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|  | ©-DR- SECRET DEFENSE de Philippe Haïm (2008)  p1509/11/2014 11:33
 
   
 
 
	"Pendant deux ans, j’ai rencontré des personnes qui travaillent ou ont travaillé dans le monde du renseignement", explique le réalisateur. Il s’est entretenu, de façon informelle, avec un premier chef de cabinet du directeur de la DGSE, à qui il a présenté le synopsis. Puis il a dû rencontrer son successeu. 
	Les professionnels ont quand même expliqué au cinéaste que le rôle d’agent assigné à Gérard Lanvin était juste, mais que dans la réalité, vu l’importance du cloisonnement des informations, il faudrait dix personnes pour effectuer tout son travail. Une critique balayée de la main par Philippe Haïm, qui a conscience "qu’il s’agit d’une fiction et qu’il faut écrire un rôle différent pour son acteur principal". 
 
 
 
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|  | ©-DR- SECRET DEFENSE de Philippe Haïm (2008)  p1609/11/2014 11:34
 
   
 
 
	Nicolas Duvauchelle : Pierre / Aziz 
 
 
 
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|  | ©-DR- SECRET DEFENSE de Philippe Haïm (2008)  p1709/11/2014 11:37
 
   
 
 
	"Sans intervenir dans le scénario, l’armée a donné son aval pour tourner le film et faciliter les repérages", explique le lieutenant-colonel André Etancelin, qui chapeaute les tournages à la délégation à l’information et à la communication (Dicod) au ministère de la défense.Pour Jacques Arhex, directeur de production du film, "tourner avec l’armée, c’est techniquement très facile".Contrairement à d’autres pays comme les Pays-Bas, la France ne permet pas aux militaires en tenue de servir de figurants dans un film, il faut embaucher des intermittents du spectacle vêtus d’uniformes. Idem pour l’utilisation des armes à feu, qui sont louées à des sociétés privées. 
 
 
 
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|  | ©-DR- SECRET DEFENSE de Philippe Haïm (2008)  p1809/11/2014 11:39
 
   
 
 
 
 
 
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|  | ©-DR- SECRET DEFENSE de Philippe Haïm (2008)  p1909/11/2014 11:43
 
   
 
 
	Dans le cadre de la toute nouvelle Agence pour la valorisation des actifs immatériels de l’Etat, le ministère de la défense vient d’être désigné pilote de tous les ministères pour faire entrer de l’argent dans les caisses de l’Etat grâce aux tournages cinématographiques. Il faut encore un effort de transparence : si l’on connaît le coût d’une heure de vol de Rafale (17 000 euros), en revanche, il n’existe aucune grille tarifaire précise sur la location des sites de l’armée.Ce n’est pas pour coller à sa réputation de Grande Muette mais parce que "les factures sont établies par les services fiscaux". 
 
 
 
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