| Accueil | Créer un blog | Accès membres | Tous les blogs | Meetic 3 jours gratuit | Meetic Affinity 3 jours gratuit | Rainbow's Lips | Badoo |
newsletter de vip-blog.com S'inscrireSe désinscrire
http://tellurikwaves.vip-blog.com


 CINEMA :Les blessures narcissiques d'une vie par procuration
VIP Board
Blog express
Messages audio
Video Blog
Flux RSS

CINEMA :Les blessures narcissiques d'une vie par procuration

VIP-Blog de tellurikwaves
  • 12842 articles publiés
  • 103 commentaires postés
  • 1 visiteur aujourd'hui
  • Créé le : 10/09/2011 19:04
    Modifié : 09/08/2023 17:55

    Garçon (73 ans)
    Origine : 75 Paris
    Contact
    Favori
    Faire connaître ce blog
    Newsletter de ce blog

     Novembre  2025 
    Lun Mar Mer Jeu Ven Sam Dim
    272829300102
    03040506070809
    10111213141516
    17181920212223
    24252627282930

    © DR -A LA POURSUITE D'OCTOBRE ROUGE (1990) p7

    05/03/2013 15:47

    © DR -A LA POURSUITE D'OCTOBRE ROUGE (1990) p7


     

    Réception
     
    Aux États-Unis
    À la poursuite d'Octobre rouge débuta dans 1 225 salles le 2 mars 1990, et engrangea 17 millions de dollars durant le premier week-end, soit plus de la moitié de son budget. Le film remporta au total 122 millions de dollars en Amérique du Nord, et un total mondial de 200 millions de dollars, pour un budget de 30 millions de dollars.





    © DR -A LA POURSUITE D'OCTOBRE ROUGE (1990) p8

    05/03/2013 15:54

    © DR -A LA POURSUITE D'OCTOBRE ROUGE (1990) p8


     

    Les critiques U.S
    Le film reçut des critiques négatives de la plupart des revues majeures dès sa sortie en salle mais fut l'un des succès de l'année.
     
    Le critique Hal Hinson du Washington Post écrivit notamment : « Rien ne se passe, du moins pas à l'écran... Il n'y a pas grand chose à regarder. Lorsque arrivent enfin les scènes d'actions, les images sous-marines sont obscures et impossibles à suivre. »(t'avais bu quoi avant d'aller au cinéma...?)Vincent Canby dans sa rubrique du New York Times écrivit : « Mr. McTiernan n'est pas un réalisateur subtil. Le public est averti par un mot et une musique lorsqu'il doit craindre le pire, même si l'action à l'écran lui dit le contraire.»
     
    David Ansen, de Newsweek écrivit : « Mais c'est au niveau des tripes qu'Octobre Rouge déçoit.[...] Comme une bouilloire trop pleine, elle met trop longtemps avant d'arriver à ébullition. » (et celle là...qui fait son impatiente!...bouh la vilaine)





    © DR -A LA POURSUITE D'OCTOBRE ROUGE (1990) p9

    05/03/2013 16:00

     © DR -A LA POURSUITE D'OCTOBRE ROUGE (1990) p9


    Courtney B. Vance  : l'opérateur sonar Ronald Jones

     

    La critique U.S (fin)

    Cependant, Roger Ebert le qualifie de "film efficace, habile,qui nous plonge dans un jeu habile et trompeur"Nick Schager, pour le magazine Slant note « À la poursuite d'Octobre Rouge est un thrilling edge-of-your-seat trifle qui a admirablement résisté à l'épreuve du temps.».En 2010, le film a un taux de 95 % de critiques positives sur Rotten Tomatoes. 





