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 CINEMA :Les blessures narcissiques d'une vie par procuration
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CINEMA :Les blessures narcissiques d'une vie par procuration

VIP-Blog de tellurikwaves
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  • Créé le : 10/09/2011 19:04
    Modifié : 09/08/2023 17:55

    Garçon (73 ans)
    Origine : 75 Paris
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    © DR - EVE de Joseph L Mankiewicz (1950) p21

    16/01/2013 17:03

     © DR - EVE de Joseph L Mankiewicz (1950)  p21


     

    Analyse/critique par Jack Sullivan (suite)9

    Épilogue : la lignée d’Eve

    D’une certaine façon, Eve aura été le double inversé de Birdie : Birdie qui se définit elle-même comme « une actrice de cinquième rang », et qui est devenue la dame de compagnie de Margo, mais qui au contraire d’Eve préfèrerait se laisser piétiner plutôt que de se mettre en avant ou de nuire à sa protectrice, qu’elle couve comme une gouvernante couve une enfant turbulente mais chérie.Mais nous voici revenus au présent et au début du film, avec la voix off d’Addison DeWitt : Eve, que nous avons vue exposée et brisée par ses soins, triomphe, mais elle est seule et le restera, une comédienne de premier ordre qui aura piétiné les gens qui lui auront ouvert la porte.

    Mais cela n’est pas encore, en ce début d’années 1950 si moralisateur, un châtiment suffisant pour Eve. L’histoire est vouée à se répéter, à son détriment cette fois, avec la jeune Phœbe, adoratrice transie qui s’est introduite chez elle. Le plan final où Phœbe s’incline, le trophée en main, devant une foule de ses reflets démultipliés dans les miroirs.Cette image peut se lire à la fois comme une prophétie du sort qui attend Eve, mais aussi une vision du monde du spectacle pris dans sa globalité* : il se trouve toujours, derrière votre épaule, quelqu’un qui est prêt à tout pour prendre votre place.

     

    Pour enfoncer le clou et puisqu'il est question de globalité,j'ajouterai que cela est valable dans toutes les situations humaines principalement dans ce qu'on nomme "amitié"

     





    © DR - EVE de Joseph L Mankiewicz (1950) p22

    16/01/2013 17:12

     © DR - EVE de Joseph L Mankiewicz (1950)  p22


     

    Épilogue : la lignée d’Eve

    Mankiewicz, un observateur méticuleux dans les coulisses
     
    « [Il] t’étudie comme si tu étais un livre, ou une pièce, ou un plan » 

    Mankiewicz joue ici avec les apparences : il y a ce que les premières scènes semblent nous indiquer sur ces personnages,et ce que nous apprend le flash-back, et les voix des différents narrateurs (Karen, Addison, Margo) qui le ponctuent. Nous avons tôt fait de comprendre que les artifices ne seront pas partie prenante de la mise en scène (Mankiewicz est hostile à tout mouvement d’appareil intempestif), mais qu’ils seront au contraire des ingrédients primordiaux de la construction des personnages.

    Comme il le déclarera plus tard : "Je ne crois pas que la composition soit le mot magique et le point culminant de ce que le cinéma peut accomplir. À mon avis, c’est davantage la profondeur intellectuelle, la vérité profonde de la description intellectuelle, le contenu, qui importent. (…) J’essaie de ne pas déformer la vie ou le comportement des êtres humains en leur imposant, par des moyens techniques, une forme préconçue."

    Pour autant, on ne s’aventurerait pas à qualifier Mankiewicz de cinéaste naturaliste : ses films sont trop « écrits », trop empreints de sophistication verbale (et d’élitisme culturel), pour cela. Il serait plus pertinent sans doute de voir en lui un anthropologue de la psyché, curieux de décortiquer les réactions des protagonistes lors de mises en situation complexes, génératrices de choix déterminants. À l’appui de cette hypothèse, la véritable passion de Mankiewicz pour la psychanalyse, qui le poussait à faire lire ses scénarios par un professionnel afin de tester le degré de crédibilité de ses personnages. 






    © DR - EVE de Joseph L Mankiewicz (1950) p23

    16/01/2013 17:20

     © DR - EVE de Joseph L Mankiewicz (1950)  p23


                                                             Barbara Bates : Phoebe

     

     

    Analyse/critique par Jack Sullivan (fin)
     
    Sachant cela, la raison d’être de la construction si particulière du film (flash-back, narration en voix-off par plusieurs personnages) apparaît clairement : Mankiewicz nous donne accès aux moments décisifs de l’histoire, le "pourquoi et comment en sommes-nous arrivés là ?"(par rapport à la situation montrée au début du film), et ce grâce aux protagonistes eux-mêmes.
     
    Nous apprenons « de première main » ce qu’autrement nous ignorerions, ou ce qui nous serait rapporté de manière indirecte, donc probablement déformée. Mankiewicz nous implique donc directement dans l’histoire et dans le fonctionnement de la psyché de ses personnages, en partageant largement avec nous le privilège d’en arpenter les coulisses et d’en voir tourner les rouages intimes.Le réalisateur démontre un vrai respect de son audience en nous parlant entre gens intelligents à même de goûter la finesse et le piquant de son cinéma. (Entièrement d'accord)
    *
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    A Miracle Of A Movie

    10/10
    Author: marcosaguado from Los Angeles, USA
    19 March 2004

    What a genius Joseph L Manckiewicz was. A literary script that is totally accessible. A melodrama for the thinking man. A film that is as engrossing and entertaining every time you see it. Bette Davis touches all the raw nerves of her mythological career. Anne Baxter never went this far. Thelma Ritter became a sort of icon. Marilyn Monroe gives us a preview of forthcoming attractions as a graduated from the "Copacabana" academy of dramatic arts. Celeste Holm represents us, all of us and George Sanders creates a prototype for a cultured monster that is immediately recognizable. I don't recall another film in which the nature of selfishness is so wittily dissected. A total triumph.

