Critique publiée par Camden le 11 novembre 2013
Nikita incarne tout ce que j’attends d’un film d’espionnage : des personnages en proie à des doutes humains(figurés par le personnage de Jean-Hugues Anglade)et une représentation de la machine qui les broie (celui de Tchéky Karyo).Après une scène d’introduction choc, le film déroule les moments de bravoure portés par une Anne Parillaud hallucinée et se clôt sur une scène tout aussi choc avec l’arrivée de Jean Reno, simplement mythique.Le film profite par ailleurs d’un bel éclairage et d’une jolie composition d’Eric Serra.Un classique d’une sobriété désarmante(?).