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© DR - SATYRICON de F.Fellini (1969) p41
14/12/2012 19:36
Phantasmagorical brilliance
Author: Bryce David from Psychotronic land (1) 29 June 2004
* There's not much of a story in SATYRICON: we follow the disjointed "adventures" of two young men during decadent ancient Rome. What follows though is pure visual brilliance. The film reminded me a lot of psychedelic European comic books of the late 60s and 70s. I saw this Fellini film on TV, in pan and scan, and even though SATYRICON has to be seen on widescreen format, the cropped version was still mighty impressive to look at. But to experience the complete visual splendor of the film, widescreen is simply a must!
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© DR - SATYRICON de F.Fellini (1969) fin
14/12/2012 19:42
Lucia Bosè
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Phantasmagorical brilliance
Author: Bryce David from Psychotronic land (fin) 29 June 2004
* The film did drag here and there (certainly with Fellini letting some vignettes last longer than they should) but overall, the cumulative effect of all the stories creates a unique visceral experience that's seldom seen, back then or since. My only critique with SATYRICON is that in the end, it feels more like some avant-guard experimental theater experience than an actual film. The set-pieces are so stagy that SATYRICON often looks like a filmed stage play. This doesn't make the film bad but its staginess detracts a bit from achieving the perfect surreal effect that only a true cinematic experience can recreate.
* I could not immerse myself 100% in it because the staginess kept reminding me that I was watching a film. Even Pauline Kael said SATYRICON felt like 2 hours of people walking along walls. That's a bit of an exaggeration but I agree with her point. The staginess (which I'm aware is part of the surreal effect Fellini wanted to create) keeps SATYRICON from being a definitive masterpiece.Even so, Fellini's SATYRICON is worth seeing for anyone who's into bawdy, surreal visual feasts. It's a one-of-a-kind experience.
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© DR- CINEMA ITALIEN - Lucia Bosè
15/12/2012 03:31
Lucia Bosè
née Lucia Borloni, le 28 janvier 1931 à Milan,
en Lombardie) est une actrice italienne.
Issue d'une famille modeste, Lucia Bosè entre à quatorze ans comme dactylo dans le cabinet d'un avocat. Elle devient ensuite vendeuse dans une pâtisserie. Une de ses amies envoie une photo de Lucia au comité d'un concours de beauté : elle franchit toutes les étapes jusqu'au titre suprême de Miss Italie 1947, malgré l'opposition de son père et de son frère. L'année 1947 est d'ailleurs à marquer d'une pierre blanche puisque Gianna Maria Canale, future reine des Amazones, arrive deuxième au concours et Gina Lollobrigida troisième.
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© DR- CINEMA ITALIEN - Lucia Bosè (p2)
15/12/2012 06:53
1950 : Pâques sanglantes (Non c'è pace tra gli ulivi)
de Giuseppe De Santis avec Raf Vallone
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Laurence Schifano, auteur de plusieurs ouvrages sur Luchino Visconti, éclaire d'une lumière plus intense et nuancée les débuts de Lucia :« En entrant dans une pâtisserie de Milan - la pâtisserie Galli de la via Victor Hugo, célèbre pour ses panettones, Luchino Visconti a remarqué une petite caissière de seize ans à la taille élancée, aux grands yeux mélancoliques, au maintien si racé qu'on la prendrait pour une Visconti."
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"Vous, lui a-t-il dit, vous ferez un jour du cinéma, j'en suis sûr." Le lendemain, l'ami qui l'accompagnait revient [...] : "Vous savez qui vous a parlé hier ?... Luchino Visconti." Qui est Visconti, elle ne le sait pas, cette petite employée qui trime depuis l'âge de douze ans, qui est née dans une ferme des environs de Milan et a vécu son enfance dans la pauvreté et la peur des bombardements.
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© DR- CINEMA ITALIEN - Lucia Bosè p3
15/12/2012 07:20
Pâques sanglantes
"Mon univers,-dira-t-elle-se réduisait au comptoir d'une pâtisserie. L'évasion, pour moi, c'était la ligne 26, Monforte, Scalo, Porta Romana, Ripamonti, Porta Vigentina. Il y avait Sergio, mon premier amoureux, et l'Idroscalo (it). C'était tout. Jusqu'au jour, un an plus tard, où sa photographie s'étale en première page des journaux : elle vient d'être élue Miss Italie par le jury d'un concours de beauté présidé et financé par la GiViEmme, la célèbre firme de cosmétiques des Visconti.
Du jour au lendemain, elle est couverte de cadeaux, d'invitations, de propositions. Le rêve de milliers de jeunes filles se réalise pour elle : "100 000 lires pour un sourire-raconte-t-elle-.. Un million et plus pour un beau visage... À l'époque, c'était la richesse, le succès. L'Italie, notre Italie d'alors vivait dans l'espérance du million capable de changer une vie"... Sans aucun doute, c'est alors que naquit Lucia Bosè.
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