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 CINEMA :Les blessures narcissiques d'une vie par procuration
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CINEMA :Les blessures narcissiques d'une vie par procuration

VIP-Blog de tellurikwaves
  • 12842 articles publiés
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  • Créé le : 10/09/2011 19:04
    Modifié : 09/08/2023 17:55

    Garçon (73 ans)
    Origine : 75 Paris
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    © DR - CALAMITY JANE & SAM BASS (1949) p7

    23/11/2012 18:54

    © DR - CALAMITY JANE & SAM BASS (1949)  p7


    Les cow-boys ne fanfaronnent pas, ne sont ni vantards ni violents, ni susceptibles ni querelleurs, ni même vulgaires ; au contraire ils n’hésitent pas à se faire pardonner, à s’excuser, et ils possèdent tous un grand fond d’humanité. On avouera sans difficulté, j'imagine, que des personnages ainsi caractérisés étaient assez peu courants à l’époque. Rarement avions-nous vu des protagonistes aussi naturels et humains dans un western jusqu’à présent ; le ton et les notations psychologiques se révèlent étonnamment justes.
    Et puis, sur le plan iconographique, nous y trouvons des choses assez nouvelles pour l'époque comme par exemple cette épicerie-bureau de poste ou ces courses de chevaux dont le parcours est jalonné par des arbitres. On y trouve aussi une attention toute particulière portée à l’amour des chevaux (les bêtes sont somptueusement harnachées) et à ce petit monde gravitant autour de ces courses qui se déroulent tout au long du parcours des convoyeurs.





    © DR - CALAMITY JANE & SAM BASS (1949) p8

    23/11/2012 18:59

    © DR - CALAMITY JANE & SAM BASS (1949)  p8


    DVD Classik (fin)

    Alors évidemment, la mise en scène de George Sherman peine à faire de ce western le grand moment qu’il aurait pu être (les séquences de courses par exemple s’avèrent peu enthousiasmantes) mais une fois ce manque de souffle et d’ampleur accepté,il faut se laisser porter par cette belle histoire et par sesrespectueux protagonistes qui volent honnêtement ! Alors que Sam Bass et son gang viennent d’attaquer une diligence pour y voler une faible quantité d’argent, laissant le reste à son propriétaire, voici le dialogue qui s’ensuit :

    - Joel Collins : « Well, we could've had our ranch out of that box. »
    - Sam Bass :« No, we couldn't, Joel. The way we did it,even if this thing comes out, people will know that we took back only what he stole from us.They'll be on our side. »
    - Dakota : « Sure, we wouldn't want 'em to think we robbed this stage dishonestly. »

    Même si la révélation de ce film n’est autre que la comédienne endossant le rôle titre, aux côtés d’un Howard Duff donc sacrément bon, grâce à une superbe direction d’acteurs tous les autres arrivent à se hisser à son niveau, à commencer par Lloyd Bridges, Willard Parker (superbe dans la peau du shérif) ou Dorothy Hart dont nous avions déjà croisé la jolie frimousse dans Gunfighters de George Waggner avec pour partenaire Randolph Scott.
    Quant à Yvonne De Carlo, ce n'était pas nécessairement une grande actrice, loin de là, mais elle a néanmoins le mérite de nous rendre très attachante sa Calamity Jane. Une actrice un peu plus chevronnée et un réalisateur plus doué auraient probablement tiré ce western vers de belles hauteurs ; en l'état, il demeure plus qu'acceptable, vraiment très bon !

    Par Erick Maurel - le 14 juin 2012

     








    Howard Duff

    23/11/2012 19:06

    Howard Duff


    En haut encore avec Dorothy Hart 
    En bas plus âgé ,l'avocat de Dustin Hoffman dans KRAMER vs KRAMER





    © DR - Yvonne De Carlo/Bio-Filmo

    23/11/2012 19:15

    © DR - Yvonne De Carlo/Bio-Filmo


    Yvonne de Carlo -1940

    © DR -Photo Sid Avery

    *

    *

    Yvonne De Carlo
    née Margaret Yvonne Middleton, est une actrice d'origine canadienne
    naturalisée américaine, née le 1er septembre 1922 à Vancouver (Canada)
    et décédée le 8 janvier 2007 à Woodland Hills, Los Angeles (États-Unis).

