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 CINEMA :Les blessures narcissiques d'une vie par procuration
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CINEMA :Les blessures narcissiques d'une vie par procuration

VIP-Blog de tellurikwaves
  • 12842 articles publiés
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  • Créé le : 10/09/2011 19:04
    Modifié : 09/08/2023 17:55

    Garçon (73 ans)
    Origine : 75 Paris
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    ©-DR-LES ADIEUX à LA REINE de Benoît Jacquot (2012) p27

    20/04/2014 18:23

    ©-DR-LES ADIEUX à LA REINE de Benoît Jacquot (2012)  p27


    Familiar territory
    6/10
    Author: Doha Film from Qatar
    15 August 2012

    For the next few years, it must be assumed that any film featuring a popular uprising will attract lazy comparisons to the Arab Spring. The wild waters of revolution run swift in Benoit Jacquot's "Farewell, My Queen", set in the days of July, 1789. Over a wet week in France, starving Parisians storm the symbol of state tyranny, the Bastille, seizing guns and ammunition.

    Protesters issue a list of demands, calling for the beheadings of nearly 300 influential figures. The de facto signs of regime change are everywhere. Dead rats float in the Grand Canal in Versaille;mosquitoes terrorize the members of the Royal household.MarieAntoinette(Diane Kruger), the Queen of France, however, has escapism on her mind – she sits in bed, skim-reading the latest fashion pages.

    In this task, she is aided by a number of ladies-in-waiting and her reader, Sidonie Laborde (Lea Seydoux). The young woman is called to run to the palace library and return with books and plays she reads aloud to the queen. We learn she is a member of the queen's inner circle and somewhat infatuated with her employer.She performs her duties with a mixture of fear, envy and respect. When the stench of revolution is impossible to ignore, she is told she will be guided to safety.

    Understandably, she feels more than a little betrayed when the queen orders her to impersonate a fleeing aristocrat, Gabrielle de Polignac, who will accompany her, dressed as a servant. If she is captured, Laborde risks death, while Polignac will abscond to safety. This could all be familiar territory – Sofia Coppola's "Marie Antoinette" (2006) took a distinctly sweet-toothed approach to the French Revolution, imprisoning Kirsten Dunst behind tiers of artisan cakes.

    In Coppola's film, the French royals behaved like party-goers on an episode of MTV's "My Super Sweet 16". "Farewell, My Queen", which is based on a novel by Chantal Thomas, isn't confection of the same variety.This dimly lit and low budget film marks the end of the fantasy world of Versailles, its gilded halls, jeweled furniture and costumed courtiers. The Royal staff bow and curtsy at every available opportunity – in their spare time, they trade gossip about the private indiscretions of their employers and idly speculate the future of post-revolutionary France.

    Unfortunately, the inner workings of the court of Versailles simply aren't any match for the layered politics that define teenage life on "My Super Sweet 16". While Coppola's film was candy floss masquerading as history, "Farewell, My Queen" succeeds in laboring every aspect of daily life at the Royal court. We are told, time and time again, there lurks intrigue behind every palace wall – most of it remains frustratingly off screen. At one point, I found myself thinking Laborde's chores were no different from the experiences of any gap year student – and considerably less hedonistic.

    The end, when it arrives, is all too predictable. As members of the royal household are attacked on the streets of Paris, the occupants of Versaille decide to flee. As the royals leave for the last time, their carriages bursting with furniture and jewels, the staff is told "the King will now check the temperature of the throne room". Ice-cold, I would imagine. Not unlike Jacquot's French revolution.






    ©-DR-LES ADIEUX à LA REINE de Benoît Jacquot (2012) fin

    20/04/2014 18:28

        ©-DR-LES ADIEUX à LA REINE de Benoît Jacquot (2012)  fin


    Trivia/Autour du film

    Le film a été en partie réalisé dans les départements :
    YvelinesChâteau de Versailles
    Hauts-de-SeineParc de Sceaux

    Nominations
    Césars 2013 : Nomination au César du meilleur film
    Nomination au César du meilleur réalisateur (Benoît Jacquot)
    Nomination au César de la meilleure actrice (Léa Seydoux)
    Nomination au César de la meilleure adaptation (Benoît Jacquot et Gilles Taurand)
    Nomination au César de la meilleure musique (Bruno Coulais)
    Nomination au César du meilleur montage (Luc Barnier)
    Nomination au César du meilleur son (Brigitte Taillandier,
    Francis Wargnier et Olivier Goinard)

    Distinctions/Récompenses
    2012 : prix Louis-Delluc du meilleur film
    Césars 2013 : Meilleurs décors (Katia Wyszkop)
    Meilleurs costumes (Christian Gasc)
    Meilleure photographie (Romain Winding)






    ©-DR-MOONRISE KINGDOM de Wes Anderson (2012)

    21/04/2014 14:13

    ©-DR-MOONRISE KINGDOM de Wes Anderson (2012)


    La presse frenchy à Cannes

    *

    *
    Ouverture officielle ce mercredi 16 mai du 65e Festival de Cannes. Les projections de presse nous donnant accès aux films avant les festivaliers nous ont permis de découvrir ce matin à 11h00 précises le conte tendre et mélancolique de Wes Anderson, Moonrise Kingdom. Une bulle de bonheur très 60's qui nous replonge avec délectation dans le monde de l'enfance, moment de plaisir que nous avons souhaité prolonger en nous rendant à la conférence de presse qui a réuni la belle équipe de ce royaume enchanteur.

