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© DR - Yvonne De Carlo /Filmographie fin
24/11/2012 04:12
© DR - Mptv images (1954)
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Filmographie
Cinéma 1941 : Look at You (Court métrage) 1941 : Harvard, Here I Come! de Lew Landers : une fille dans le bain 1941 : The Kink of the Campus de Del Lord (Court-métrage) : Kitty O'Hara 1942 : Tueur à gages (This Gun for Hire) de Frank Tuttle : la fille au Neptune Club 1942 : Youth on Parade de Albert S. Rogell : Une étudiante 1942 : En route vers le Maroc (Road to Morocco) de David Butler : Handmaiden 1942 : Jordan le révolté (Lucky Jordan) de Frank Tuttle : Une fille 1942 : Rhythm Parade de Dave Gould et Howard Bretherton : Une showgirl 1943 : La Boule de cristal (The Crystal Ball) de Elliott Nugent : Une secrétaire 1943 : Salute for Three de Ralph Murphy : Une fille chantant dans le quartet 1943 : Pour qui sonne le Glas (For Whom the Bell Tolls) de Sam Wood : La fille dans le café 1943 : Let's Face It de Sidney Lanfield : La choriste 1943 : Les Anges de miséricorde (So Proudly We Hail!) de Mark Sandrich : La fille 1943 : The Deerslayer de Lew Landers : Princesse Wah-Tah 1943 : True to Life de George Marshall : Bit Role 1944 : L'Amour cherche un toit (Standing Room Only) de Sidney Lanfield : Une secrétaire 1944 : L'Odyssée du docteur Wassell (The Story of Dr. Wassell) de Cecil B. DeMille : Une indigène 1944 : Fun Time de William Shea (Court-métrage) : Phyllis 1944 : Kismet de William Dieterle : Handmaiden 1944 : Lona la sauvageonne (Rainhow Island) de Ralph Murphy : La compagne de Lona 1944 : La Marine en jupons (Here Come the Waves) de Mark Sandrich : La fille 1944 : Practically Yours de Mitchell Leisen : L'employée de bureau 1945 : L'Or et les Femmes (Bring on the Girls) de Sidney Lanfield : Une fille au bureau 1945 : Les Amours de Salomé (Salome, Where She Danced) de Charles Lamont : Anna Marie 1945 : La Taverne du cheval rouge (Frontier Gal) de Charles Lamont : Lorena Dumont 1947 : Schéhérazade (Song of Scheherazade) de Walter Reisch : Cara de Talavera 1947 : Les Démons de la liberté (Brute Force) de Jules Dassin : Gina Ferrara 1947 : La Belle Esclave (Slave Girl) de Charles Lamont : Francesca 1948 : Bandits de grands chemins (Black Bart) de George Sherman : Lola Montez 1948 : Casbah de John Berry : Inez 1948 : Le Barrage de Burlington (River Lady) de George Sherman : Sequin 1949 : Pour toi j'ai tué (Criss Cross) de Robert Siodmak : Anna Dundee 1949 : La Fille des prairies** (Calamity Jane and Sam Bass) de George Sherman : Calamity Jane 1949 : La Belle Aventurière (The Gal Who Took the West) de Frederick de Cordova : Linda Marlowe 1950 : La Fille des boucaniers (Buccaneer's Girl) de Frederick de Cordova : Deborah "Debbie' McCoy 1950 : L'Aigle du désert (The Desert Hawk) de Frederick de Cordova : Princesse Scheherazade 1951 : Tomahawk de George Sherman : Julie Madden 1951 : Hotel Sahara de Ken Annakin : Yasmin Pallas 1951 : La Ville d'argent (Silver City) de Byron Haskin : Candace Surrency 1952 : La Madone du désir(?) (The San Francisco Story) de Robert Parrish : Adelaide McCall 1952 : Une fille à bagarres (Scarlet Angel) de Sidney Salkow : Roxy McClanahan 1952 : Maître après le diable (Hurricane Smith) de Jerry Hopper : Luana 1953 : Sombrero de Norman Foster : Maria 1953 : La Belle Espionne (Sea Devils) de Raoul Walsh : Droucette 1953 : Capitaine Paradis (The Captain's Paradise) de Anthony Kimmins : Nita St. James 1953 : Fort Alger (Fort Algiers) de Lesley Selander : Yvette 1954 : Les Rebelles (Border River) de George Sherman : Carmelita Carjas 1954 : Héritages et vieux fantômes (Happy Ever After) de Mario Zampi : Serena McGluskey 1954 : La Castiglione(?) (La