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 CINEMA :Les blessures narcissiques d'une vie par procuration
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CINEMA :Les blessures narcissiques d'une vie par procuration

VIP-Blog de tellurikwaves
  • 12842 articles publiés
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  • Créé le : 10/09/2011 19:04
    Modifié : 09/08/2023 17:55

    Garçon (73 ans)
    Origine : 75 Paris
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    ©-DR- ASCENSEUR POUR L'ECHAFAUD de Louis Malle (1958) fin

    23/10/2014 18:14

    ©-DR- ASCENSEUR POUR L'ECHAFAUD de Louis Malle (1958) fin


    Récompenses
    *
    Prix Louis-Delluc 1957
    Grand Prix du disque de l'Académie Charles-Cros
    décerné au disque de la bande originale





    ©-Louis Malle -Biographie

    24/10/2014 06:21

    ©-Louis Malle -Biographie


    Louis Malle (30 octobre 1932 à Thumeries - 23 novembre 1995 à Beverly Hills) est était un cinéaste français.


    Biographie

     

    Les débuts
    Né à Thumeries dans le Nord en 19321 au milieu d'une fratrie de trois frères et deux sœurs, Louis Malle est issu d'une grande famille d'industriels du sucre : son père, Pierre Malle (1897-1990), ancien officier de marine, est l'époux de la sœur de Ferdinand Béghin, Françoise (1900-1982). Les deux hommes sont directeurs de l'usine Béghin-Say de Thumeries.Il grandit dans le milieu de la grande bourgeoisie et traverse l'Occupation dans différents internats catholiques dont celui qu'il évoque plus tard dans Au revoir les enfants. Dès l'âge de 14 ans, il s'initie à la réalisation avec la caméra 8 mm de son père. Il pense étudier les sciences politiques à l'Université de Paris mais c'est à ce moment que germe sa carrière de cinéaste. Il est reçu au concours de l'IDHEC.

    Jacques-Yves Cousteau recherche alors un jeune assistant pour coréaliser un documentaire sur les fonds marins. Parmi les jeunes étudiants que la direction de l'IDHEC lui propose, il choisit Malle. Plusieurs mois de travail sur la Calypso aboutissent au Monde du Silence (1955), récompensé par la Palme d'or à Cannes (premier film documentaire à en être lauréat et encore aujourd'hui le seul avec Fahrenheit 9/11 de Michael Moore).Sur le tournage, Louis Malle se crève les tympans lors d'une plongée et ne peut plus à l'avenir réaliser des travaux de ce type. Les projets qui suivent, films et documentaires, sont moins consensuels et volontiers provocateurs, optant pour des sujets plus critiques ou polémiques.

    Il travaille par la suite avec Robert Bresson à la préparation d' Un condamné à mort s'est échappé et assiste à une partie du tournage. Il est profondément marqué par le travail de Bresson avec les "non-acteurs".C'est alors l'essor de la Nouvelle Vague mais Malle n"est jamais reconnu par ce mouvement même si son cinéma des débuts partage avec elle plusieurs caractéristiques.*Malle suit son chemin seul, guidé par ses propres motivations.Il réalise son premier long métrage de fiction à 25 ans, Ascenseur pour l'échafaud (1957), histoire d'assassinat avec Jeanne Moreau et Maurice Ronet qui joue sur les codes du film noir et remet en cause la dramaturgie du cinéma classique. La bande originale est réalisée par Miles Davis. Elle montre l'intérêt de Malle pour le jazz3. Le film remporte le Prix Louis-Delluc en 1957.

    Dans Les Amants, une nouvelle fois interprétée par Jeanne Moreau, qui s'inspire lointainement de Point de lendemain de Vivant Denon, il s'attaque à l'hypocrisie de la société bourgeoise à travers le récit d'une relation adultère. Suivent l'adaptation légère, ludique et enthousiaste d'un roman de Raymond Queneau, Zazie dans le métro (1960), et celle d'un récit de Pierre Drieu La Rochelle, Le Feu follet (1963) qui traite de la dépression et du suicide.Le Voleur porte un regard cynique sur la bourgeoisie et les élites politiques, qui restent les cibles favorites de Louis Malle. Le Voleur du titre personnifie l'homme libre, extérieur à ce système empli de préjugés et sournois.Une acerbe critique sociale sourd dans la peinture psychologique des personnages Malle tourne par ailleurs plusieurs documentaires dont Calcutta, l'Inde fantôme en 1969.

