|
|
|
|
|
© DR - Rachel Ward (filmo)
05/01/2012 21:06
Avec James Woods dans CONTRE TOUTE ATTENTE (1984)
Filmographie sélective
Comme actrice
1979 : Christmas Lilies of the Field (TV) 1981 : Dynastie (série TV) : Saison (1-5) : Une petite fête entre ennemis (The Dinner Party) 1981 : Night School de Ken Hughes 1981 : L'Anti-gang (Sharky's Machine) de Burt Reynolds 1982 : Les Cadavres ne portent pas de costard (Dead Men Don't Wear Plaid) de Carl Reiner 1983 : Les oiseaux se cachent pour mourir (The Thorn Birds) (feuilleton TV) 1983 : The Final Terror d'Andrew Davis 1984 : Contre toute attente **(Against All Odds) de Taylor Hackford 1986 : Fortress 1987 : Hotel Colonial de Cinzia Th. Torrini 1987 : The Good Wife de Bruce Robinson 1989 : How to Get Ahead in Advertising de Bruce Robinson 1989 : Shadow of the Cobra (TV) 1990 : La Mort sera si douce (After Dark, My Sweet) de James Foley 1992 : Christophe Colomb : La découverte (Christopher Columbus: The Discovery) : La Reine Isabelle 1992 : illégitime défense(?) de Lawrence Schiller 1993 : Wide Sargasso Sea de John Duigan 1994 : Double Obsession de Eduardo Montes Bradley 1994 : The Ascent de Donald Shebib 1997 : My Stepson, My Lover (TV) de Mary Lambert - 1997. Rôle : Caitlin Cory 1999 : Seasons of Love (TV) 2000 : On the Beach (TV) 2001 : Attirance fatale - Qui a tué Anne-Marie F. ? 2002 : Bobbie's Girl (TV) 2002 : Johnson County War (TV) 2006 : Le Trésor de Barbe-Noire de Kevin Connor (TV) (mini-série) 2006 : Monarch Cove (série TV) 2007 : Rain Shadow (série TV)
Comme réalisatrice
2000 : The Big House (court métrage) 2000 : Blindman's Bluff (court métrage) 2003 : Martha's New Coat (moyen métrage) 2006 : Two Twisted, l'episode "Heart Attack"
| |
|
|
|
|
|
|
|
© DR -Lauren Hutton
06/01/2012 04:11
Lauren Hutton
est une actrice américaine née à Charleston (Caroline du Sud) le 17 novembre 1943. Elle est un des premiers mannequins vedettes (et ils ne sont toujours pas si nombreux) à mener une intéressante carrière d'actrice.
*
Dès ses débuts, elle tient la vedette au côté de Robert Redford, James Caan et Burt Reynolds dans des films physiques. Elle travaille avec Ettore Scola et Carlo Vanzina, Karel Reisz, Alan Rudolph et Robert Altman. Sa beauté atypique (asymétrie et strabisme selon l'intéressée) fait merveille. Après un film avec John Carpenter, Lauren Hutton est la partenaire de Richard Gere dans American Gigolo, qui remporte un franc succès
| |
|
|
|
|
|
|
|
© DR - Lauren Hutton / Filmo
06/01/2012 04:19
Filmographie
1969 : Paper Lion d'Alex March avec Alan Alda, Sugar Ray Robinson, Roy Scheider 1970 : Pieces of Dreams 1970 : L'Ultime Randonnée(?) de Sidney J. Furie avec Robert Redford, Michael J. Pollard 1971 : Permette? Rocco Papaleo d'Ettore Scola 1973 : A Time for Love de George Schaefer avec Bonnie Bedelia TV 1974 : The Gambler de Karel Reisz avec James Caan 1976 : Gator de et avec Burt Reynolds 1976 : Bienvenue à Los Angeles d'Alan Rudolph : Nona Bruce 1977 : Le Casse-cou de Gordon Douglas avec Gene Kelly, Red Buttons, Leslie Nielsen 1978 : Un mariage de Robert Altman : Flo Farmer 1978 : Meurtre au 43e étage de John Carpenter : Leigh Michaels 1980 : American Gigolo de Paul Schrader : Michelle Stratton 1980 : Marathon de Jackie Cooper (non créditée) TV 1981 : La Grande Zorro de Peter Medak : Charlotte Taylor Wilson 1981 : Paternity de David Steinberg 1982 : Hécate, maîtresse de la nuit * de Daniel Schmid : Clothilde de Watteville 1982 : Tout feu, tout flamme* de Jean-Paul Rappeneau : Jane 1983 : The Cradle Will Fall/La Clinique du Docteur H. d'après Mary Higgins Clark TV 1984 : Paper Dolls 5 épisodes 1984 : Signé : Lassiter de Roger Young : Kari von Fursten 1986 : Flagrant Désir de Claude Faraldo 1986 : Monte Carlo avec Joan Collins TV 1987 : Malone avec Burt Reynolds, Cliff Robertson 1987 : Falcon Crest 4 épisodes 1989 : Forbidden Sun 1990 : Fear avec Ally Sheedy 1990 : The Hitchhiker 1 épisode 1991 : Millions de Carlo Vanzina avec Billy Zane, Carol Alt, Jean Sorel 1991 : Guilty as Charged de Sam Irvin avec Rod Steiger, Heather Graham 1991 : Missing Pieces de Leonard Stern avec Eric Idle, Robert Wuhl 1994 : My Father, ce héros de Steve Miner 1995-1996 : C.P.W. série créée par Darren Star 21 épisodes 1998 : Studio 54 *de Mark Christopher 2007 : Nip/Tuck de Ryan Murphy : Fiona McNeil 2009 : The Joneses avec David Duchovny, Demi Moore
(Un oubli: Vampire forever (Once bitten)une comédie marrante avec Jim Carey)
Bizarrement, sa carrière américaine s'avère décevante par la suite. Ni La Grande Zorro, parodie avec George Hamilton, ni Paternity où elle retrouve Burt Reynolds, ni Lassiter avec Tom Selleck ne conforte sa place. En France, elle figure dans la comédie Tout feu, tout flamme avec Yves Montand, et s'illustre particulièrement dans deux films demeurés confidentiels mais aux critiques flatteuses : Hécate, maîtresse de la nuit, avec Bernard Giraudeau, et Flagrant Désir.
