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 CINEMA :Les blessures narcissiques d'une vie par procuration
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CINEMA :Les blessures narcissiques d'une vie par procuration

VIP-Blog de tellurikwaves
  • 12842 articles publiés
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  • 1 visiteur aujourd'hui
  • Créé le : 10/09/2011 19:04
    Modifié : 09/08/2023 17:55

    Garçon (73 ans)
    Origine : 75 Paris
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    ©-DR- FASTFOOD FASTWOMEN de Amos Kollek (2000) p10

    11/12/2014 15:50

    ©-DR- FASTFOOD FASTWOMEN de Amos Kollek (2000)  p10


    Fiche technique
    Titre : Fast Food, Fast Women
    Réalisation : Amos Kollek
    Scénario : Amos Kollek
    Musique : David Carbonara
    Directeur de la photographie : Jean-Marc Fabre
    Montage : Sheri Bylander
    Distribution des rôles : Caroline Sinclair
    Création des décors : Stacey Tanner
    Décorateur de plateau : Amanda Carroll
    Création des costumes : Pascal Gosset
    Pays d'origine : États-Unis
    Durée : 95 minutes
    Date de sortie Unis États-Unis : 6 septembre 2000






    ©-DR- FASTFOOD FASTWOMEN de Amos Kollek (2000) p11

    11/12/2014 15:55

    ©-DR- FASTFOOD FASTWOMEN de Amos Kollek (2000)  p11


    External reviews
    Showing all 41 external reviews





    ©-DR- FASTFOOD FASTWOMEN de Amos Kollek (2000) p12

    11/12/2014 16:01

    ©-DR- FASTFOOD FASTWOMEN de Amos Kollek (2000)  p12


    Distinctions et récompenses
    Showing all 1 win and 3 nominations

    Cannes Film Festival 2000

     

    Won
    Prize of the Ecumenical Jury
    Amos Kollek
    This is a special award.
    Nominated
    Palme d'Or
    Amos Kollek

    Ghent International Film Festival 2000

     

    Nominated
    Grand Prix
    Amos Kollek

    Valladolid International Film Festival 2000

     

    Nominated
    Golden Spike
    Amos Kollek

     






    ©-DR- Amos Kollek

    11/12/2014 16:17

    ©-DR- Amos Kollek


    Film de culte

    *


    Amos Kollek est un réalisateur à part, adulé ou controversé. Certains critiques crient au génie et vont le comparer à Godard,Cassavetes ou encore Truffaut, alors que pour d’autres, ses œuvres sont bourrées de clichés, de voyeurisme et surtout filmées à l’emporte-pièce. Lumière sur un réalisateur atypique qui mérite qu’on y regarde de plus près.


    DE SHIMON PERES A BURT LANCASTER

    Fils de Teddy Kollek, qui fut le maire de Jérusalem pendant vingt-huit ans, Amos Kollek y naquit en 1947. Grâce à son père, il eut très tôt l’occasion de rencontrer des célébrités aussi bien israéliennes qu’ américaines, de Shimon Pérès à Franck Sinatra. Le jeune garçon d’alors est fasciné par les stars et déclare avoir appris l’anglais en déchiffrant les autographes des acteurs. Il effectue son service militaire dans l’armée israélienne de 1965 à 1968 et est diplômé trois ans plus tard de l’université hébraïque de Jérusalem, avec en poche une double licence de philosophie et psychologie.
    *
    Il écrit ensuite des articles et publie des nouvelles dans des journaux israéliens mais aussi dans le New York Times et Die Zeit en Allemagne. Il est également l’auteur de cinq livres traduits dans plusieurs langues dont Ne me demandez pas si j’aime en 1971, (paru en France aux éditions Stock en 1991), After They Hang Him en 1977, et Approximately Clint Eastwood en 1995. Et le cinéma dans tout ça? Depuis l’âge de 16 ans, il rêve de devenir Burt Lancaster. Il se regardait tous les matins dans le miroir et espérait y voir le visage de l’acteur. La déception, immense, était au rendez-vous, et il se disait alors, peut-être demain. Ainsi de suite, jour après jour, et c'est ce désir de ressembler au célèbre acteur qui l’a rapproché du cinéma. Ainsi, c’est en 1980 qu’il adapte son premier roman sous le titre Al Tishali Im Ani Ohev (Worlds Apart), réalisé en Israël par Barbara Noble, et dans lequel il tient également un rôle.