    Polémique et exil
    De retour des Indes, il tourne un film lointainement inspiré de Ma mère de Georges Bataille, qui provoque un tollé : Le Souffle au cœur. Il y évoque la relation incestueuse et romantique entre une mère et son fils. Ce thème est traité sans aucun jugement moral, ce qui sera une constante chez le réalisateur pour qui la vie s'apparente à une série de situations complexes. Il n'y a ni innocents ni coupables ou représentants du bien d'un côté et du mal de l'autre. Pour Malle, le spectateur doit être capable de se faire une opinion, sans condamner d'avance.

    Trois ans plus tard, c'est sur un autre thème qu'il provoque une controverse. Dans Lacombe Lucien (1974) il décrit le progressif engagement d'un jeune homme désœuvré dans la collaboration après qu'il a tenté d'intégrer sans succès la Résistance. Là encore, Malle ne porte aucun jugement, et montre un individu dont l'engagement est essentiellement dû au hasard des circonstances. Même si une partie de la critique salue le film comme un chef-d'œuvre, une autre partie accuse le réalisateur de tous les maux, lui reproche notamment de ne pas avoir vécu assez durement la guerre et juge son travail comme un affront à la mémoire des Résistants.

    Cette polémique le décide à s'expatrier aux États-Unis. Il tourne entre autres à La Nouvelle-Orléans un drame à costume sur la prostitution infantile, La Petite, avec la jeune Brooke Shields puis part pour Hollywood réaliser Atlantic City (1980), avec Burt Lancaster, Susan Sarandon et Michel Piccoli, film qui raconte les mésaventures d'un truand à la retraite et de sa voisine dans la ville des casinos de la Côte Est.

    La consécration
    Lorsqu'il revient en France en 1987, c'est pour s'attacher au thème qui l'avait fait partir : l'Occupation. C'est alors la consécration de sa carrière avec Au revoir les enfants. Dans un collège catholique, un garçon issu de la bourgeoisie découvre qu'un de ses camarades est juif. Une amitié, qui se construit entre les deux adolescents, ne peut empêcher une fin tragique.Dans ce film, Louis Malle montre ce dont il se souvient de la guerre. L'histoire est en partie autobiographique, il a été témoin d'une situation similaire lors de son enfance, un jeune Juif avait été caché dans son internat puis découvert par la Gestapo et déporté. Il dira d'ailleurs que ce thème le hantait depuis toujours et que c'est cette histoire tragique qui l'avait amené au cinéma.

    Le film reprend aussi certains éléments de ses précédents films polémiques : de Lacombe Lucien il reprend le collabo "malgré lui", du Souffle au cœur il reprend la relation fusionnelle entre la mère et le fils. Là encore il ne juge personne, il n'y a ni bons ni méchants mais une certaine fatalité. Cette œuvre, marquée par la fluidité de son récit et la sobriété de sa mise en scène, est considérée comme la plus émouvante et la plus personnelle de sa carrière.Elle reçoit un triomphe critique et public et obtient plusieurs récompenses en 1987 et 1988 : le Lion d'or à Venise, le Prix Louis-Delluc et sept Césars dont ceux du meilleur film et du meilleur réalisateur. Suivent la comédie Milou en mai puis Fatale et l'adaptation de la pièce d'Anton Tchekhov Vanya, 42e rue (1994). Il meurt d'un lymphome le 23 novembre 1995 à Los Angeles.


    Vie privée
    Il a été marié à Anne-Marie Deschodt de 1965 à 1967. Il a eu un fils, Manuel Cuotemoc (né en 1971), avec l'actrice allemande Gila von Weitershausen et une fille Justine Malle (née en 1974) avec l'actrice franco-canadienne Alexandra Stewart.

    Il fréquente, entre autres, Susan Sarandon à la fin des années 70.

    Il a épousé l'actrice Candice Bergen en 1980. Ils ont eu une fille, Chloé Malle, née en 1985. Ils sont restés mariés jusqu'à sa mort en Californie, en 1995.

    Sa cousine, Françoise Béghin (née en 1938), fille benjamine de son oncle maternel Ferdinand Béghin, est l'épouse de l'écrivain et académicien Jean d'Ormesson.

    L'un de ses frères, Vincent Malle, fut un producteur de cinéma.

     

    Documentaires
    Au cours de sa carrière, le réalisateur a alterné des films de fiction pure et des documentaires. Le documentaire le plus connu pour lequel il a collaboré est sans conteste Le Monde du silence qui reste le premier vrai film sur la faune sous-marine. Coréalisé avec Jacques- Yves Cousteau, ce long métrage marque sa première grande expérience professionnelle pour laquelle il devient scaphandrier.