    Incredible
    10/10
    Author: smartbomb from Toronto
    29 August 2000

    I had read comments about the quality of the writing in this film but I really had no idea to what extent this would elevate the experience. The fact is, it leaves me with no other choice than to give it a perfect 10. Unless you see this film, I don't think you'll have the necessary frame of reference with which to to base any expectations on. It's an incredibly engrossing, moving and often comedic experience, but time and time again what knocks you over is the absolute finesse with which this script was crafted. The fact that the acting and direction are flawless and surprisingly natural-seeming (most old movies usually seem stiff or people seem to "act" too much) only enhances it that much more. With this film, you can really imagine the *people* the actors are portraying.

    "All About Eve" shows some similarity to one of my other favourite 50s films "A Face in the Crowd". Both are studies of fame and celebrity. Eve shows how a person will corrupt themselves in order to attain it, whereas A Face's premise is that fame corrupts those who find themselves in the spotlight. Both have themes that are perhaps even more resonant in our celebrity-obsessed culture now than when they were made. Interestingly, Eve predates A Face by several years.

    And possibly most interesting of all is the honest and often raw way in which women are portrayed, the strength of their character and the power they wield. The male contingent is practically relegated to the back seat. One might be hard pressed to find a movie quite so "liberated" today. So what more can I say? If you love movies and you haven't yet seen it, you've suffered long enough; don't wait another day.

    Simply the Perfect Film
    Author: d858thompson from Escondido, California
    26 December 2004

    All About Eve is simply the perfect film. Fact follows fiction in the casting of Bette Davis, a star who was an incredible actress but fighting the inevitable - the passage of time. First off, Better Davis was always an incredible actress, no matter what part she took and this was the perfect part for her. Anne Baxter is tremendous in the part of Eve - she plays the part well. It's multi-faceted and challenging and she definitely rose to the challenge. Celeste Holm is great, too. She's got a smaller part but does a great job with it. Celeste Holm is an actress who has incredible stature, even in the later years of her career, like when she was in that television show "Promised Land." But Addison DeWitt - takes the cake. I can see why he won the Oscar. I don't want to say much about the story. The film is one that has to be taken in as a whole to be truly appreciated. Enjoy it - it's as tasty as honey! One thing - please never let them make a re-make of this film - it's perfect. It's off limits. It would be painting a new version of the Mona Lisa. This one is perfect!

    A masterpiece of old-style theatre back-stabbing with a cherished, hand-picked cast.
    10/10
    Author: gary brumburgh (gbrumburgh@aol.com) from Los Angeles, California
    22 February 2001

    THE definitive saga of backstage brouhaha ever dished out by Hollywood. A triumph of screen-writing, never will one see such ripe, acrid dialogue spewed out like this again -- every indelible scene gloriously stained with classic one-liners. An actress wanna-be looking for her big break carefully worms her way into the glamorous life of a legendary Broadway star, then tries to supplant her privately and professionally.

    A sterling, incandescent cast provides the fire and music to this concerto of theatre attitude. Bette Davis knew she was handed a dream role when she was cast as Margo Channing, the indomitable diva caught up in the throes of mid-life crisis both on- and off-stage. Not willing at all to deal with it tactfully, she makes life a living hell for anyone within knife-throwing distance. This juicy, once-in-a-lifetime part turned Davis' own flagging middle-aged career back on its feet, especially coming on the heels of one of her biggest "dumps" ever, "Beyond the Forest." Remarkable as it may seem, Bette was not the first choice here, replacing an injured Claudette Colbert. With all due respect to Colbert, Bette Davis was BORN to play Margo Channing. A mauling lioness one minute, a coy, declawed pussycat the next, Davis relishes every wickedly bitchy scene she gets to tear into. Yet in her more introspective moments, she evokes real sympathy for Margo (as only a true star can) especially when her character missteps. It's a resounding victory for the Queen Bee in every way, shape and form.

    Her "supporting cast" also manage to create a buzz of excitement. Gary Merrill and Hugh Marlowe, known for their relative blandness, are splendid here in their respective roles as queen bee's lover and playwright. While Merrill's Bill Sampson tames Margo the woman with gutsy directness and virile passion, Marlowe's Lloyd Richards appeases Margo the star with flattery, great dialogue and a calm resolve. Worth watching, then, are their fireworks scenes with Margo when intelligence and restraint no longer work. Debonair George Sanders gives customary snob appeal and dry cynicism to his waspish, ultimately loathsome columnist Addison DeWitt, who swarms around Broadway's elite knowledgeable in the fact his lack of heart and poison pen yield exclusive rights and power. The most sensitive and sensible one in the collective bunch, the one lacking a true stinger, is Karen Richards (played wonderfully by Celeste Holm), Margo's best friend and confidante, who finds herself caught between the queen and a hard place when she accidentally makes a pact with the devil.

    Thelma Ritter couldn't be overlooked if she tried. An inveterate scene-stealer, she weathers strong competition this time in a movie crammed with clever conversation and pungent zingers. As coarse but well-meaning Birdie Coonan, a brash ex-vaudevillian now the queen's ever-loyal "drone", Ritter's character properly handles her boss's antics with amusing grit and backbone. On the periphery of this Broadway beehive is mop-faced Gregory Ratoff as an edgy, gullible, thick-accented producer, Marilyn Monroe as a hopelessly vacuous starlet, and Barbara Bates, as a novice schemer with a very bright future, all making their few scenes count -- especially Bates, who is forever enshrined in the film's stunning final shot.