Contessa di Castiglione) de Georges Combret : Virginia Oldoini 1954 : Tornade (Passion) de Allan Dwan : Rosa Melo / Tonya Melo 1955 : Amour, fleur sauvage (Shotgun) de Lesley Selander : Abby 1955 : Feu magique (Magic Fire) de William Dieterle : Minna Planer 1956 : La Femme du hasard (Flame of the Islands) de Edward Ludwig : Rosalind Dee 1956 : Proie des hommes (Raw Edge) de John Sherwood : Hannah Montgomery 1956 : Les Dix Commandements (The Ten Commandments) de Cecil B. DeMille : Sephora 1956 : Death of a Scoundrel de Charles Martin : Bridget Kelly 1957 : L'Esclave libre (Band of Angels) de Raoul Walsh : Amantha Starr 1958 : L'Épée et la Croix (La Spada e la croce) de Carlo Ludovico Bragaglia : Marie Madeleine 1959 : Tombouctou (Timbuktu) de Jacques Tourneur : Natalie Dufort 1963 : Le Grand McLintock (McLintock) de Andrew V. McLaglen : Mme Louise Warren 1964 : Papa play-boy (A Global Affair) de Jack Arnold : Dolores 1964 : Condamné à être pendu (Law of the Lawless) de William F. Claxton : Ellie Irish 1966 : Frankenstein et les faux-monnayeurs (Munster, Go Home) de Earl Bellamy : Lily Munster 1967 : Hostile Guns de R. G. Springsteen : Laura Mannon 1968 : La Guerre des cerveaux(?) (The Power) de Byron Haskin : Mme Sally Hallson 1968 : Les Rebelles de l'Arizona (Arizona Bushwhackers) de Lesley Selander : Jill Wyler 1970 : Opération traquenard (The Delta Factor) de Tay Garnett : Valérie 1971 : The Seven Minutes de Russ Meyer : Constance Cumberland 1975 : Black Fire 1975 : Blazing Stewardesses de Al Adamson : Honey 1975 : It Seemed Like a Good Idea at the Time de John Trent : Julia 1976 : La Casa de las sombras de Ricardo Wullicher : Mrs. Howard 1976 : Won Ton Ton, le chien qui sauva Hollywood de Michael Winner : Une femme propre 1977 : Satan's Cheerleaders deCraydon Clark : Emmy / La femme du Shériff / La haute prêtresse 1979 : Nocturna de Harry Tampa : Jugula 1979 : Fuego negro de Raúl Fernández : Catherine Jones 1979 : La Secte de l'enfer (Guyana: Crime of the Century) de René Cardona Jr. : Susan Ames 1980 : Détective comme Bogart (The Man with Bogart's Face) de Robert Day : Teresa Anastas 1980 : Le Silence qui tue (Silent Scream) de Denny Harris : Mme Engels 1982 : Le Challenger (Liar's Moon) de David Fisker : Jeanene Dubois 1983 : Vultures de Paul Leder : Rose 1985 : Flesh and Bullets de Carlos Tobalina 1986 : Play Dead de Peter Wittman : Hester 1988 : American Gothic de John Hough : Ma 1988 : Cellar Dweller de John Carl Buechler : Mme Briggs 1990 : Mirror, Mirror de Marina Sargenti : Emelin 1991 : L'embrouille est dans le sac (Oscar) de John Landis : Tante Rosa 1992 : Desert Kickboxer de Isaac Florentine 1993 : The Naked Truth de Nico Mastorakis : Mme Hess 1993 : Seasons of the Heart de T.C. Christensen : Martha (Voix)
Télévision
1953 : The Ford Television Theatre (Série TV) : Prudence Ledyard/Madame 44 1953 : The Blackbone of America (Téléfilm) : Victoria Johnson 1956 : Le Choix de... (Screen Directors Playhouse) (Série TV) : Pearl 1956 : Star Stage (Série TV) : Dona Maria Sanchez 1957 : Schlitz Playhouse of Stars (Série TV) : Francesca 1958 : Playhouse 90 (Série TV) : Marina Arkwright 1959 : Bonanza (Série TV) : Lotta Crabtree 1960 : L'Homme à la Rolls (Burke's Law) (Série TV) : Comtesse Barbara Erozzi 1960 : Aventures dans les îles (Adventures in Paradise) (Série TV) : Lianne Zagreb 1961-1962 : Ombres sur le soleil (Follow the Sun) (Série TV) : Anne Beeler 1962 : Les Aventuriers du Far-West (Daeth Valley Days) (Série TV) : Dr Clare Reed 1963 et 1969 : Le Virginien (The Virginian) (Série TV) : Helen Haldeman / Imogene Delphinia 1964 : Le plus grand chapiteau du monde (The Greatest Show on Earth) (Série TV) : Magda Kolday 1964-1966 : Les monstres (The