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©-DR- INTERSTELLAR de Christopher Nolan (2014) p15
10/12/2015 04:12
Trivia
Showing all 137 items lien vers la liste complète http://www.imdb.com/title/tt0816692/trivia?ref_=ttexrv_ql_trv_1
Early in pre-production, Dr. Kip Thorne laid down two guidelines to strictly follow: nothing would violate established physical laws, and that all the wild speculations would spring from science and not from the creative mind of a screenwriter. Christopher Nolan accepted these terms as long as they did not get in the way of the making of the movie. That did not prevent clashes, though; at one point Thorne spent two weeks talking Nolan out of an idea about travelling faster than light.
To create the wormhole and black hole, Dr. Kip Thorne collaborated with VFX supervisor Paul J. Franklin and his team at Double Negative. Thorne provided pages of deeply sourced theoretical equations to the team, which then created new CGI software programs based on these equations to create accurate computer simulations of these phenomena. Some individual frames took up to 100 hours to render, and ultimately the whole CGI program reached to 800 terabytes of data. The resulting VFX provided Thorne with new insight into the effects of gravitational lensing and accretion disks surrounding black holes, and led to him writing two scientific papers--one for the astrophysics community and one for the computer graphics community.
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For a cornfield scene, Christopher Nolan sought to grow 500 acres of corn, which he learned was feasible from his producing of Man of Steel (2013).The corn was then sold and actually made a profit.
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Steven Spielberg, who was attached to direct the film in 2006 and hired Jonathan Nolan to write the screenplay, chose other projects instead. In 2012, after Spielberg's departure, Jonathan Nolan suggested the project to his brother Christopher Nolan.
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The majority of shots of the robot TARS were not computer-generated. Rather, TARS was a practical puppet controlled and voiced on set by Bill Irwin, who was then digitally erased from the film. Irwin also puppeteered the robot CASE, but in that instance had his voice dubbed over by Josh Stewart.
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Composer Hans Zimmer was instructed by Christopher Nolan to make a unique score: "It's time to reinvent. The endless string [ostinatos] need to go by the wayside, the big drums are probably in the bin." Nolan did not provide Zimmer a script or any plot details for writing music for the film and instead gave the composer "one page of text" that "had more to do with [Zimmer's] story than the plot of the movie".
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The method of space travel in this film was based on physicist Kip Thorne's works, which were also the basis for the method of space travel in Carl Sagan's novel "Contact", and the resulting film adaptation, Contact (1997). Matthew McConaughey stars in both films.
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The giant dust clouds were created on location using large fans to blow cellulose-based synthetic dust through the air.
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Christopher Nolan cast Matthew McConaughey after seeing his performance in Mud - Sur les rives du Mississippi (2012). It was an "ideal moment" for Nolan when they landed a Texas native, McConaughey, for the lead role: "I'm thrilled for him right now. I didn't know how much potential he had until I saw 'Mud', not just as a leading man but in sheer acting talent." He remarked that in McConaughey he "needed an everyday man who can experience these extraordinary events".
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Anne Hathaway suffered from hypothermia while filming in Iceland due to the fact that her astronaut suit was open while filming scenes in the icy water.
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According to Dr. Kip Thorne, the largest degree of creative license in the film are the clouds of the ice planet, which are structures that probably go beyond the material strength which ice would be able to support.
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©-DR- INTERSTELLAR de Christopher Nolan (2014) fin
10/12/2015 04:19
Distinctions (extrait)
Showing all 34 wins and 119 nominations!!
Academy Awards, USA 2015
Golden Globes, USA 2015
Nominated Golden Globe |
Best Original Score - Motion Picture Hans Zimmer |
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©-DR- ZULU de Jérôme Salle (2013)
18/12/2015 15:14
Zulu
est un film policier franco-sud-africain écrit et réalisé par Jérôme Salle, sorti en 2013.
Le scénario est une adaptation du livre épo du même nom Zulu de Caryl Férey, œuvre littéraire couronnée par le grand prix de littérature policière[1] en 2008 et par le prix Jean Amila-Meckert au Salon du livre d'expression populaire et de critique sociale d'Arras en 2009[2]. L'œuvre fait référence au Projet Coast, le programme d'armement biologique et chimique du régime d'apartheid d'Afrique du Sud[3].
Résumé
Ali Sokhela, un officier de police noir de la police du Cap, travaille avec son partenaire blanc Brian Epkeen et sa jeune recrue Dan Fletcher sur l'assassinat d'une jeune étudiante, assassinat qui est lié à une nouvelle drogue. En enquêtant sur cette affaire, ils vont découvrir un terrible secret qui remonte aux heures les plus sombres de l'Apartheid.
Fiche technique
Cast
Auditions
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Tournage
Initialement prévu en mi-juillet 2012 [9], l'équipe de la production et le réalisateur s'envolent pour Le Cap en Afrique du Sud où le tournage débute finalement en finseptembre 2012 [8].
Accueil critique
Lors de sa sortie en salles, Zulu rencontre un accueil favorable des critiques, avec une note moyenne de 3,2/5 sur le site AlloCiné, pour 16 titres de presse[10].
Box-office
Distribué dans 243 salles, Zulu occupe la cinquième place du box-office français avec 137 545 entrées la semaine de sa sortie[11]. Il reste dans le top 20 hebdomadaire les deux semaines suivantes avec un total de 249 566 entrées [11]. Après sept semaines restés à l'affiche, Zulu finit son exploitation avec 279 056 entrées [11]. À l'international, il rapporte 2 621 496 $ de recettes[12].
