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© DR - MAX PAYNE de John Moore (2008) fin
22/10/2012 18:05
oh my god what happened
Author: Laughingman from United Kingdom 5 April 2009 No spoiler here - it doesn't need one, its already spoiled!
OK so I am biased, having played both games to completion several times over I loved them both - dark, gritty, twisted, film noir greatness. the games, as most will no doubt know, were almost a scripted story board that was ready to go as a movie - seriously it should have been easy - don't bother with script writers - the script was already there, the games are a screen play! even down to camera angles and lighting - it should have been a no brainer.
I would love to know what would have happened in the production crew and actors had actually played the game, but alas I suspect they had a treatment to work with and they just ran with that - Mark was an awesome choice for the role of Max but there it stops. My big question is if your going to make a film of a great game why risk alienating the original fan base by not sticking with the already existing story line and instead running with an "off the shelf" plot (that was on the shelf for a good reason - it sucked!) and just putting in the appropriate names.
So whats next? do we have to now watch as Hollywood works it's way through more games - maybe Halflife? or Deus Ex - both could make awesome films but if this is what they are going to do with them why bother ?Simply put if your going to make a movie from an award winning game that sold in the millions - STICK WITH THE f*&KING STORY! games designers spend a lot of time making great games with great stories - gamers spend a lot of time enjoying them where the hell does some half arsed hack of a director get off knocking out crap like this.
Yes its a given you name a film after a game with this sort of following and it will sell seats in the cinema - but do a good job of it- stick to the story and it will be a blockbuster! - it can be done - they said that Lord of the Rings and The Watchmen couldn't be done - but they were and were fantastic - granted they aren't games but the principle is the same - you research the material of the story before you make the film - get some of the original artists and creative producers involved instead of knocking out crap like this, it's not fair on the fans - and thats who the film is made for surely - do it well and they will market the game via word of mouth far better than any amount of trailers and hype will ever do and that means more money for the producers, I really don't understand why you would do it any other way.
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© DR - IL ETAIT UNE FOIS EN AMERIQUE (1984)
23/10/2012 10:56
Il était une fois en Amérique (Once Upon a Time in America)
est le dernier film réalisé par Sergio Leone sorti en 1984.
Il est adapté du roman The Hoods de Harry Grey.
Beaucoup le considèrent comme le chef-d'oeuvre ultime de Sergio Leone
(je suis de cet avis...j'irai même plus loin en disant que c'est le SEUL film qu'il ai réalisé qui soit pour moi digne d'intéret (je n'aime pas les "spaghettis" westerns ni les péplums des 50's 60's 70's)
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© DR - IL ETAIT UNE FOIS EN AMERIQUE (1984) p2
23/10/2012 14:29
Résumé (partiel) En 1920, dans le Lower East Side, le quartier juif de New York, un adolescent, Noodles, vit de petites rapines avec ses copains Cocky, Patsy et Dominic. Survient un cinquième mousquetaire, Max, qui plus déterminé, prend en mains la petite bande.Au cours d'un règlement de comptes avecune autre bande, Noodles venge l'assassinat de Cocky en tuant le chef rival, Bugsy. Il est incarcéré. 1930. A sa sortie de prison, Noodles est accueilli par ses amis, devenus prospères grâce à la prohibition.Quand cette dernière est abolie, Max nourrit des projets très ambitieux ...
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Titre original : « Once upon a time in America » Critique de: Le Monde (l'oeil sur l'écran) Lui : A la fin des années soixante, l'ex-gangster Noodles revient à New York après 35 ans d'éloignement. Il se remémore son passé… Il était une fois en Amérique est librement inspiré du livre autobiographique de Harry Gray. Le projet de Sergio Leone a mis plus de dix ans à éclore et le tournage fut interminable. Après la conquête de l'Ouest et la révolution mexicaine, il s'attaque à une autre grande mythologie américaine, le gangster.
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Cette vaste fresque est construite en flashbacks allant des années vingt au milieu des années trente, fin de la Prohibition. Le film de Leone est à la fois l'histoire de deux gangsters juifs liés par une forte amitié et une variation sur la représentation/idéalisation du cinéma. Toute cette histoire est d'ailleurs issue d'un cerveau en pleine divagation sous l'emprise de l'opium. Leone use (et abuse parfois) de ses effets, créant la tension par de longs plans d'attente. Son cinéma témoigne ici d'une belle vitalité.
Les lecteurs du Monde
Rédigé par : Semprini | le 01 juin 2011 à 16:36 | Je suis un peu étonné par la sévérité des commentaires précédents (sans compter la bétise de la comparaison avec Luc Besson).Il était une fois en Amérique est un très grand film, reconnu comme tel par la critique depuis de nombreuses années (après, certes, que sa réception ait été parasitée par le remontage américain catastrophique du film ; le film, aujourd’hui, n’est heureusement exploité en dvd que dans sa version européenne).
