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 CINEMA :Les blessures narcissiques d'une vie par procuration
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CINEMA :Les blessures narcissiques d'une vie par procuration

VIP-Blog de tellurikwaves
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  • Créé le : 10/09/2011 19:04
    Modifié : 09/08/2023 17:55

    Garçon (73 ans)
    Origine : 75 Paris
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    © DR - Federico Fellini / HUIT ET DEMI p25

    08/12/2012 18:53

    © DR - Federico Fellini / HUIT ET DEMI   p25


                                                                Maitresses déchues






    © DR - Federico Fellini / HUIT ET DEMI p26

    08/12/2012 19:02

    © DR - Federico Fellini / HUIT ET DEMI  p26


    Perhaps, one of the greatest films ever made

    Author: Galina from Virginia, USA
    9 November 2005
    *
    First time I saw 8 1/2 over twenty years ago; I did not like it then and I did not care much for a confused director who did not know how to make his next movie or how to deal with all women in his life. This time it was different. I knew it from the opening scene, from the first sounds of Nino Rota's music. I wanted to know how Guido would balance the demands of his producers and the insecurities of his love life.
    I sometimes barely could tell the difference between the reality and Guido's surfing the waves of his memory or building the Utopias in his mind where things were exactly the way he wanted them to be – and I really did not want to tell the difference. I just was there, following Guido on his journey where Fellini sent us. Then, that scene came, "La Saraghina's" lurid dance on the beach. There was something in that scene that made me return to it over and over again.
    What was it? The dancing woman was not young, pretty or graceful. On the contrary, she was fat and ugly but there was something about her – that smile, resilience, the promise of joy that attracted eager schoolboys. It was a last time the young Guido felt happy without guilt and shame that inevitably came after the encounter and stayed with him forever; he learned that joy and punishment are inseparable…
    There have been fewer than a handful of films that affected me as profoundly as 8 ½ did:
    Tarkovsky's "Zerkalo" – when the master holds the mirror in front of you that reflects his soul and mind, open you eyes and heart, don't say a word, just watch closely.
    *
    Tarkovsky's "Andrey Rublev" – What is talent? Is it a God's gift or Devil's curse? Is an Artist free in choosing what to do with that gift?
    *
    Bergman's "Persona" – How far can one individual go in opening his soul to the other without losing identity and sanity?
    *
    Fellini's –"Nights of Cabiria" – "Dum Spiro – Spero" - While there's life there's hope.
     
    In 8 ½, Fellini explored all these subjects and in the final he took the idea of life and hope ever further:after all the characters in his film disappear from the screen,all what left behind is "a little orchestra of Hope with Love as its conductor".The last that we hear is the magic music of Rota,bringing affirmation,hope and love.Simply wonderful perhaps, one of five greatest films ever made





    © DR - Federico Fellini / HUIT ET DEMI p27

    08/12/2012 19:07

    © DR - Federico Fellini / HUIT ET DEMI  p27







    © DR - Federico Fellini / HUIT ET DEMI p28

    08/12/2012 19:17

    © DR - Federico Fellini / HUIT ET DEMI  p28


    Federico Fellini
    est était un réalisateur de cinéma et scénariste italien né à Rimini,
    dans la région d'Émilie-Romagne en Italie, le 20 janvier 1920 et
    décédé à Rome le 31 octobre 1993 à l'âge de 73 ans.

     

    Il est l'un des plus grands et célèbres réalisateurs italiens du XXe siècle et l'un des cinéastes les plus illustres de l'histoire du cinéma, au même titre que Charles Chaplin, Ingmar Bergman, Akira Kurosawa ou encore Orson Welles.Il a gagné la Palme d'or au Festival de Cannes 1960 pour La dolce vita et quatre fois l'Oscar du meilleur film en langue étrangère à Hollywood (pour La strada, Les Nuits de Cabiria, Huit et demi et Amarcord), un record qu'il partage avec son compatriote Vittorio De Sica.En 1993, un Oscar d'honneur pour l'ensemble de sa carrière, « en appréciation de l'un des maîtres-conteurs de l'écran », lui est attribué par la prestigieuse Académie des arts et sciences du cinéma.

    Les débuts
    Issu d'une famille de la petite bourgeoisie de province italienne, Federico Fellini est né dans la station balnéaire de Rimini sur la côte adriatique. Durant sa jeunesse, il est marqué par le pouvoir, l'Eglise et le fascisme, ce qui se ressentira plus tard dans son œuvre (Amarcord, par exemple).Attiré par le journalisme et par le dessin de presse, il s'installe en 1939 à Rome où il est engagé par un hebdomadaire humoristique à grand tirage, Marc'Aurelio.L'une des"lectrices"est Giulietta Masina. Lorsqu'il la rencontre, c'est le coup de foudre : il l'épouse le 30 octobre 1943.