Paper Lion, son premier film, bénéficie d'une excellente réputation mais, comme d'autres, il est peu ou pas montré. Partenaire quelques années plus tard des géants Gene Kelly et Red Buttons, Lauren Hutton passe du drame à la comédie, de Eric Idle à Gérard Depardieu, de Mary Higgins Clark au Studio 54. Aux USA, elle apparaît dans des séries (Paper Dolls, Falcon Crest, Nip/Tuck) mais les films dont elle tient la vedette ont peu de retentissement.
| |
|
|
|
|
|
|
|
© DR - John Cassavetes -1- Acteur + Bio
06/01/2012 16:38
FACE AU CRIME (photo)
*
*
John Cassavetes
né le 9 décembre 1929 à New York et décédé le 3 février 1989 à Los Angeles,
est était un acteur,scénariste et réalisateur américain.
*
Il commence sa carrière comme comédien. Il endosse plusieurs rôles d'abord au théâtre puis à la télévision, dans des séries télévisées dont la plus connue est Johnny Staccato. Sa notoriété grandit lorsqu'il décide de passer au cinéma, notamment dans Face au crime (Crime in the streets) de Don Siegel. Mais c'est surtout derrière la caméra, en tant que cinéaste, que John Cassavetes va se distinguer.En 1959,il réalise Shadows, tournant avec une troupe d'amateurs et avec ses propres moyens.Le film engage le réalisateur et le cinéma américain dans la voie de l'indépendance. En rupture avec l'industrie hollywoodienne avec laquelle il a une courte et décevante expérience, son cinéma évolue vers un style qui lui est propre.
Faces, Une femme sous influence, Opening Night continuent à s'inscrire dans une dynamique de cinéma indépendant. Il libère le jeu d'acteur qu'il place au centre de son dispositif cinématographique et focalise son œuvre sur la classe moyenne américaine.Ses films révèlent le talent de son épouse Gena Rowlands et de plusieurs de ses amis tels que Peter Falk ou Ben Gazzara. Cinéaste reconnu pour son style personnel privilégiant le jeu de l'acteur, et pour sa désinvolture à l'égard de la technique cinématographique (il a souvent recours à l'improvisation, tant en ce qui concerne le jeu des acteurs que dans l'utilisation du scénario), il marque les générations suivantes de réalisateurs américains
Biographie
Débuts de carrière
John Cassavetes naît à New York dans une famille d'origine grecque; son père, originaire du Pirée, a immigré aux États-Unis à l'âge de onze ans. Il passe une enfance heureuse et fréquente dans sa jeunesse les salles obscures en compagnie de son frère. Peu intéressé par les études supérieures, poussé par ses camarades il s'inscrit à des études d'art dramatique à l'American Academy of Dramatic Arts, au début des années 50.Cette école, considérée comme prestigieuse, est alors très imprégnée des méthodes en vogue de l'Actors Studio.
Le jeu d'acteur de Cassavetes ainsi que plus tard sa direction sont influencés par les enseignements de Lee Strasberg, notamment la culture d'une relation étroite entre le comédien et son personnage. Ses études terminées, il part deux ans en tournée et travaille un temps sur Broadway. Il rencontre à la sortie d'une représentation une jeune comédienne, Gena Rowlands, qu'il épouse en 1954. Le couple aura trois enfants - Nick, Alexandra et Zoe; tous trois poursuivront une carrière au cinéma .L'acteur abandonne assez vite les planches pour le petit écran.
Ses premières apparitions sont essentiellement des seconds rôles dans des séries. Il participe à des drames télévisés parmi lesquels les émissions populaires The Philco television Playhouse, The Goodyear Television Playhouse ainsi que Kraft Television Theatre, qui sont des retransmissions (parfois, en direct) de pièces de théâtre. À cette époque, la télévision américaine est déjà un média de masse. Les chaînes entreprennent de monter des programmes auto-produits qui leur permettent de se hisser au niveau du théâtre et du cinéma, et d'acquérir ainsi leurs lettres de noblesse.