    The chief thorn in Margo's (and everybody's) side, and the other real star of this picture, is the queen's titular lady-in-waiting, Eve Harrington. As played by Anne Baxter, this role is probably the most delicate and difficult of all for the weight and believability of this drama falls squarely on her shoulders. Unfairly overlooked all these years by the flashier posturings of Davis, Baxter does a beautiful job of drawing initial pathos then panic as she slowly unveils her own lethal stinger. By film's end, Baxter is directly on par with her scenery-chewing co-star. Killer to killer. Champion to champion.

    Six Oscars including Best Picture, Best Director (Joseph L. Mankiewicz), Best Screenplay (also Mankiewicz) and Supporting Actor (George Sanders) went to this cinematic bon mot. Had Bette Davis and Anne Baxter not competed as Best Actress (Baxter refused to place herself in the Supporting Actress category), it would have drummed up two more awards to be sure.Developing a faithful cult following over the years, this film deserves to be on everybody's "top ten" list.

    A Magnificent Timeless Tale of Ambition, Manipulation and Betrayal - Certainly One of the Best Classics Ever
    10/10
    Author: Claudio Carvalho from Rio de Janeiro, Brazil
    17 October 2005

    The ambitious Eve Harrington (Anne Baxter) gets close to the great and temperamental stage artist Margo Channing (Bette Davis) and her friends Karen Richards (Celeste Holm) and her husband, the play-writer Lloyd Richards (Hugh Marlowe); her boyfriend and director Bill Sampson (Gary Marrow); and the producer Max Fabian (Gregory Ratoff). Everybody, except the cynical critic Addison DeWitt (George Sanders), believe that Eve is only a naive, humble and simple obsessed fan of Margo and they try to help her. However, Eve is indeed a cynical and manipulative snake that uses the lives of Margo and her friends to reach her objectives in the theater business.

    "All About Eve" is a magnificent timeless tale of ambition, manipulation and betrayal, and certainly one of the best classics ever. Everything perfectly works in this movie: the direction is very precise and tight; dialogs are very acid and intelligent; Bette Davis, Anne Baxter, George Sanders and Celeste Holm have awesome performances in very powerful characters; the dramatic story is amazingly good, showing what an evil person can plot to reach fame and success. I believe this movie will always be among my ten favorite movies ever. My vote is ten.
     

    Fasten your seat belts...

    Author: George Tetsel (citizenkane@lycosmail.com) from New York
    11 December 1998

    What can you say about a film like this? It has one of the greatest screenplays ever written,(but stolen) fabulous directing, and sensational performances by Anne Baxter, Bette Davis and George Sanders. And on top of it all, it's got Marilyn Monroe! What more could you want?!? It's full of snappy dialogue, great one liners, and a realistic and interesting plot. The epitome of good movie making. Oh, if only today's filmmakers were forced to watch All About Eve before they were allowed to make their own!

    All About Great Writing and Great Acting...
    10/10
    Author: Donald J. Lamb from Philadelphia, PA
    20 March 1999

    In show business, there is probably an Eve Harrington born every day. Someone who butters up to a performer of note, acting innocently, revealing none of the coldhearted ambition they really have. Anne Baxter plays this type of person to a tee. She looks like a baby-faced fan, but little do we know, there is a fame machine at work in her mind. Bette Davis, as Margo Channing, star of the stage, is a veteran who has seen it all. She is quite the egotist. Margo is a brilliant actress and she knows it. Eve discovers her blind spot and moves in on her like a quiet storm. This is the premise of ALL ABOUT EVE, Joseph L. Mankiewicz's masterpiece of sly wit and subtle manipulation. Mankiewicz also wrote the picture (winner of the Best Picture Oscar of 1950) with such skill, the talented cast need only to memorize the lines and deliver them with the proper technique.

    The performances are great, regardless, especially by Bette Davis and the always detested George Sanders, one of my favorite actors of the Golden Age of Hollywood. The film is narrated initially by Sanders, who plays a ruthless swine of a theatre critic, then by Celeste Holm, the wife of Eve and Margo's playwrighter, then Bette Davis in the performance of a lifetime. The movie is about 90% dialogue, much like a play. The words are so crisp and sharp, you never sway or lose interest. These characters are just too interesting. Bette Davis has a cavalcade of unforgettable dialogue. "Fasten your seatbelts. Its going to be a bumpy night!" This is the one everyone remembers, but I would be remiss to get into any others.

    The picture runs well over 2 hours, but it doesn't seem like enough. Mankiewicz could've held a seminar of screenwriting by showing this. George Sanders is the only actor of the roster to bring home an Academy Award, and rumor has it Davis and Baxter, who was just 27 at the time, were feuding during much of the shoot and lusted the Oscar. Time has been very good to the film as well. 1950 was a wonderful year for movies and ALL ABOUT EVE's artistic equal that year was the equally well-written SUNSET BOULEVARD, which took us behind the scenes of a tainted Hollywood. EVE takes on theatre and treats Hollywood like an afterthought. There are many references to the film industry, usually involving the scenes with Margo Channing's boyfriend, who is attempting to make a career on the silver screen.

    The movie is highly unpredictable, especially the last scenes which tie the ideas of the story up. There is an Eve everywhere and each character gets what he or she deserves. Fasten the belts and listen up. This is screenwriting at its finest.