    Quinze ans plus tard, sur l'exemple de Jean Renoir et Roberto Rossellini, il filme la vie des Indiens dans une série de documentaires tels que L'Inde fantôme, réflexion sur un voyage et Calcutta, Prix de la fraternité 1969. Son expérience indienne le fait un temps hésiter à revenir à la fiction. Il décide ensuite de filmer une autre forme de pauvreté : celle des travailleurs français plongés dans une précarité quotidienne à cause de l'usine Citroën de Rennes. Humain trop humain sort en 1973 puis "Place de la République" en 1974 où il donne la parole aux parisiens. Il filme également la population pauvre des États-Unis dans God's Country (1985) et La Poursuite du bonheur (And the Pursuit of Happiness, 1986). Il y relate le parcours d'individus qu'il avait suivis une décennie plus tôt.

     

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    ©-Louis Malle -Filmo

    24/10/2014 07:33

    ©-Louis Malle -Filmo


    avec B.B /Tournage de VIE PRIVEE (1962)

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    Filmographie

     

    Première période française
    1953 : Crazeologie (court métrage)
    1955 : La Fontaine de Vaucluse (court métrage)
    1955 : Station 307 (court métrage)
    1955 : Le Monde du silence (documentaire) coréalisé avec Jacques-Yves Cousteau,Palme d'or au festival de Cannes
    1957 : Ascenseur pour l'échafaud
    1958 : Les Amants (m'en rappelle plus)
    1960 : Zazie dans le métro (m'en rappelle plus)
    1962 : Vie privée (m'en rappelle plus)
    1962 : Vive le Tour ! (court métrage documentaire) coréalisé avec Jacques Ertaud
    1963 : Le Feu follet
    1964 : Bons baisers de Bangkok (court métrage documentaire)
    1965 : Viva Maria !
    1967 : Le Voleur (un bon Belmondo)
    1968 : Histoires extraordinaires - segment William Wilson (moyen métrage)
    1969 : Calcutta (documentaire)
    1969 : L'Inde fantôme (série télé documentaire)
    1971 : Le Souffle au cœur
    1973 : Humain, trop humain (documentaire)
    1974 : Place de la République (documentaire)
    1974 : Lacombe Lucien
    1975 : Black Moon
    1976 : Close Up (court métrage documentaire)
    1977 : Dominique Sanda ou Le rêve éveillé (court métrage documentaire)
    *
    Période américaine
    1978 : La Petite
    1980 : Atlantic City
    1981 : My Dinner with André
    1983 : Crackers
    1985 : Alamo Bay
    1985 : God's Country (documentaire)
    1986 : ...À la Poursuite du Bonheur (documentaire)
    *
    Deuxième période française
    1987 : Au revoir les enfants
    1990 : Milou en mai
    1992 : Fatale
    1994 : Vanya, 42e rue

    Bibliographie
    Pierre Billard, Louis Malle, le rebelle solitaire, Plon,? 2003 (ISBN 2-259-19243-2)

     






    ©-Louis Malle -Distinctions

    24/10/2014 07:43

    ©-Louis Malle -Distinctions


    avec sa femme -Candice Bergen

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    Récompenses, sélections et nominations

     

    Oscars
    1957 : Oscar du meilleur film documentaire (avec Jacques-Yves Cousteau) - Le Monde du silence
    1973 : nomination à l'Oscar du meilleur scénario original - Le Souffle au cœur
    1975 : nomination à l'Oscar du meilleur film en langue étrangère - Lacombe Lucien
    1982 : nomination à l'Oscar du meilleur réalisateur - Atlantic City
    1988 : nomination à l'Oscar du meilleur film en langue étrangère - Au revoir les enfants

    Golden Globes
    1982 : nomination au Golden Globe du meilleur réalisateur - Atlantic City
    1982 : nomination au Golden Globe du meilleur film étranger - Atlantic City
    1988 : nomination au Golden Globe du meilleur film étranger - Au revoir les enfants

    BAFTA
    1975 : BAFTA du meilleur film - Lacombe Lucien
    1975 : nomination au BAFTA du meilleur réalisateur et du meilleur scénario (avec Patrick Modiano) - Lacombe Lucien
    1982 : BAFTA du meilleur réalisateur - Atlantic City
    1982 : nomination au BAFTA du meilleur film - Atlantic City
    1989 : BAFTA du meilleur réalisateur - Au revoir les enfants
    1989 : Nomination au BAFTA du meilleur film, du meilleur scénario original et du meilleur film en langue étrangère - Au revoir les enfants
    1991 : Academy Fellowship Award pour l'ensemble de sa carrière
    1991 : Nomination au BAFTA du meilleur film en langue étrangère - Milou en mai