Distinction (on verra ça avec IMDb...nettement plus fiable !)
Récompenses
Sélection
Notes
- ↑ La motivation du CNC pour la classification de Zulu est la suivante : « Pour la version courte de ce film, la commission propose une interdiction aux mineurs de moins de douze ans, sans toutefois l'assortir de l'avertissement proposé pour la version longue. Cette interdiction est motivée par la présence de scènes particulièrement violentes et susceptibles de choquer un jeune public »
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©-DR- ZULU de Jérôme Salle (2013) p2
19/12/2015 14:39
Le Monde .fr (extrait) Le réalisateur Jérôme Salle, qui avait mis en scène le dispensable Anthony Zimmer (2005) et les tout aussi peu mémorables adaptations cinématographiques de la série en bande dessinée « Largo Winch », transpose de nouveau un livre à l'écran. Zulu est tiré du roman épo du mm nom du Français Caryl Férey, auteur globe-trotter qui n'a pas son pareil pour appréhender la noirceur de la nature humaine.
Ancrant son récit politique et social dans une Afrique du sud à deux vitesses où la misère des townships voisine avec le luxe indécent des villas cossues, le romancier signait un polar efficace, traversé par une violence étourdissante dont Jérôme Salle reprend fidèlement la trame. L'histoire démarre par la découverte du corps d'une jeune étudiante blanche aisée dans les bas quartiers de la ville. Le policier Ali Sokhela (Forrest Whitaker), flanqué de son coéquipier débauché Brian Epkeen (Orlando Bloom), mène l'enquête.
Elle les entraîne sur la piste d'une drogue de synthèse, mise au point pendant l'apartheid pour éradiquer la race noire et qui fait des ravages dans les quartiers pauvres.Au cours de leurs investigations, les policiers tombent sur un gang, qui protège les intérêts d'un consortium. Après la mort d'un de ses hommes, Ali, tourmenté par un passé douloureux, fait de cette enquête une affaire personnelle.
A lire les déclarations du réalisateur, Zulu serait un film sur le pardon. Ce qu'il montre est aux antipodes de ces pieuses et louables intentions.(y a pas à pardonner à ces enculés!! on les exterminent point barre)La commission de vérité et de réconciliation, mise en place après l'apartheid et visant à la réconciliation nationale entre victimes et auteurs d'exactions, cristallise le ressentiment des protagonistes.
Ils en dénoncent l'hypocrisie par laquelle des bourreaux n'ont pas eu à répondre de leurs actes ignobles. C'est insensiblement mais inévitablement que l'histoire dérive vers une sorte de légitimation nauséeuse (mais légitime bordel!!)de l'autojustice.On comprend (j'en doute connard !)qu'Ali Sokhela, dont le père fut brûlé vif sous ses yeux par des Blancs (crime qui fait l'ouverture du film, histoire de se mettre dans l'ambiance) et dont la mère a été assassinée, a soif de vengeance. Il l'assouvit de la plus sauvage des manières dans le désert.
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©-DR- ZULU de Jérôme Salle (2013) p3
19/12/2015 14:43
SENS CRITIQUE
Critique publiée par claire-marie le 31 décembre 2013 Sortir de la salle, quand on vient de voir Zulu, c'est une épreuve presque aussi difficile que de regarder en face pendant 1h50 des corps décharnés, de la violence et de la haine.Zulu, en sortant de la salle, c'est un désespoir sans nom.On réalise que ce qu'on a vu, ce n'était pas un film. La réalité de la vie sud-africaine qui se balance à votre face et vous qui n'avez vraiment pas envie de le savoir.Moi ce film il m'a juste donné envie de fabriquer une bombe atomique dans mon garage pour mettre fin à l'humanité.
Zulu, l'histoire d'une enquête criminelle au sujet pas vraiment passionnant, mais qui se fait sur un fond bien trop réaliste et prenant pour laisser tout le monde indifférent.Des personnages vraiment clichés, mais qui finalement se marient plutôt bien avec un milieu qui lui aussi balance dans les extrêmes : on oublie vite les caractères peut être trop marqués au profit d'un sujet bien plus passionnant.Si l'histoire de drogue et de meurtres, on s'en fiche un peu, il est bien plaisant de la considérer seulement comme prétexte à l'exposition d'une Afrique du Sud démembrée, où quelques gangs charognards sont bien plus effrayants que la police et que les quelques portails de villas blanches.
Si les personnages et leurs histoires, on s'en fiche un peu, toujours est-il intéressant de penser, dans un pays comme l'Afrique du Sud, la thématique du pardon. Le pardon qu'on n'a pas donné au père de Ali, agonisant dans son collier de feu, et que l'on imagine avoir collaboré avec les blancs du temps de l'apartheid. Le pardon qu'on a donné a toute l'administration, à toute l'élite blanche qui en 1994 est passée en un clin d'oeil d'une politique raciste au bonheur de la nation arc-en-ciel.
Le pardon prôné par Mandela, finalement,est-il possible ? Est-il possible quand 20 ans après on ne s'en sort toujours pas ?Finalement, la même histoire et les mêmes personnages dans tout autre pays n'auraient été d'aucun intérêt, mais ici le talent de réalisation se montre bien plus dans ce pays là, dans cette Histoire là, dans ces cicatrices là.
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