    It's going to be a BETTE night....
    10/10
    Author: cubertfilm-1 from Los Angeles, CA, USA
    24 December 2004

    All About Eve is an excellent film in every aspect. The 14 Oscar nominations, and six wins, testify to this. For 47 years EVE held the record for most nominations -- in 1997 Titanic matched the 14 nominations. Bette Davis was awarded the New York Critics Award once in her 58 year career -- and it was for this film. Marilyn Monroe, Thelma Ritter and Celeste Holms gave terrific supporting performances while Anne Baxter kept up with the great Bette every frame of the way. It was Bette's eighth nomination, and sixth loss; Judy Holiday won for Born Yesterday, beating two legends -- Gloria Swanson was also nominated that year for Sunset Blvd. All About Eve was the first film to be released after Bette ended her 18 years with Warner Brothers. For a moment she was back on top of the world, only to find disappointment throughout the 50's with choices and offerings in Hollywood. The writing by Mankiewicz and supporting performance by George Saunders would alone make the film worth viewing -- A NEAR PEFECT FILM!

    About EveryMan, About EveryWoman, About EveryLife
    10/10
    Author: anita_delre from United States
    11 August 2005

    You will see yourself in every character in this very intelligent, entrancing movie. Though set in "the theatre," the story could just as easily have been told in a small town, a corporation – even a religious organization. Being set in the "glamorous" world of entertainment – its seems all the more timely in these days of fame, fortune and the insufficiency (almost shame) of being ordinary. The theatre setting also underscores the reality that the world is a stage, and all its people, players.

    So much to study in this movie: the genuine, trusting (and romantic) human; the streetwise, good, hardworking human, who's seen it all and doesn't embrace it; the jaded, heart-hardened, deceitful loser with power, who admires the same and disdains human goodness; the ambitious sociopath who fools so many; the unsuspecting onlookers who see only the façade of success; the inescapable fact that supreme achievement has been had by very low characters; the painful passage of an aging woman into the light of knowing she's loved for being beautiful beyond her appearance, for being HER; the touching portrayal of her lover who remembers his love for her as he passes on a much younger, beautiful, talented actress; the sorrow of a (betraying) friend who discovers the frightened and lonely heart of her successful friend … The dialogue is sharp and clever, barked and growled, smarmy and tender… A truly human movie about being human. Go – find yourself in everyone!

    ***** Perfect!
    Author: Bil-3 from Toronto, Ontario
    27 March 2001

    Here's perfect writing if ever a movie ever had it-where did Joseph L. Mankiewicz come up with these people? Who would have thought he could not only revive Bette Davis' career with her greatest-ever role, but actually make her even more fascinating than she ever was before? Davis plays famous and established actress Margo Channing, a self-centred and tough but vulnerable woman who is purused relentlessly by Eve Harrington (Anne Baxter), a seemingly innocent woman who worships Channing-she even becomes her personal assistant. However, her devotion soon becomes sinister, and Margo lets her friends know, though they just think she's being selfish and unfair.

    Celeste Holm is excellent as Margo's best friend, who at first is on Eve's side but eventually sees how conniving Eve can be and how ruthless she is in climbing to the top. The party scene early on in the film features some of the film's best lines (`Fasten your seat belts…it's going to be a bumpy night!'), though my personal favourite is when Davis tells Baxter to put her award `where you heart should be'; Margo Channing is just about the best female character of the fifties. Features Marilyn Monroe in an early role.

     

     






    © DR - EVE de J.L Mankiewicz + Bio/filmo de Bette Davis (Fin)

    16/01/2013 17:45

     © DR - EVE de J.L Mankiewicz + Bio/filmo de Bette Davis (Fin)


     Ruth Elizabeth Davis grandit dans la banlieue de Boston, élevée avec sa sœur Barbara par sa mère Ruth, photographe, qui se séparera de son mari en 1915. On dit que les deux prénoms de Ruth Elizabeth Davis ont été remplacés par celui de Bette, en référence au roman"la Cousine Bette"de Balzac. Après le départ de leur père, la vie des Davis oscille entre le Massachusetts, le New Jersey et New York.

    Bette fait ses débuts sur les planches dans le personnage d’une fée, pour Le Songe d'une nuit d'été, pendant ses études à la Cushing Academy d’Ashburnham (Massachusetts). Elle prend ensuite des cours de danse avec Martha Graham et suit pendant trois ans les cours de la John Murray Anderson’s Acting Dramatic School à New York.

    En 1928, elle fait partie d’une troupe théâtrale dirigée par George Cukor et sous sa mise en scène, elle monte sur scène dans la pièce « Broadway » à Rochester. Suivront d’autres pièces avec Cukor avant de se produire en 1929 à New York,avec un grand succès,dans"The Earth Between » puis, elle débute enfin officiellement à Broadway dans "Broken Dishes".

    Remarquée au théâtre par un dénicheur de talents d’Universal Pictures, studio de cinéma hollywoodien, elle y tourne son premier film, The Bad Sister (1931). Carl Laemmle, directeur de la firme Universal, s’écria en voyant ce film interprété par Bette Davis : « Comment peut-on tourner un film dans lequel un homme en voit de toutes les couleurs et le terminer en cadrant sur un tel visage ? ». Bette ne tournera plus que deux films à Universal qui ne renouvelle pas son contrat.

    Après quelques rôles insignifiants dans d’autres studios (RKO, Columbia…), elle décide de rentrer à New York pour revenir au Théâtre. C’est alors qu’elle reçoit un coup de téléphone de George Arliss, grand acteur populaire de la Warner à l’époque. Il lui propose un premier rôle, auprès de lui, dans le film L'Homme qui jouait à être Dieu (1932), elle accepte.

    Arliss écrira dans son autobiographie « Je ne m’attendais qu’à une modeste prestation, mais ce petit rôle se transforma en une création vivante, profonde… comme une lueur illuminant un texte banal et lui communiquant émotion et passion. C’était un talent qui ne pouvait rester longtemps dans l’ombre ».Elle épouse en 1932, Harmon O. Nelson, rencontré lors de ses études, et dont elle divorcera six ans plus tard.