    Césars
    1988 : Césars du meilleur film, du meilleur réalisateur et du meilleur scénario - Au revoir les enfants

    Festival de Cannes
    1956 : Palme d'or (avec Jacques-Yves Cousteau) - Le Monde du silence
    1969 : sélection officielle, en compétition - Calcutta
    1971 : sélection officielle, en compétition - Le Souffle au cœur
    1978 : Grand Prix de la commission supérieure technique - La Petite

    Mostra de Venise
    1958 : Prix Spécial du Jury - Les Amants
    1963 : Prix Spécial du Jury - Le Feu follet
    1980 : Lion d'or - Atlantic City (désigné culturellement signifiant par la Bibliothèque du Congrès)
    1987 : Lion d'or - Au revoir les enfants

    Berlinale
    1984 : en compétition pour l'Ours d'or - Crackers

    Autres
    1956 : Prix Méliès (avec Jacques-Yves Cousteau) - Le Monde du silence
    1957 : Prix Louis-Delluc - Ascenseur pour l'échafaud
    1987 : Prix Louis-Delluc - Au revoir les enfants (ex æquo avec Jean-Luc Godard)
    1988 : European Award du meilleur scénario - Au revoir les enfants
    1989 : Bodil du meilleur film européen - Au revoir les enfants
    1990 : Prix David di Donatello du meilleur réalisateur étranger - Milou en mai

     






    ©-DR- Jeanne Moreau : Filmo - 2- les années 60

    24/10/2014 09:28

    ©-DR- Jeanne Moreau : Filmo - 2- les années 60


    1962 : Eva (Eva) de Joseph Losey : Eve Olivier (tournage)

    *

    *


    Années 60
    1960 : Le Dialogue des Carmélites de Philippe Agostini et Raymond Leopold Bruckberger : Mère Marie
    1960 : Moderato cantabile de Peter Brook : Anne Desbarèdes (m'en rappelle pas)
    1960 : Cinq femmes marquées  de Martin Ritt : Ljuba
    1961 : La Nuit (La Notte) de Michelangelo Antonioni : Lidia
    1961 : Une femme est une femme de Jean-Luc Godard : Une femme au bar, apparition
    1962 : Jules et Jim de François Truffaut : Catherine +
    1962 : Eva (Eva) de Joseph Losey : Eve Olivierm'en rappelle pas)
    1962 : Le Procès d' Orson Welles : Mlle Marika Burnstner
    1963 : La Baie des Anges de Jacques Demy : Jackie Demaistre
    1963 : Les Vainqueurs (The Victors) de Carl Foreman : Une femme Française
    1963 : Le Feu follet de Louis Malle : Jeanne
    1964 : Peau de banane de Marcel Ophüls : Cathy(m'en rappelle pas)
    1964 : Mata Hari de Jean-Louis Richard :  Zelle, dite « Mata Hari », agent d'espionnage(m'en rappelle pas)
    1964 : Le Train (The Train) de John Frankenheimer : Christine
    1964 : Le Journal d'une femme de chambre de Luis Buñuel : Célestine, (m'en rappelle pas)
    1965 : La Rolls-Royce jaune d'Anthony Asquith : La marquise de Frinton
    1965 : Viva María! de Louis Malle : Maria 1 + chansons:Ah ! les petites femmes de Paris, Paris, Paris
    1966 : Le Plus Vieux Métier du monde de Philippe de Broca : Mlle Mimi dans le sketch
    1966 : Mademoiselle de Tony Richardson : Mademoiselle
    1966 : Falstaff (Campanadas a media noche) d'Orson Welles : Doll Tearsheet
    1967 : La mariée était en noir de François Truffaut : Julie Kohler
    1967 : La Grande Catherine (Great Catherine) de Gordon Flemyng : La grande Catherine
    1967 : Dead Reckoning - The Deep - Film inachevé d'Orson Welles : Ruth Warriner
    1967 : Le Marin de Gibraltar (The Sailor from Gibraltar) de Tony Richardson : Anna
    1968 : Une histoire immortelle (The Immortal Story) d'Orson Welles : Virginie Ducrot
    1969 : Monte Walsh de William A. Fraker : Martine Bernard
    1969 : Le Corps de Diane de Jean-Louis Richard : Diane
    1969 : Le Petit Théâtre de Jean Renoir de Jean Renoir : La chanteuse dans le sketch : Quand l'amour meurt -            Film pour la télévision sorti en salles





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