    ENTRE DOCUMENTAIRE ET FICTION

    Réalisateur indépendant, Amos Kollek est aussi scénariste, acteur et producteur de la plupart de ses œuvres. Pour lui, ce qui compte avant tout c’est un scénario bien écrit et le choix de bons acteurs. Les répétitions et la direction d’acteurs, il ne connaît pas, et se fie à l’intuition de son casting, se permettant juste une ou deux remarques lors des prises. Vivant au Etats-Unis, Amos Kollek y réalisera tous ses films, mais Israël est toujours très présent dans son cœur, et il y fait référence de nombreuses fois dans son œuvre. Ainsi, en 1985, il réalise son premier film, Goodbye New York, ou les aventures d’une jeune juive américaine dans un kibboutz en Israël. Suivra Forever Lulu, une comédie à suspens avec Alec Baldwin dans son tout premier rôle. C’est également à lui que Sarah Michelle Gellar doit sa première apparition sur grand écran dans High Stakes.
    *
    S’en suit Double Edge, dans lequel Faye Dunaway joue une journaliste américaine couvrant le conflit israélo-palestinien. Film à mi-chemin entre la fiction et le documentaire, vu que des personnages réels - dont le père d’Amos Kollek, l’ex-ministre des affaires étrangères Abba Eban ou encore le controversé rabbin Meir Kahane - y sont interviewés. Il continue dans cette veine en 1994 avec Whore 2 (qui n’est pas la suite du film de Ken Russel Whore), portrait très réaliste de prostituées new- yorkaises. Il a en effet réalisé de nombreux entretiens avec des prostituées pour les faire ensuite interpréter par des actrices. C’est jusqu’alors la marque distinctive du réalisateur, des films qui oscillent entre documentaire et fiction, fait d’autant plus marqué qu’il dispose de peu de moyens et filme souvent caméra à l’épaule. Ses films ne s’exportent pas hors des Etats-Unis et passent plutôt inaperçus auprès du grand public, certains sortant directement en vidéo.

    ET ANNA THOMSON INCARNA SUE

    C’est alors qu’arrive Sue perdue dans Manhattan, qui se fait remarquer au festival de Toronto en septembre 1997, gagne le Grand Prix du jury à Deauville la même année et un prix dans une section parallèle du festival du film de Berlin en 1998. Amos Kollek a eu l’idée du scénario dans un parc, un jour d’été, alors qu’il voit une jeune femme montrer ses seins à un vieil homme qui lui avait acheté un "Strawberry Mystic"(?) pour 75 cents. Scénario qu’il achève quelques semaines plus tard. Anna Thomson, pour qui Amos Kollek deviendra un peu comme un père, accepte le rôle tout de suite. Tourné avec très peu de moyens, faisant de ce fait de presque toutes les scènes des premières prises, et en seulement deux semaines, caméra à l’épaule dans les décors naturels des rues et cafés de Chelsea, ce film va permettre au public français de faire connaissance avec le cinéma d’Amos Kollek, mais aussi et surtout avec son envoûtante actrice.
    *
    Le film pourtant difficile, témoin de la lente descente aux enfers de son héroïne, va rassembler un peu plus de 400 000 spectateurs à Paris. Il marque la première collaboration du tandem Amos Kollek-Anna Thomson et sera suivi de quatre autres projets. Elle est indissociable de la carrière du réalisateur, tant elle habite de manière hallucinée et avec tellement de naturel chacun des rôles de femme comme les autres et qui pourtant ne ressemble à personne qu’il lui a donnés.

    TANT QU’IL Y AURA DES FEMMES

    Suivra Fiona, produit avec encore moins de moyens, autre portrait de femme à l’atmosphère difficile, qui sera également présenté à Deauville. Il faudra attendre 2000 pour la comédie Fast Food Fast Women, ce qui réussira à Amos Kollek et Anna Thomson vu que le film recevra un prix œcuménique à Cannes. Amos Kollek a décidé de réaliser cette comédie car d’une part tout le monde les tenait, Anna et lui, pour dépressifs, mais aussi et surtout car ayant des enfants qui auront un jour l’âge de voir ses films, il voulait mettre un peu de légèreté dans son propos. On ne change pas une équipe qui gagne et pourtant Amos Kollek fait des infidélités à sa merveilleuse actrice l’année suivante: c’est pour Valérie Geffner qu’il écrit le rôle principal de Queenie in Love, sorte d’extension du petit rôle de Wanda qu’elle tient dans Fast Food Fast Women. Cela dit, l’histoire de cette femme solitaire à la recherche de quelqu’un qui l’écoutera et l’aimera est, elle, toujours là, le sourire en plus.
    *
    Il faudra attendre Bridget, annoncé comme le dernier volet d’une trilogie commencée par Sue perdue dans Manhattan et continuée par Fiona, pour que se reforme le duo Kollek-Thomson, celui-ci s’étant en partie inspiré de la vie de l’actrice pour nourrir son scénario. En effet, elle a elle-même perdu son mari et a ensuite connu des difficultés pour garder ses enfants.Cela dit, elle n’a heureusement pas eu à passer par toutes les épreuves que son personnage affronte dans le film. Trilogie dont le noyau commun est bien ces destins de femmes en marge de la société, confrontées à des difficultés pour survivre et dont la solitude n’est qu’un fardeau supplémentaire.