    La reine de la Warner 

    Suite à ce film, Les frères Warner, de la Warner Bros. Pictures, lui font signer un contrat de sept ans. Une période qui durera 16 ans et durant laquelle l’actrice devra lutter quotidiennement pour obtenir de bons rôles dans une firme spécialisée dans les films de gangsters et qui privilégie essentiellement les personnages masculins.

    Pourtant, Bette Davis n’arrête plus de tourner, on la voit dans vingt-cinq films en quatre ans, notamment avec Spencer Tracy dans Vingt mille ans sous les verrous (1933) et avec James Cagney dans Jimmy the Gent (1935), deux films de Michael Curtiz. En 1934, Bette Davis harcèle, pendant des mois, Jack Warner, un des patrons de la Warner, pour obtenir le rôle de Mildred Rogers dans L'Emprise. Il finit par céder et la « prête » à la RKO.

    Elle racontera:"Mes employeurs considéraient que le fait de me confier le rôle d'une héroïne aussi détestable équivaudrait à un suicide artistique.Ils m'identifaient, je suppose, au personnage, et retenaient que nous étions bien digne l'une de l'autre". Bette obtint un grand succès critique mais le film fut un échec commercial.

     Elle fait ensuite une autre composition remarquée de garce dans Ville frontière (1935), avant d’être consacrée dans L'Intruse (1936) pour lequel elle décroche son premier Oscar de la meilleure actrice. Les frères Warner lui refusent pourtant deux rôles auxquels elle tenait : la reine Élisabeth Ire aux côtés de Katharine Hepburn dans Mary Stuart et Alice dans Alice au pays des merveilles. 

    Mais ils lui confient un bon personnage dans La Forêt pétrifiée pour ensuite la reléguer dans deux films médiocres.Commenceront alors les conflits avec ses producteurs. Insatisfaite de ses scénarios et après avoir refusé de tourner un film, Bette claque la porte de la Warner et quitte Hollywood pour Londres où on lui propose deux films. Un procès s’engage alors entre elle et la Warner. Elle le perd mais Jack Warner, magnanime, lui pardonne et paie les frais du procès.

    Olivia de Havilland aura plus de succès, elle aussi intentera un procès en 1943 contre la Warner et, le gagnera en 1945. Mais Bette Davis n’est pas complètement perdante car, malgré cette action en justice, la Warner lui confiera des scénarios de meilleure qualité.

    Son retour à Hollywood se fera dans l’excellent film Femmes marquées (1937) aux côtés d’Humphrey Bogart qui lui permet de prouver à nouveau ses qualités dramatiques. Elle entame ainsi un nouveau départ à la Warner qui lui propose une série de films dont les scénarios sont écrits tout spécialement pour elle. Suivront Le Dernier combat avec Edward G. Robinson et Humphrey Bogart, Une certaine femme avec Henry Fonda, L'Aventure de minuit avec Leslie Howard et Olivia de Havilland.

    Après lui avoir soumis le rôle de Scarlett O'Hara d’Autant en emporte le vent, elle le refuse, ne voulant pas se retrouver aux côtés d’Errol Flynn (condition de la Warner pour « prêter » Bette Davis à David O. Selznick) qu’elle juge trop médiocre pour le rôle de Rhett Butler.

    Jack Warner lui propose alors L'insoumise (1938), film qui ressemble étrangement à Autant en emporte le vent. Avec un personnage taillé sur mesure, la star va faire une composition des plus remarquables dans ce somptueux mélodrame dirigé de façon magistrale par le perfectionniste William Wyler. Le film connaît un énorme succès. Elle reçoit un deuxième Oscar et là, commence la grande carrière de Bette Davis. Une longue série de nominations aux Oscars va également se succéder.

    La suite est des plus glorieuse, vient l’ère des grands mélodrames où l’actrice va donner le meilleur d’elle-même.Victoire sur la nuit (1939)Le ton est donné avec le bouleversant drame Victoire sur la nuit (1939), elle est nommée pour la troisième fois aux Oscars.Viennent ensuite deux films historiques en 1939, Juarez et La vie privée d'Elizabeth d'Angleterre, et d’autres mélos comme La Vieille Fille (1939), L'Étrangère (1940), Le Grand Mensonge (1941) qui lui donnent la place enviée de l’une des dix vedettes d’Hollywood en tête du box-office...

     Le sommet de cette période est sa collaboration avec William Wyler qui sera des plus réussi, après L'Insoumise elle s’illustre dans les rôles de garces dans La Lettre (1940), elle incarne une meurtrière et dans La Vipère (1941), elle interprète une femme monstrueuse, cupide et manipulatrice (elle aura une nomination aux Oscars pour chacun de ces deux films) ce qui la consacre actrice populaire et reine de la Warner.

    Malheureusement des conflits éclatent entre le réalisateur et l’actrice et William Wyler, malgré ces chefs-d’œuvre tournés ensemble, ne tournera plus avec Bette Davis.Un film parachèvera cette période, modèle du genre, Une femme cherche son destin (1942) qui lui vaudra sa sixième nomination.Elle aura encore une septième nomination pour Femme aimée est toujours jolie (1944). En 1942, elle fonde et dirige Hollywood Canteen, un organisme d’aide aux combattants de la seconde guerre mondiale et paraîtra dans le film du même nom.