    Qu'il est doux d'entamer une quinzaine cannoise avec un conte d' Anderson...Après son film d'animation Fantastic Mr Fox, Wes Anderson retourne en enfance avec une histoire d'amour épique et merveilleuse, qui nous replonge avec délice dans l'Amérique des années 60.Sur une île au large de la Nouvelle-Angleterre, au coeur de l'été 1965, Suzy et Sam, douze ans, tombent amoureux, concluent un pacte secret et s'enfuient ensemble. Alors que chacun se mobilise pour les retrouver, une violente tempête s'approche des côtes et va bouleverser davantage encore la vie de la communauté.

    Suzy n'a pas d'amis, Sam est orphelin, ces deux êtres marginaux vont voir leur vie littéralement foudroyée par un coup de foudre lors d'un spectacle mettant en scène L'Arche de Noé. S'en suit une romance épistolaire et la promesse de retrouvailles, le temps d'un été, au milieu d'un champ. Un an plus tard, Sam et Suzy ont rendez-vous avec leur destin. Lui quitte un camp de scouts où il n'a plus sa place, elle fuit sa maison bourgeoise baptisée «Summers End», ses parents en crise et ses frères dictatoriaux.
     
    A la marge toujours, avec ce regard à la fois décalé, absurde et sensible, Wes Anderson croque des personnages fragiles, capte ces mouvements de la vie où rien ne sera désormais pareil et lâche un peu de sa pudeur pour magnifier une histoire d'amour qui nous met au coeur beaucoup de chaleur. Les motifs inhérents au cinéma de Wes Anderson sont là, mais l'homme ne s'arrête pas en si bon chemin, il s'aventure sur le terrain plus hasardeux de la fugue, où le rythme s'intensifie et l'état sauvage est palpable.

    L'enfance déchue et héroïque est filmée avec mélancolie par ce cinéaste dandy-pop, pour qui l'aventure n'est pas un vain mot. Mais elle est surtout assumée. Habituée à filmer de grands enfants, il plonge cette fois son regard au coeur même d'une enfance déchirée, qui se rêve adulte pour toucher au plus près la liberté.Alors, on repense au pouvoir magique de Suzy, armée de ses jumelles fétiches «pour voir de plus près, même ce qui est proche». Et on se dit que jamais le cinéma de Wes Anderson n'aura été aussi proche de nous. A cet instant précis, on lâche tout, on se laisse bercer par la douce mélodie de Françoise Hardy et on ne pense à rien, malgré ses blessures.

    Par Laure Croiset (16/05/2012 à 14h48)






    ©-DR-MOONRISE KINGDOM de Wes Anderson (2012) p2

    21/04/2014 17:20

    ©-DR-MOONRISE KINGDOM de Wes Anderson (2012)  p2


    Bob Balaban : Le narrateur

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    Moonrise Kingdom est un film américain de Wes Anderson sorti en 2012. Il signe son septième long-métrage, le deuxième dont le scénario est coécrit par Roman Coppola. C'est aussi sa sixième collaboration avec l'acteur Bill Murray. Il a été tourné sur l'île Prudence située dans la baie de Narragansett (nord-est des États-Unis).

    Le film a fait l'ouverture de la 65e édition du Festival de Cannes le 16 mai 2012, tout en étant en compétition officielle. Il n'y reçoit pas de prix, mais est globalement acclamé par la critique, qui loue son esthétique et son lyrisme surprenants. Le même jour, le film sort dans les salles françaises, où il obtient moins de succès que Fantastic Mr. Fox mais plus qubord du Darjeeling Limited.

    Le film a pour personnages principaux deux acteurs novices, entourés de grandes stars hollywoodiennes. La performance des deux jeunes acteurs, et notamment celle de Kara Hayward, est très remarquée par la presse.






    ©-DR-MOONRISE KINGDOM de Wes Anderson (2012) p3

    21/04/2014 17:45

        ©-DR-MOONRISE KINGDOM de Wes Anderson (2012)  p3


    Résumé(partiel...ils dévoilent tout le film !)
    Durant l'été de 1965, sur une île de la Nouvelle-Angleterre, Sam et Suzy (12 ans) tombent amoureux et décident de s'enfuir. On apprend par flash-back qu'ils se sont rencontrés lors d'une représentation théâtrale, dans laquelle Suzy jouait un corbeau.

    Tous les deux sont des enfants à problème,n'ont pas d'amis et sont rejetés par leurs camarades,mais disposent d'une très grande intelligence. Sam sait se débrouiller seul dans la nature et a un don pour la peinture.

    Sam fait partie du groupe de scouts Kaki, mené par le chef de troupe Ward (Edward Norton), professeur de mathématiques en temps normal, et qui a beaucoup de mal à contenir ses troupes, du fait de son manque d'autorité. Sam et Suzy ont planifié leur fugue en s'envoyant des lettres.

    *

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    Cast
    Jared Gilman : Sam
    Kara Hayward : Suzy
    Bruce Willis  : capitaine Sharp
    Edward Norton : chef de troupe Ward
    Bill Murray  : Walt Bishop
    Frances McDormand  : Laura Bishop
    Jason Schwartzman  : le cousin Ben
    Tilda Swinton : Social Services
    Bob Balaban : le narrateur
    Harvey Keitel  : commandant Pierce
    Neal Huff : Jed
    Jake Ryan : Lionel
    Chandler Frantz : Gadge
    L.J. Foley : Izod
    Gabriel Rush : Skotak
    Andreas Sheikh : Panagle
    Christopher Alan : Church Townsmen
    Lucas Hedges : Redford
    James Wilcox : maître éclaireur
    Charlie Kilgore : œil paresseux






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