Munsters) (Série TV) : Lilly Munster 1967 : Custer (Série TV) : Vanessa Ravenhill 1967 : Annie, agent très spécial (The Girl From U.N.C.L.E.) (Série TV) : Nadia Marcolescu 1970 : Les règles du jeu (The Name of the Game) (Série TV) : Mme Levene 1974 : The Mark of Zorro (Téléfilm) : Isabella Vega 1974 : Une femme dangereuse de Don McDougall (Téléfilm) : Lorraine 1977 : Racines (Roots) (Série TV) : La femme de l'esclave 1978-1979 : L'île fantastique (Fantasy Island) (Série TV) : Fifi Aprea / Madame Jeannot 1981 : The Munsters' Revenge de Don Weis (Téléfilm) : Lilly Munster 1985 : Arabesque (Murder She Wrote) (Série TV) : Miss Springer 1986 : A Masterpiece of Murder de Charles S. Dubin (Téléfilm) : Mme Murphy 1991 : Dream On (Série TV) : Francesca Goldman 1993 : Les contes de la crypte (Tales from the Crypt) (Série TV) : Mme Jones 1995 : Les Monstres (Here Come the Munsters) de Robert Ginty (Téléfilm) : Cameo appearance 1995 : Pieds nus dans la jungle des studios de Susan Seidelman (Téléfilm) :Norma
J'ai du en voir d'autres (au cinéma)mais j'étais gamin...me rappelle vraiment plus
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© DR - L'ECHELLE DE JACOB d'Adrian Lyne (1990)
24/11/2012 18:28
L'Échelle de Jacob (Jacob's Ladder)
est un film américain réalisé par Adrian Lyne, sorti en 1990.
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External reviews
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© DR - L'ECHELLE DE JACOB d'Adrian Lyne (1990) p2
24/11/2012 18:46
En haut Elizabeth Pena et Tim Robbins
© DR -Carolco Pictures
Résumé Quelque chose ne tourne pas rond dans la tête et dans la vie de Jacob Singer. Depuis des années déjà, il est hanté par des images, des souvenirs du Viêt- nam où il a fait la guerre. Mais à présent, quelque chose de beaucoup plus effrayant semble se produire. Des visions démoniaques, des hallucinations ont envahi sa vie. Il est persuadé d'être victime de tentatives d'assassinat de la part d'êtres mystérieux et difformes. Son malaise augmente lors de sa rencontre avec un ancien de son commando, Paul, qui lui révèle avoir reçu des menaces de mort. Quelques instants après son entretien, Paul meurt dans l'explosion de son véhicule
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La critique de Matière Focale part 1
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Vietnam, Tim Robbins est un jeune soldat dont le bataillon semble touché par un mal étrange : ses camarades ont de violents maux de têtes qui les clouent littéralement au sol. Ils se font surprendre par l'ennemi et Robbins est gravement touché, et se retrouve seul.
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New York, Tim Robbins est un jeune employé de la Poste, il sort avec Jezabel qu'il a rencontré après son divorce et la mort d'un de ses enfants. Il est sujet à d'étranges visions, notamment de formes humaines démoniaques qui le poursuivent sans relâche. Dans le même temps il se met à chauffer inexorablement et rêve de New York
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Tim Robbins est le mari de Sarah et le père de Macaulay Kulkin (la classe !). Il vit une existence paisible de professeur d'université, amoureux de sa femme et soucieux de ses enfants.Juste avant que l'univers ne se fissure, des anges sont descendus sur la terre sous la forme de chiropracteurs free-lance. Leurs ennemis de toujours, les démons, se sont eux matérialisés sous la forme de petits bureaucrates métro-boulot-dodo aux étranges appendices tentaculaires. Qu'est ce qui a provoqué cette lésion dans l'univers ? Le Vietnam, la mort de l'enfant, le divorce ou les os douloureux ? Les quatre sans doute, mais peut être aucune de ces choses si l'on en croit l'armée américaine.