     Elle crée également sa propre maison de production la « B.D. Incorpored » en 1946. La Voleuse (A Stolen Life) avec Glenn Ford est le seul film produit par la firme de Bette Davis.Après quelques films mineurs, Bette Davis tourne son dernier film à la Warner La Garce (1949) de King Vidor. Le tournage se passe mal avec le réalisateur, au point qu’elle demande un compromis à Jack Warner, elle finira le film à condition qu’il la libère de son contrat avec la Warner Bros. Lassé de ses exigences, le patron de la Warner finit par accepter.

     Un renouveau

    Libérée de toute contrainte, la star se remet au travail et pendant le tournage de L’Ambitieuse en 1949 (film qui sortira bien après), on lui propose un rôle magnifique : celui de Margo Channing dans Ève (1950) de Joseph L. Mankiewicz. Muni d'un scénario cynique et subtil reconstituant l'univers des théâtres et la concurrence effrénée entre les artistes, le film est un chef d'œuvre porté par des dialogues caustiques et savoureux, la justesse de ses notations psychologiques, la remarquable interprétation de tous ses acteurs (d'ailleurs 5 sur 14 des nominations aux Oscars pour le film iront à ses interprètes) puis l'élégante mise en scène d'un cinéaste en état de grâce, véritable cheville ouvrière du projet.

    Ève est sans doute le plus parfait des films de Bette Davis qui y donne une prestation inoubliable unanimement saluée par la critique et couronnée par une pluie de récompenses dont le Prix d'interprétation féminine à Cannes. Après son immense succès en salles, Ève reçoit quatorze nominations aux Oscars en 1950. Il remporte 6 statuettes dont celles du meilleur film, du meilleur réalisateur et du meilleur scénario. Pour sa huitième nomination, Bette Davis se retrouve en compétition avec sa partenaire à l'écran : Anne Baxter. Mais toutes deux seront battues par Judy Holliday pour son interprétation dans Born yesterday.

    Malgré un tel sommet, la carrière de Bette s’effrite au fil des ans et hormis La Star pour qui elle aura sa neuvième nomination, il lui faudra attendre les années soixante pour connaître un renouveau.Entre-temps elle a épousé Arthur Farnsworth en 1940 (il meurt en 1943) et William Grant Sherry en 1945 (naissance de son premier enfant Barbara en 1947, et divorce en 1949), elle se remarie en 1950, une quatrième et dernière fois, avec son partenaire d’Eve, Gary Merrill, avec qui elle adoptera deux enfants Margot (1952) et Michael (1953). Elle divorcera en 1960.

    En 1961, deux films viendront redorer son blason. Frank Capra, tout d’abord, lui offre Milliardaire pour un jour où elle est drôle, émouvante, grandiose en vieille clocharde au temps de la prohibition et surtout Qu'est-il arrivé à Baby Jane ? de Robert Aldrich où elle compose, aux côtés d’un autre monstre sacré de la grande époque Joan Crawford, un personnage grand-guignolesque qui lui vaudra un immense succès dans le monde entier. Elle est nommée une dixième et dernière fois aux Oscars.

     

    .« Mère de trois enfants âgés de 10, 11 et 15 ans, divorcée, de nationalité américaine, 30 ans d’expérience dans le domaine cinématographique, encore alerte et plus aimable que ne le prétend la rumeur publique, cherche emploi stable à Hollywood. Connaît Broadway. Bette Davis. Références à l’appui"

    C’est cette annonce que l’actrice fait paraître, par manque de travail, dans un hebdomadaire en septembre 1962. Suite à ce message, Jack Warner la contacte pour tourner La Mort frappe trois fois (1964) avec son ami Paul Henreid, qui fut un de ses partenaires à l’écran, comme réalisateur. Elle fera un deuxième film avec Aldrich :Chut... Chut, chère Charlotte (1964) dans la même veine du précédent mais sans Joan Crawford qui déclare forfait et sera remplacée sur les conseils de Bette Davis, par son amie et complice de toujours, Olivia de Havilland.

    Elle sera encore admirable dans L'Argent de la vieille (1972) de Luigi Comencini et dans Les Baleines du mois d'août (1987) aux côtés d’une gloire du muet Lillian Gish.La fin de sa carrière sera moins brillante. Elle tourne dans beaucoup de films mineurs mais fait de nombreuses incursions au théâtre et à la télévision. Bette Davis décède le 6 octobre 1989 à l'hôpital américain de Neuilly-sur-Seine, à l'âge de 81 ans ; elle repose au cimetière du Forest Lawn Memorial Park des collines d'Hollywood à Los Angeles en Californie.

     

    Citations

    Selon Gena Rowlands qui est passionnée par Bette Davis : « Elle était dure, elle adorait les conflits, ils lui donnaient son énergie. »

    Bette Davis à propos de William Wyler : « Mon histoire favorite sur la direction d’acteurs concerne Monsieur Wyler. Il ne disait jamais rien. Ça me rendait folle. L’acteur a besoin de savoir s’il plaît à son metteur en scène. Au bout d’une semaine de tournage, je suis allée le voir et je lui ai dit : « Monsieur Wyler, j’aimerais vraiment savoir si je joue comme vous le désirez. » « Ah je vois ! » a-t-il répondu. Et le lendemain, après chaque prise, il applaudissait frénétiquement en criant : « c’est merveilleux, c’est merveilleux ! » Je lui ai demandé ensuite de revenir à sa « première manière », car celle-là ne me convenait pas du tout ! (rires) Il ne donnait aucune indication de jeu. »

     

    Hommages

    -Elle fut nommée par l'American Film Institute seconde meilleure actrice de légende du cinéma.
    -Une chanson de Kim Carnes, Bette Davis Eyes, lui fait référence.
     