Ces émissions ont contribué à ce qui a été appelé"The Golden Age of Television "(l'Âge d'or de la télévision) aux États-Unis et qui sont vues par certains comme des programmes d'anthologie dans l'histoire audiovisuelle américaine. Plusieurs comédiens qui sont ensuite devenus célèbres, tels Eli Wallach, Grace Kelly ou encore James Dean, y ont également fait leurs premières armes. Ces productions exigeantes sur le plan professionnel marquent le début de carrière de John Cassavetes. Le travail qu'il y accomplit participe à la maturation de son jeu d'acteur. Sa collaboration avec la télévision, les liens qu'il y tisse sont plus profonds et constants que dans le théâtre auquel il ne revint que dans les années 80.
| |
|
|
|
|
|
|
|
© DR - John Cassavetes Acteur p2 + Filmo
06/01/2012 16:48
L'HOMME QUI TUA LA PEUR (photo)
Repéré lors de l'une de ses prestations télévisées, John Cassavetes décroche en 1956 un premier rôle au cinéma dans Face au crime (Crime in the streets) de Don Siegel puis dans L'Homme qui tua la peur (Edge of the city) de Martin Ritt aux côtés de Sidney Poitier.
C'est à cette occasion qu'il se familiarise avec la mise en scène cinématographique. Les deux films lui valent aussi une certaine notoriété qui lui permettra par la suite d'obtenir des engagements qui le sortiront bien souvent de ses déboires financiers.
La même année, avec un ami, Bert Lane, il monte à New York un atelier d'enseignement théâtral : le Variety Arts Studio. Les cours s'adressent initialement à des semi-professionnels, puis s'ouvrent largement au tout venant.
On y privilégie l'improvisation, le travail de groupe l'ambiance y est studieuse. Bientôt John Cassavetes éprouve le besoin de pousser d'avantage son expérience artistique; fort de ses acquis en tant que comédien et du travail accompli dans son enseignement, il décide de passer à la réalisation : il délaisse la direction de l'atelier théâtral pour se consacrer au tournage de Shadows.
*
Acteur/ Longs métrages
1951 : 14 Heures (Fourteen Hours) de Henry Hathaway 1953 : Taxi de Gregory Ratoff 1955 : Nuit de terreur (The Night Holds Terror) d’Andrew L. Stone 1956 : Face au crime (Crime in the Streets) de Don Siegel 1957 : Affair in Havana de László Benedek 1957 : L'Homme qui tua la peur (Edge of the city) de Martin Ritt 1958 : Libre comme le vent (Saddle the Wind) de Robert Parrish 1959 : Virgin Island de Pat Jackson 1961 : Too Late Blues (ou La Ballade des sans espoirs) de John Cassavetes 1961 : The Webster Boy de Don Chaffey 1963 : Un enfant attend ( A Child Is Waiting) de John Cassavetes 1964 : À bout portant* (The Killers) de Don Siegel 1967 : Les Anges de l'enfer (Devil’s Angel) de Daniel Haller 1967 : Les Corrupteurs de Brian G. Hutton, quelques jours de tournage, puis remplacé par Rip Torn) 1967 : Les Douze Salopards (The Dirty Dozen) de Robert Aldrich 1968 : Alexander the Great de Phil Karlson (téléfilm) 1968 : Rome comme Chicago (Roma come Chicago) d’Alberto De Martino 1968 : Rosemary's baby de Roman Polanski 1968 : Les Intouchables (Gli Intoccabili) de Giuliano Montaldo 1969 : Mardi, c’est donc la Belgique (If It's Tuesday, This Must Be Belgium) de Mel Stuart 1970 : Husbands** de John Cassavetes 1971 : Minnie et Moskowitz (ou Ainsi va l’amour) de John Cassavetes 1974 : Capone(?) de Steve Carver 1976 : Mikey and Nicky de Elaine May 1976 : Un tueur dans la foule (Two-Minute Warning) de Larry Peerce 1977 : A Very Special Place de Richard Donner (téléfilm) 1978 : Opening Night* de John Cassavetes (bien déprimant) 1978 : La Cible étoilée (Brass Target) de John Hough 1978 : Furie (The Fury) de Brian De Palma (ça j'ai de-tes-té!!!) 1979 : Flesh and Blood de Jud Taylor (téléfilm) 1981 : C'est ma vie, après tout ! (Whose Life Is It Anyway?) de John Badham 1982 : The Haircut de Tamar Simon Hoffs (court-métrage) 1982 : Incubus (The Incubus) de John Hough 1982 : Tempête (Tempest) de Paul Mazursky 1983 : Marvin and Tige d’Eric Weston 1983 : Fräulein Berlin de Lothar Lambert 1984 : Love Streams (ou Torrents d’amour) de John Cassavetes 1985 : King Kongs Faust de Heiner Stadler
| |
|
|
|
|