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Porté par un réalisateur en état de grâce (le réalisateur de FLASHDANCE !!) L'ECHELLE DE JACOB se construit autour d'une narration en tiroir dont le seul fil rouge semble être une opération dramatique au Vietnam. C'est en tout cas le seul terreau solide du film, les seuls instants qui ne soient pas dénaturés par l'esprit de Jacob. Tout le reste est un puzzle cauchemardesque peuplé d'enfants morts, de démons monstrueux, de souffrances improbables. Jusqu'au bout Lyne ne lâche rien (ou presque) et déchaine des visions tantôt nostalgiques tantôt horrible qu'aucune chronologie ne permet d'éclairer. Le seul fil rouge c'est la blessure, le sauvetage d'un Tim Robbins qui serait mort au Vietnam ? Pas vraiment certain tant les visions de Robbins semblent se produire des années après. Peut être même que le Vietnam est une hallucination d'un postier rangé….
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De toute façon le plus intéressant n'est pas là, pas plus que dans cette fausse dénonciation de l'utilisation de drogues nocives par l'armée américaine. Non le cœur du sujet c'est de suivre au plus pré un fil ténu emmêlé de souffrance et d'instant heureux qui permet d'aller de l'enfer au paradis, du métro à l'espace. C'est aussi une échelle, c'est aussi dans la bible, mais c'est surtout en l'homme et au cœur de sa vision du monde. Ce sont des émotions et des craintes, des amours et des peines qui se succèdent sans aucune justification ni logique.C'est aussi un film sur le deuil et sa nécessité mais c'est avant tout un film fantastique et parfaitement maitrisé qui plus est.
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On pense parfois au très lovecraftien L’ANTRE DE LA FOLIE de Carpenter ou au FESTIN NU de Cronenberg, voire même au SILENT HILL de Gans (pas mal du tout) mais avec une véritable originalité dans la mise en scène, une vraie émotion qui passe par une utilisation très belle du son et de la lumière. La scène de fête éclairée au stroboscope est absolument hallucinante, jamais on ne verrait ca en salle aujourd’hui ! De par la narration très bien faite par ce montage poreux qui ne fait pas tellement de séparation entre les différents états/flashbacks et l’utilisation assez discrète d’effets spéciaux, on entre directement dans cette réalité kafkaïenne et dans la tête de Robbins.
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© DR - L'ECHELLE DE JACOB d'Adrian Lyne (1990) p3
24/11/2012 18:53
© DR -Carolco Pictures
Résumé Wiki Jacob, un new-yorkais employé des postes, est surpris par d'étranges cauchemars pendant ses journées. Il se retrouve plongé dans des endroits inconnus et fait face à d'étranges personnes plus effrayantes les unes que les autres.Il est aussi victime de flashbacks, et revit ainsi son service au Viêt Nam, ou la mort de son fils quelques années auparavant. Ces souvenirs troublants le hantent jour après jour. C'est petit à petit que la folie s'empare de Jacob, dont il va tenter de sortir avec l'aide de sa compagne Jezebel.
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La critique de Matière Focale (fin)
La musique de Maurice Jarre à fleur de peau aux relents nostalgiques passe très bien dans cette ambiance de déliquescence permanente, d’autant qu’elle est utilisée de manière très discrète et renforcée par les sonorités industrielle et crasseuse d’un New York cauchemardesque. Par petite touche on aperçoit des tentacules sinistres ici ou là, et on bascule peu à peu dans l’horreur la plus totale, avec pour point culminant la scène de l’hôpital/asile de fou, littéralement glaciale grâce aux magnifiques effets spéciaux et a un travelling épouvantable.