    Filmographie
     
    1931 : Seed de John M. Stahl
    1931 : Le Pont de Waterloo (Waterloo Bridge) de James Whale
    1931 : Way Back Home de William A. Seiter
    1932 : The Menace de Roy William Neill
    1932 : Prisons d'enfants (Hell's House) d'Howard Higgin
    1932 : L'Homme qui jouait à être Dieu  de John G. Adolfi avec George Arliss
    1932 : Mon grand (So big) de William Wellman avec Barbara Stanwyck
    1932 : The Rich Are Always with Us d'Alfred E. Green
    1932 : The Dark Horse d'Alfred E. Green
    1932 : Ombres vers le sud (Cabin in the cotton) de Michael Curtiz
    1932 : Une allumette pour trois (Three on a Match) de Mervyn LeRoy
    1933 : Vingt mille ans sous les verrous de Michael Curtiz avec Spencer Tracy
    1933 : Just Around the Corner - court métrage
    1933 : Le Parachutiste (Parachute Jumper) d'Alfred E. Green
    1933 : Le Roi de la chaussure (The Working Man) de John G. Adolfi
    1933 : Ex-Lady de Robert Florey
    1933 : Bureau des personnes disparues (Bureau of Missing Persons) de Roy Del Ruth
    1934 : The Big Shakedown de John Francis Dillon
    1934 : Les Pirates de la mode (Fashions of 1934) de William Dieterle avec William Powell
    1934 : Jimmy the Gent de Michael Curtiz avec James Cagney
    1934 : Fog Over Frisco de William Dieterle
    1934 : L'Emprise (Of Human Bondage) de John Cromwell avec Leslie Howard
    1934 : Femme d'intérieur (Housewife) d'Alfred E. Green
    1935 : Ville frontière (Bordertown) d'Archie Mayo avec Paul Muni
    1935 : Une femme dans la rue (The Girl from 10th avenue) d'Alfred E. Green
    1935 : Sixième édition (Front page woman) de Michael Curtiz
    1935 : Agent spécial (Special agent) de William Keighley
    1935 : L'Intruse (Dangerous) d' Alfred E. Green (son premier Oscar) avec Franchot Tone
    1936 : La Forêt pétrifiée *** d' Archie Mayo avec Leslie Howard et Humphrey Bogart
    1936 : La Flèche d'or (The Golden arrow) d' Alfred E. Green
    1936 : Satan Met a Lady de William Dieterle
    1937 : Femmes marquées (Marked Woman) de Lloyd Bacon avec Humphrey Bogart
    1937 : Le Dernier combat (Kid Galahad) de Michael Curtiz avec E.G. Robinson et Humphrey Bogart
    1937 : Une certaine femme (That certain woman) d'Edmund Goulding avec Henry Fonda
    1937 : L'Aventure de minuit  d'Archie Mayo avec Leslie Howard et Olivia de Havilland
    1938 : L'insoumise (Jezebel) de William Wyler (son deuxième Oscar) avec Henry Fonda
    1938 : Nuits de bal (The Sisters) d'Anatole Litvak avec Errol Flynn
    1939 : Victoire sur la nuit (Dark Victory) d' Edmund Goulding
    1939 : Juarez de William Dieterle avec Paul Muni
    1939 : La Vieille Fille (The Old maid) d'Edmund Goulding avec Miriam Hopkins
    1939 : La vie privée d'Elizabeth d'Angleterre  de Michael Curtiz avec Errol Flynn
    1940 : If I Forget You - court métrage
    1940 : L'Étrangère (All this and heaven too) d'Anatole Litvak avec Charles Boyer
    1940 : La Lettre (The Letter) de William Wyler
    1941 : Le Grand Mensonge (The Great lie) d'Edmund Goulding
    1941 : Shining Victory d'Irving Rapper
    1941 : Fiancée contre remboursement de William Keighley avec James Cagney
    1941 : La Vipère (The Little Foxes) de William Wyler
    1942 : L'Homme qui vint dîner (The man who came to dinner) de William Keighley
    1942 : In this our life de John Huston avec Olivia de Havilland
    1942 : Une femme cherche son destin  d'Irving Rapper avec Paul Henreid et Claude Rains
    1943 : Veille sur le Rhin (Watch on the Rhine) de Herman Shumlin
    1943 : Remerciez votre bonne étoile (Thank your lucky stars) de David Butler
    1943 : L'Impossible Amour (Old Acquaintance) de Vincent Sherman avec Miriam Hopkins
    1944 : Femme aimée est toujours jolie (Mr. Skeffington) de Vincent Sherman avec Claude Rains
    1944 : Hollywood Canteen (Hollywood Canteen) de Delmer Daves
    1945 : Le Blé est vert (The Corn is green) d'Irving Rapper
    1946 : La Voleuse (A Stolen Life) de Curtis Bernhardt avec Glenn Ford
    1946 : Jalousie (Déception) d'Irving Rapper avec Paul Henreid et Claude Rains
    1948 : Rencontre d'hiver (Winter meeting) de Bretaigne Windust
    1948 : La Mariée du dimanche (June bride) de Bretaigne Windust
    1949 : La Garce (Beyond the Forest) de King Vidor avec Joseph Cotten
    1950 : Ève (All about Eve)***** de Joseph L. Mankiewicz avec Anne Baxter
    1951 : L'Ambitieuse (Payment on demand) de Curtis Bernhardt
    1951 : Jezebel (Another Man's Poison) d'Irving Rapper
    1952 : Appel d'un inconnu (Phone call from a stranger) de Jean Negulesco avec Shelley Winters
    1952 : La Star (The Star) de Stuart Heisler
    1955 : Le Seigneur de l'aventure (The Virgin Queen) de Henry Koster avec Joan Collins
    1956 : Le Repas de noces (The Catered affair) de Richard Brooks
    1956 : Au cœur de la tempête (Storm center) de Daniel Taradash
    1959 : John Paul Jones, maître des mers (John Paul Jones) de John Farrow avec Robert Stack
    1959 : Le Bouc émissaire (The Scapegoat) de Robert Hamer avec Alec Guinness
    1961 : Milliardaire pour un jour (Pocketful of Miracles) de Frank Capra avec Glenn Ford
    1962 : Qu'est-il arrivé à Baby Jane ?  de Robert Aldrich avec Joan Crawford
    1963 : L'Ennui et sa diversion, l'érotisme (La noia) de Damiano Damiani avec Horst Buchholz
    1964 : La Mort frappe trois fois (Dead Ringer) de Paul Henreid
    1964 : Rivalités (When love has gone) d' Edward Dmytryk avec Susan Hayward
    1964 : Chut... Chut, chère Charlotte (Hush... Hush, Sweet Charlotte) de Robert Aldrich
    1965 : Confession à un cadavre (The Nanny) de Seth Holt
    1967 : L'Anniversaire (The Anniversary) de Roy Baker
    1970 : Chambres communicantes (Connecting rooms) de Franklin Gollings
    1971 : Bunny O'Hare de Gerd Oswald
    1972 : Madame Sin de David Greene
    1972 : L'Argent de la vieille de Luigi Comencini avec Alberto Sordi et Silvana Mangano
    1976 : Trauma (Burnt Offerings) de Dan Curtis
    1978 : Les Visiteurs d'un autre monde (Return from Witch Mountain) de John Hough
    1978 : Mort sur le Nil (Death on the Nile) de John Guillermin avec Peter Ustinov
    1978 : The Children of Sanchez d'Hall Bartlett (non créditée)
    1980 : Les Yeux de la forêt (Watcher in the woods) de John Hough
    1982 : Un piano pour Madame Cimino (A Piano for Mrs. Cimino) de George Schaefer (TV)
    1984 : La Foire des ténèbres de Jack Clayton
    1987 : Les Baleines du mois d'août (The Whales of August) de Lindsay Anderson avec Lillian Gish
    1989 : Ma belle-mère est une sorcière (Wicked Stepmother) de Larry Cohen
     