    J’AI REVE NEW YORK

    Réalisateur new-yorkais, Amos Kollek se devait d’apporter sa pierre à l’édifice "post-11 septembre". C’est en novembre 2001 que le journaliste Daniel Leconte lui donne carte blanche pour réaliser un documentaire illustrant une soirée thématique sur Arte. Le titre, Une Gloire amère, s’impose comme une évidence de l’atmosphère de la ville depuis cet autre jeudi noir. Il y interroge ses amis, les habitants de son quartier, des écoliers new-yorkais et suit Anna Thomson dans les rues de la ville, Sue retrouve Manhattan.
    Documentaires, fictions, histoires très noires, comédies, Amos Kollek compose sur la même gamme, conservant une sorte de fil rouge qui fait qu’il est si facile de se laisser prendre à chacune de ses histoires, de s’identifier à ces personnages qui ne sont pas si éloignés que ça de chacun de nous. Cela dit, il vient de terminer un cycle avec Bridget et il est donc de bon ton de se demander ce qu’il nous réserve avec son nouveau film. Va-t-il garder ce même regard sur New-York, qui fait que certains le comparent à Woody Allen (comme lui d’ailleurs, son cinéma est plus apprécié en France qu’aux USA)? Va t-il rester sur la lignée lumineuse de Bridget, revenir sur un destin tragique à la Sue, ou est-il à l’aube d’un tournant dans sa carrière? Réponse sur les écrans à partir du 24 décembre.

    Carine Filloux

    *

    *

    Interview (en allemand)
    http://www.planet-interview.de/interviews/amos-kollek/34007/

     






    ©-DR-LE RUBAN BLANC de Michael Haneke (2009)

    13/12/2014 06:14

    ©-DR-LE RUBAN BLANC de Michael Haneke (2009)


    Le Ruban blanc (en allemand : Das weiße Band)
    est un film franco-germano-italo-autrichien réalisé par Michael Haneke,
    sorti le 21 octobre 2009 en France. Le film a obtenu la Palme d'or au Festival de Cannes 2009.

     

     *Lien vers la fiche complete
    http://www.imdb.com/title/tt1149362/combined

    *

    Résumé
    Un vieux narrateur raconte rétrospectivement l'histoire d'un village de l'Allemagne du nord à la veille de la Première Guerre mondiale, dans lequel il fut instituteur dans sa jeunesse.où surviennent d'étranges événements, de drôles d'agressions... Et puis, des habitants assommés par les diktas de la doctrine protestante, les enfants en premier lieu...

    *

    *

    Cast
    là je laisse le nom des doubleurs/ses
    et tant pis pour l'aspect visuel affreux.
    D'une part je l'ai vu en v.f et d'autre part,il s'agit
    de vrais(es) acteurs/trices faisant du très bon boulot
    *
     
    Christian Friedel (VF : Jean-Christophe Dollé) : le professeur
    Leonie Benesch : Eva
    Burghart Klaußner  (VF : Daniel Mesguich) : le pasteur
    Susanne Lothar (VF : Dominique Blanc) : la sage-femme
    Ulrich Tukur (VF : Thibault de Montalembert) : le baron, Armin
    Ursina Lardi (VF : Sylvia Bergé) : la baronne, Marie-Luise
    Rainer Bock (VF : Didier Flamand) : le médecin
    Maria-Victoria Dragus (en) : la fille du pasteur
    Roxane Duran (VF : elle-même) : Anna, la fille du médecin
    Leonard Proxauf : Martin, fils du pasteur
    Janina Fautz : Erna, la jeune « voyante »
    Josef Bierbichler (VF : Jean-François Stévenin) : le régisseur
    Steffi Kühnert (VF : Marie-Armelle Deguy) : la femme du pasteur
    Thibault Sérié (VF : lui-même) : Gustav, le fils cadet du pasteur
    Levin Henning : Adolf, fils du pasteur
    Enno Trebs : Georg
    Theo Trebs (en) : Ferdinand
    Miljan Chatelain (VF : lui-même) : Rudolf
    Eddy Grahl : Karli, le fils handicapé mental de la sage-femme
    Michael Kranz : le professeur particulier
    Marisa Growaldt : la servante
    Jadea Mercedes Diaz : la sœur d'Eva
    Sebastian Hülk (VF : Clovis Fouin) : Max
    Sara Schivazappa : une nourrice
    Kai-Peter Malina : Karl
    Hanus Polak Jr : un policier
    Marvin Ray Spey : Hans
    Ernst Jacobi  (VF : Jean-Louis Trintignant) : le narrateur (voix)
    Detlev Buck (VF : Eric Herson-Macarel) : le père d'Eva

     






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