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Lorsque le rythme s’arrête enfin, pour la délivrance finale, on ressent un peu la même sensation que lorsqu’un grand huit s’arrête : un calme absolu, un moment d’éternité quasi immobile après la tempête. Le symbolisme du film est très beau, Lyne joue sur les codes bibliques qui sont devenus par la force des choses des repères dans nos sociétés modernes, et les utilise un peu à la manière de Lars Von Trier dans ANTICHRIST : pour les détourner et mettre au jour des émotions profondes, loin justement des aspirations théologiques d’un Eden comme récompense.
Tim Robbins y est excellent, sorte de rêveur égaré tourmenté par la mort et le passé atroce, mais allant toujours de l’avant, tombant de Charybide en Scylla, baladé par des pensées qu’il ne maitrise plus. On retrouve également un Dany Aiello (LA ROSE POURPRE DU CAIRE) en pleine forme dans un rôle mémorable de chiropracteur angélique. Le reste du casting suit allégrement, et la galerie de personnage sert beaucoup à l’horreur latente du film. Ces voyantes mystérieuses, ces personnages silencieux qui fixent Robbins, sont autant de désincarnation de l’homme, et sont magnifiquement intégrés à ce décor quasi apocalyptique.
Petits bémols tout de même à cause d’une ou deux longueurs vers la fin, lorsqu’on sent par exemple que le réalisateur essaye de plaquer un message "politique" sur la guerre du vietnam, pas vraiment à propos ici, et qui serait bien mieux passé en loucedé plutôt qu’en gros caractères blancs à la fin. Mais bon, ce n’est pas grand-chose, le film n’a pas pris une ride et reste à l’heure actuelle un grand film, à voir absolument. Norman Bates.
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© DR - L'ECHELLE DE JACOB d'Adrian Lyne (1990) p4
24/11/2012 19:02
Réception
Bien que considéré comme le meilleur film d'Adrian Lyne par une partie de la critique, L'Échelle de Jacob est aussi l'un des rares échecs commerciaux du réalisateur.
Angel Heart (Alan Parker 1987) et L'échelle de Jacob lancèrent la mode des films à twist final, genre de films où le rebondissement majeur se situe à la fin ou vers la dernière partie du film, ce dernier nécessitant alors un nouveau visionnement pour une totale compréhension.Pourtant, ce sont des films comme Usual Suspects (1995) ou Sixième Sens (1999) qui ont popularisé le genre.
(Pas aîmé ces deux films et je déteste ce principe ! on nous prend vraiment trop pour des cons)
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La critique U.S des spectateurs IMdB
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Way before Shyamalan came on board, Adrian Lyne had blown the collective consciousness!
* One "reviewer" here wrote (I presume) in all seriousness "Like a bad dream - impossible to understand!" That being the case,I can only describe his subsequent attempt to compile a review as"gutsy" in the extreme I believe JACOB'S LADDER is one of the 10 best films ever made.It is NOT impossible to understand you merely have to listen and interpret! For those without the ability to effect the latter...just listen!
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Danny Aiello's character, Louis the chiropracter lays it out for you - word for word. I think it is the best part Aiello ever had, small one though it is in terms of screen time. Integral to a collective grasp of this great and disturbing film however is the need to tie-in the relationship between Jacob the individual, the biblical "Jacob's Ladder" itself and the relevance of "The Ladder" as explained (and seemingly forgotten by most everybody) by the runty chemical weapons boffin at the near conclusion of the film.
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To those who view the ending as "rushed," "unsatisfying," "obscure" even "dumb" as I recall, I would merely suggest you watch it again and take into account the likelihood is, that it is in fact YOU that has missed what has been so cleverly set out for you. SIGNS was equally misunderstood by the majority of people that even liked it - there never WERE any aliens!JACOB'S LADDER is Robbins' greatest film - Lyne's too. The last few minutes are amongst the most emotional and uplifting scenes I have ever seen since the "star child" in 2001 A SPACE ODYSSEY. Culkin was the perfect choice!
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I saw this movie in a near deserted theater in Times Square the week it came out. At the conclusion of this particular late show I noticed an old man sitting some two rows away to my left, absorbed in his thoughts. Having to walk past him to gain the exit I noticed tears in his eyes. He looked up as I approached. After studying me for a moment all he said to me was "You understood didn't you?" I said, "Yes I understood!" He replied softly..."You're very lucky!"
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