    Télévision
     
    1957 : The 20th Century-Fox Hour (série TV)
    1957 : Schlitz Playhouse of Stars (série TV)
    1957 : The Ford Television Theatre (série TV)
    1957 : Telephone Time d'Arthur Hiller (série TV)
    1957 : General Electric Theater (série TV) 2 épisodes (1957-1958)
    1958 : Studio 57 (série TV)
    1958 : Suspicion (série TV)
    1959 : Alfred Hitchcock présente (The Alfred Hitchcock Hour) (série TV)
    1959 : The DuPont Show with June Allyson (série TV)
    1959 : La Grande Caravane (Wagon Train) (série TV) 3 épisodes (1959-1961)
    1962 : Le Virginien (The Virginian) (série TV)
    1963 : Perry Mason (série TV)
    1966 : Gunsmoke (série TV)
    1968 : Opération vol (It takes a thief) (série TV)
    1972 : Un juge pas comme les autres (The Judge and Jake Wyler) de David Lowell Rich (téléfilm)
    1973 : Scream, Pretty Peggy de Gordon Hessler (téléfilm)
    1974 : Hello Mother, Goodbye! (téléfilm)
    1976 : The Disappearance of Aimee de Anthony Harvey (téléfilm)
    1977 : Laugh-In (série TV)
    1978 : The Dark Secret of Harvest Home de Leo Penn (feuilleton TV)
    1979 : Strangers: The Story of a Mother and Daughter de Milton Katselas (téléfilm)
    1980 : White Mama de Jackie Cooper (téléfilm)
    1980 : Skyward de Ron Howard (téléfilm)
    1982 : Family Reunion de Fielder Cook (téléfilm)
    1982 : Un piano pour Madame Cimino (A Piano for Mrs. Cimino) de George Schaefer (téléfilm)
    1982 : Little Gloria... Happy at Last de Waris Hussein (téléfilm)
    1983 : Hôtel (Hotel) de Jerry London (téléfilm)
    1983 : Hôtel (Hotel) (série TV)
    1983 : Right of Way de George Schaefer (téléfilm)
    1985 : Jeux de glaces (Murder with Mirrors) de Dick Lowry (téléfilm)
    1986 : Les Derniers beaux jours (As summers die) de Jean-Claude Tramont (téléfilm)
     
    En tant que productrice« B.D. Incorporated »
    1946 : La Voleuse (A Stolen Life) de Curtis Bernhardt
    Récompenses
    Oscars
    1936 : Oscar de la meilleure actrice pour L'Intruse
    1939 : Oscar de la meilleure actrice pour L'insoumise
    Elle a de plus été nommée huit autres fois pour l'0scar de la meilleure actrice sans l'obtenir.
     
    1935 : Nomination Meilleure actrice pour L'Emprise
    1940 : Nomination Meilleure actrice pour Victoire sur la nuit
    1941 : Nomination Meilleure actrice pour La Lettre
    1942 : Nomination Meilleure actrice pour La Vipère
    1943 : Nomination Meilleure actrice pour Une femme cherche son destin
    1945 : Nomination Meilleure actrice pour Femme aimée est toujours jolie
    1951 : Nomination Meilleure actrice pour Ève
    1963 : Nomination Meilleure actrice pour Qu'est-il arrivé à Baby Jane ?
     Festival de Cannes
    1951 : Prix d'interprétation féminine pour Ève
     Les Césars
    1986 : César d'honneur
     





    © DR - Emmanuelle Béart / Portfolio

    02/02/2013 09:39

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