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Film proustien, sur le temps perdu qui ne peut se retrouver que par l’art et les rêves, film douloureux, montrant la vie d’un homme médiocre et déçu, incapable de se controler et de tirer le meilleur parti de sa vie, film tout de sensations (le son, la musique, l’érotisme, la violence , y sont primordiales) profondément mélancolique, c’est le film de la maturité por Leone (les très gros plans, les gueules et les silences forcés de la série des « dollars » ont été remisés au placard) et son chef-d’oeuvre. Extraordinaire musique de Morricone.
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© DR - IL ETAIT UNE FOIS EN AMERIQUE (1984) p3
23/10/2012 14:33
Résumé 2 New York à la fin de la Prohibition. Recherché par le FBI à la suite d'une combine qui a mal tourné, David "Noodles" Aaronson se réfugie dans une fumerie d'opium. Il doit quitter la ville en catastrophe pour n'y revenir que trois décennies plus tard, en 1968, alors qu'une mystérieuse note le presse de se rendre sur la tombe de ses anciens amis.
De retour dans le quartier juif de Brooklyn, Noodles rappelle à lui les souvenirs de sa jeunesse : son adolescence dans ces rues, les règlements de compte entre bandes, ses rendez-vous amoureux avec Deborah, et sa rencontre avec Max, le caïd qui l'entraîna peu à peu dans le crime...
La critique
Rédigé par : Semprini | le 06 juin 2011 à 10:52
* La presque totalité des grands réalisateurs ont repris dans leurs films, au détail près, certaines photos, certains tableaux célèbres. Il y a des dizaines d’exemples connus de cela, chez Ford, Hitchcock, Visconti (rien que dans Mort à Venise, on trouve des dizaines de plans tirés des peintres impressionnistes), Eisenstein, Malick, Godard, Scorsese, etc… Et c’est parfaitement normal. C’est comme cela qu’on fait du cinéma, depuis son invention.Imaginer que cela pose un problème quand il s’agit de Leone relève soit de la mauvaise foi, soit d’une méconnaissance de la matière dont les grands cinéastes tirent leur film.Même si Il était une fois en Amérique est un chef-d’oeuvre, qui a d’ailleurs été beaucoup commentés ces dernières années par la critique, je n’aime pas particulièrement Leone.
Mais il a quelque chose que les grands cinéastes ont : un style et un univers reconnaissables, et des thèmes récurrents dans sa trilogie sur l’histoire des Etats-Unis (la conquète de l’ouest et le début de la civilisation avec les classes sociales qu’elle impose dans Il était une fois dans l’ouest ; la tentation de la révolution et la dénonciation de l’illusion lyrique qu’elle produit alors qu’elle n’est finalement qu’un avatar de l’instinct de mort, dans le très beau Il était une fois la Révolution ; et enfin, la fin de toutes les illusions, pas seulement sociales ou utopiques, mais surtout les illusions que l’on peut avoir sur soit-même, avec le mélancolique et proustien (l’influence de Proust est énorme sur ce film, et ce n’est pas une blague) Il était une fois en Amérique, film qui précède et annonce la mort de Leone.Et ce style, ces thèmes reconnaissaibles suffisent, qu’on le veuille ou non, à faire de Leone un grand cinéaste.
* Rédigé par : zinjero | le 01 juin 2011 à 19:46 | Qu’est-ce que vous racontez ? « Il était une fois en Amérique » c’est du cinq étoiles. Semprini a tout dit ou presque. J’ajouterai que James Woods et De Niro y sont remarquables.
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© DR - IL ETAIT UNE FOIS EN AMERIQUE (1984) p4
23/10/2012 14:38
Deborah (Jennifer Connelly) ;son premier grand rôle au cinéma
Résumé Wiki David « Noodles » Aaronson, au soir de sa vie, revient à New York et se souvient. Il contemple d’un regard dur, désabusé et pourtant apaisé, sa vie manquée,sa jeunesse délinquante dans le Lower East Side, ghetto juif des années 1920, sa bande d’amis et surtout Max, son ami de toujours. Leur ascension dans la pègre grâce au trafic d'alcool.Il se rappelle aussi la violence, la sombre période de la Prohibition, les meurtres, et le projet de casse de la Réserve fédérale des États-Unis qui a causé la mort de ses compagnons. Mais il se souvient également de sa longue relation amoureuse ratée avec Deborah pendant toute sa vie, depuis l'adolescence.
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La critique US
Roger Ebert January 1, 1984
This was a murdered movie, now brought back to life on home video. Sergio Leone's "Once Upon a Time in America", which in its intended 227-minute version is an epic poem of violence and greed, was chopped by ninety minutes for U.S. theatrical release into an incomprehensible mess without texture,timing, mood, or sense. The rest of the world saw the original film, which I saw at the Cannes Film Festival. In America, a tragic decision was made.
When the full-length version (now available in cassette form) played at the 1984 Cannes Film Festival, I wrote:"Is the film too long? Yes and no. Yes, in the sense that it takes real concentration to understand Leone's story construction, in which everything may or may not be an opium dream, a nightmare, a memory, or a flashback, and that we have to keep track of characters and relationships over fifty years.
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