     
     
    Biographie
    Elle a été mariée du 21 novembre 1955 à 1974 à Bob Morgan dont elle a eu deux garçons, Bruce Ross (1956) et Michael (1957-1997). Elle meurt le 8 janvier 2007 à
    l'âge de 84 ans dans une maison de retraite de Woodland Hills en Californie.

    Carrière


     
    Apprentissage
    Avant de devenir une des plus ravageuses brunes du cinéma américain, Yvonne a figuré, non créditée, dans une vingtaine de films, dont Tueur à gages de Frank Tuttle, avec Alan Ladd et Veronica Lake, Pour qui sonne le Glas de Sam Wood, avec Gary Cooper et Ingrid Bergman, L'Odyssée du docteur Wassell de Cecil B. De Mille.
     
    Elle tourne aussi devant les caméras de Mitchell Leisen et Mark Sandrich, dans plusieurs comédies qui mettent en vedettes Bob Hope, Bing Crosby, Betty Hutton,
    côtoyant un certain nombre de stars déjà anciennes telles que Ray Milland, Paulette Goddard, Marlene Dietrich, Dorothy Lamour...

     Avant de devenir une des plus ravageuses brunes du cinéma américain, Yvonne a figuré, non créditée, dans une vingtaine de films, dont de Frank Tuttle,

    En 1944 le rôle de la danseuse Salomé qui devient espionne au 19e siècle la révèle. Elle travaille alors à plusieurs reprises avec les réalisateurs Charles Lamont et George Sherman, a pour partenaires Rod Cameron, Dan Duryea et Howard Duff, mais aussi George Brent (dans La Belle Esclave) et Van Heflin (dans Tomahawk).
     
    Elle s'illustre aussi dans le musical Schéhérazade (1947), au côté de Jean-Pierre Aumont, et incarne la célèbre conteuse dans L'Aigle du désert. Dans Casbah de John
    Berry (1948), adaptation du roman Pépé le Moko, face à Tony Martin et Peter Lorre elle succède à Mireille Balin et Hedy Lamarr.Outre ces rôles d'aventurières exotiques, elle s'impose en force dans deux films noirs avec Burt Lancaster : Les Démons de la liberté de Jules Dassin et Pour toi j'ai tué de Robert Siodmak, deux classiques du genre. Forte personnalité de l'écran, comparable à Maureen O'Hara, Susan Hayward ou Jane Russell, car capable de soutenir un film d'action, un western par exemple, elle interprète Calamity Jane dans La Fille des prairies.

    ...Sommets

    Hollywood continue les années suivantes d'exploiter sa veine exotique et "virile" : La Madone du désir de Robert Parrish avec Joel McCrea, La Belle Espionne de Raoul Walsh (1953) avec Rock Hudson (d'après Victor Hugo), Tornade d'Allan Dwan avec Cornel Wilde, Tombouctou de Jacques Tourneur (1959) avec Victor Mature pérennisent son image d'aventurière et L'Esclave libre (1957) de Walsh, face à Clark Gable, constitue le sommet de ce parcours, le Autant en emporte le vent de l'actrice.

    Cataloguée interprète typée, elle rejoint Ricardo Montalban, Vittorio Gassman et Pier Angeli dans la distribution de Sombrero (sur un village mexicain) et donne la réplique à Carlos Thompson dans Feu magique de William Dieterle et Fort Alger. Sa participation au péplum de De Mille Les Dix Commandements, en épouse de Moïse/Charlton Heston, constitue un autre sommet de sa carrière dans les années 50.

     






    © DR -Yvonne De Carlo /Bio-Filmo (suite)

    24/11/2012 03:24

    © DR -Yvonne De Carlo /Bio-Filmo (suite)


    Avec Joel Mc Crea dans LES REBELLES






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