    © DR -A LA POURSUITE D'OCTOBRE ROUGE (1990) p10

    05/03/2013 16:21

    © DR -A LA POURSUITE D'OCTOBRE ROUGE (1990) p10


     

    Une parabole sur la fin de la guerre froide
     
    Le film commence par les répliques : « Il fait froid ce matin capitaine », « ... oui froid ». On peut voir dans le sous-marin Octobre rouge et ses capacités, une parabole de la crise des euromissiles.L'URSS bénéficiait alors d'une possibilité de première frappe rapide contre les alliés des États-Unis. Mais comme en atteste le dialogue sur la pêche à la fin du film, le commandant Ramius est le camarade,ami de Tous les Hommes.
     
    En 1990, Mikhaïl Gorbatchev reçoit le Prix Nobel de la paix pour sa contribution à la fin de la guerre froide et la recherche du désarmement.
    *
    Une partie du film se déroulant dans un sous-marin russe, les membres de l'équipage sont censés parler en russe. Pour faire la transition, le film use d'un artifice original : Un officier politique soviétique se saisit d'un ancien texte hindou et lit une citation en commençant en russe pour finir en français, après une courte pause de ponctuation :« [...] Maintenant je suis Shiva, le destructeur des mondes... » (citation reprise par Robert Oppenheimer, le père de la bombe atomique).





    © DR -A LA POURSUITE D'OCTOBRE ROUGE (1990) p11

    05/03/2013 16:31

    © DR -A LA POURSUITE D'OCTOBRE ROUGE (1990) p11


    La critique (par Reznick)
    Revoir A LA POURSUITE D'OCTOBRE ROUGE permet de constater à quel point les films de John McTiernan résistent aux outrages du temps. Fort d'un scénario volontairement anachronique à l'idéologie présente mais atténuée, d'une interprétation de 1er choix et d'une réalisation servant avec sobriété la pointe des départements artistiques hollywoodien (à quelques plans composites près), le film ne vieillit pas.
    *
    Impossible tout d'abord de ne pas évoquer le choix de Sean Connery pour incarner le capitaine Ramius, légende vivante de la flotte soviétique et leader respecté de son équipage.Qui d'autre que lui aurait pu imprimer une telle aura au personnage ? Personne, car c'est autant Ramius que Sir Sean que l'on regarde braver les 2 puissances du monde dans sa boîte a sardine.

    Tant et si bien que sa seule présence dans le cadre suffit à étouffer complètement le reste du cast', en particulier le brave Baldwin qui ne deviendra pas la star que le rôle de Jack Ryan aurait du faire de lui.(moi qui n'aime pas trop cet acteur,je trouve qu'il est plutôt bon dans ce rôle...sans doute son meilleur parmi les films que j'ai vu avec lui...Bon c'est sûr que je préfère Harrison Ford mais il est quand même meilleur que Ben Affleck)
    *
    Pire, les scènes où il n'apparaît pas (l'enquête de Ryan) nous paraissent plus intéressantes et c'est avec délectation que l'on retourne dans l'Octobre Rouge pour un dernier acte entièrement sous-marin de haute volée.Discrète, la mise en scène de McTiernan est entièrement au service des situations et se borne à offrir un confort et une compréhension visuelle de tous les instants. De même qu'on ne relève pas l'utilisation chromatique subtile de l'éclairage des 3 bâtiments qui se font la chasse (chacun ayant un code couleur immédiatement mais inconsciemment reconnaissable) on gobe sans moufter le passage du russe à l'anglais, organisé par un délicat zoom/dézoom en début de métrage.Fortiche.
    *
    Le seul vrai défaut du film tient dans le travail de simplification qui a été nécessaire pour qu'on puisse porter le livre de Clancy à l'écran. Fort d'un arrière-plan géopolitique assez riche et parfaitement compréhensible, le scénario a ce tort de nous révéler un peu trop tôt des éléments qui auraient pu intensifier l'ambiguïté et le suspens de nombreuses situations.
     





    Début | Page précédente | 815 816 817 818 819 820 821 822 823 824 825 826 827 828 829 830 831 832 833 | Page suivante | Fin
    [ Annuaire | VIP-Site | Charte | Admin | Contact tellurikwaves ]

    © VIP Blog - Signaler un abus