Stéphane
    Maquillages : Hagop Arakelian
    Photographie : Henri Decaë
    Cadrage : J. Thibaudier
    Son : Jacques Gallois, Jacques Carrère
    Assistants-son : Dagonneau et Durand
    Montage : Monique Bonnot, assistée de
    C. Charbonneau et Claude Durand
    Musique : Johann Sebastian Bach,
    Giuseppe Torelli et Antonio Vivaldi
    Direction musicale : Paul Bonneau
    Directeurs de production : Jean-Pierre Melville et Jacques Braley
    Société de production : Melville Productions
    Sociétés de distribution : Gaumont (France),
    Théâtre du Temple (France)
    Pays d'origine : France
    Langue : français
    Format : 35 mm — noir et blanc — 1.37:1
    — son monophonique
    Genre : drame
    Durée : 109 minutes
    Date de sortie : France 29 mars 1950
    (fr) Classifications CNC : tous publics, Art et Essai
    (visa d'exploitation no 9473 délivré le 24 mars 1950)
     





    ©-DR-LES ENFANTS TERRIBLES de J.P.Melville/J.Cocteau (1950) p2

    29/12/2014 03:52

    ©-DR-LES ENFANTS TERRIBLES de J.P.Melville/J.Cocteau (1950) p2


     

    SENS CRITIQUE

    *

     

    Critique publiée par Timoroumenos le 27 mars 2013

    Jean Cocteau, tente de faire ressusciter un univers qu'il affectionne particulièrement, celui des mythes grecs à travers les tragédies antiques.Son regard de poète lui permet de démontrer un caractère sacré et mystique dans les rites implacables d'une cour d'école, avec autant de gravité que s'il s'agissait d'une tribu ancienne et obscure, qu'il convient de craindre.

    La fatalité, cette main invisible qui actionne les mécanismes scélérats d'une tragédie se fait plus palpable que jamais, est traduit par un "esprit de la chambre", qui n'agit qu'à huis clos, cet air qui donne un souffle vital à ces personnages "tout de feu et de glace, qui ne peuvent admettre le tiède"...

    Une sorte de mythe de Narcisse revisité, avec une fratrie de cette race des seigneurs, si flamboyante et si semblable jusqu'aux face-à-face filmés de profil.Un public qui aura réussi à surmonter une diction obsolète et une absence de couleurs ne peut être insensible à la force de ce souffle mystique et invisible dans un contexte bourgeois, que seul le poète peut voir et nous raconter.






    ©-DR-LES ENFANTS TERRIBLES de J.P.Melville/J.Cocteau (1950) p3

    29/12/2014 04:06

    ©-DR-LES ENFANTS TERRIBLES de J.P.Melville/J.Cocteau (1950) p3


     

    SENS CRITIQUE

     

    Critique publiée par Maqroll le 11 juillet 2013

    Un an après avoir mis en scène Les Parents terribles, d'après sa pièce, Jean Cocteau renonce à adapter lui-même son roman presque homonyme et confie la tâche à Jean-Pierre Melville, auteur indépendant (du moins à cette époque) dont ce fut le premier film de commande. Bien qu'inconditionnel de François Truffaut, je ne partage pas son avis au sujet de ce film, qui était pour lui le meilleur de Melville, tiré du meilleur roman de Cocteau. Je pense même que les deux talents se contrarient pour aboutir à un film en partie raté.

    Tout d'abord le choix des acteurs est aberrant tant ils sont éloignés de leurs personnages au niveau de l'âge. De plus, Édouard Dhermitte, amant de Jean Cocteau(également fils adoptif et légataire universel du poète) n'a aucun don pour le métier d'acteur et sa performance est pitoyable. Il réussit même à entraîner sa partenaire, Nicole Stéphane, dans un jeu aussi peu naturel et aussi forcé que le sien. L'autre réserve concerne l'utilisation du son, qui prime trop souvent sur l'image, ce qui est très surprenant de la part de Melville et prouve bien l'influence négative de Cocteau sur sa direction (Les Parents terribles étaient déjà horriblement et naturellement verbeux en tant qu'adaptationd'une pièce de théâtre).

    Enfin, les commentaires off de ce même Cocteau sont gênants, non pas tant à cause du phrasé précieux de l'auteur et de son ton emphatique (semblant ridicules aujourd'hui mais tout à fait banals à l’époque, comme le prouvent l’écoute des bandes sons des actualités de ces années-là par exemple) mais par leur effet inutile et donc redondant par rapport aux images. Cependant, reconnaissons que le film contient dans sa dernière demi-heure (disons à partir de la mort de Michael) des fulgurances magistrales - au niveau de l’image pure - dans l’exposé des passions exacerbées de cette famille au bord de l’inceste. En conclusion et malgré toutes les réserves, voilà un film très estimable, à défaut d'être le chef d’œuvre que certains ont un peu trop vite proclamé.






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