    Il débute au cinéma comme script et assistant-scénariste de Roberto Rossellini pour le film Rome, ville ouverte (Roma, città aperta) en 1945. Si cette collaboration dure plusieurs années, Fellini travaille également aux côtés de Pietro Germi (Au nom de la loi, In nome della legge en 1948) et d'Alberto Lattuada (Sans pitié, Senza pietà en 1948).C'est avec ce dernier qu'il signe sa première véritable mise en scène, Les Feux du music-hall (Luci del varietà) en 1951, une œuvre, certes, fortement influencée par le courant néoréaliste, mais qui s'avère déjà très personnelle.En 1952, il assure seul la réalisation de la comédie Le Cheik blanc (Lo Sceicco bianco), dont le scénario développe un sujet pensé avec Michelangelo Antonioni, puis il tourne en1953 Les Vitelloni (I Vitelloni) qui impose définitivement l'univers fellinien.

    C'est avec La strada, en 1954, que Federico Fellini obtient son premier succès international. Dans ce film, comme dans Il Bidone en 1955 et dans Les Nuits de Cabiria (Le Notti di Cabiria) en 1957, il met en vedette sa femme, Giulietta Masina.Dans le premier film, elle joue le rôle de Gelsomina, une misérable artiste de cirque, brutalisée par Zampanò, le directeur de la troupe (Anthony Quinn), et, dans le dernier, celui de Cabiria, une prostituée courageuse, mais naïve. Ces films restent encore fidèles à la thématique néoréaliste mais s'en écartent en partie par leur regard poétique, mélancolique et onirique.La dolce vita en 1960, qui obtient la Palme d'or au Festival de Cannes, est un tournant décisif. Ce film marque, de manière officielle, la rupture avec le néoréalisme et impose définitivement ce qu'on appellera désormais,  le baroque fellinien qui définit notamment les personnages (exubérants, extravagants, grotesques, véritables caricatures vivantes).

    La narration (fragmentée, étale ou circulaire : sans réelle progression dramatique), l'esthétique (alternance de décors et de lumière naturels avec une scénographie et des éclairages ostensiblement artificiels ou stylisés, maquillages et costumes outranciers, théâtralisation des scènes etc.) ou le traitement du temps : le réel et l'imaginaire, le rêve et la banalité quotidienne, le fantasme, le souvenir et le monde concret se confondent allègrement.L'énorme succès de La dolce vita, dont la musique lancinante signée Nino Rota et l'image légendaire d'Anita Ekberg déambulant dans la fontaine de Trevi allaient faire le tour du monde, lui permet de réaliser, trois ans plus tard, son film le plus personnel et le plus ambitieux, Huit et demi (Otto e mezzo). En livrant ainsi ses angoisses d'artiste en mal d'inspiration, ses délires et ses fantasmes de cinéaste à travers Marcello Mastroianni, son alter ego, Fellini propose une réflexion passionnante et dense sur la création artistique.

    Après la démesure(?) de son Satyricon en 1969, d'après l'œuvre de Pétrone, Fellini, désormais totalement débarrassé de l'héritage néoréaliste, plonge dans ses souvenirs d'enfance avec Les Clowns (I Clowns) en 1970, téléfilm sorti aussi dans les salles de cinéma, Fellini Roma en 1972 et Amarcord en 1973, qui évoque son adolescence à Rimini, sa ville natale.Avec Casanova (Il Casanova di Federico Fellini) en 1976, il renoue avec le baroque fastueux du Satyricon. Sa veine intimiste reprend avec un nouveau téléfilm qui sera également exploité dans les salles de cinéma : Répétition d'orchestre (Prova d'orchestra) en 1979.

    Les années 80 s'ouvrent sur La Cité des femmes (La Città delle donne) en 1980. Suivront Et vogue le navire..(E la nave va...) en 1983, véritable opéra funèbre, Ginger et Fred (Ginger e Fred) en 1985 et Intervista en 1987 , véritable hommage au cinéma, où il fait se retrouver Marcello Mastroianni et Anita Ekberg presque trente ans après La Dolce Vita.C'est avec La voce della luna, en 1990, un film au climat crépusculaire que se clôt l'activité cinématographique de Fellini. Lors des funérailles d'État à Rome auxquelles il a droit, le célèbre trompettiste italien Mauro Maur joue L'improvviso dell'angelo de Nino Rota

    Fellini et Mastroianni
    Fellini trouve en Marcello Mastroianni un véritable « double cinématographique ». Ils collaboreront sur de nombreux films : La Dolce vita, Huit et demi, La Cité des femmes,Ginger et Fred et Intervista.

    Fellini et Nino Rota
     Fellini fait la connaissance de Nino Rota alors qu'il travaille sur son second long métrage, Le Cheik blanc. Ce sera le début d'une collaboration ininterrompue jusqu'à la mort du compositeur et qui reste l'une des plus célèbres du cinéma : Les Vitelloni, La strada, La dolce vita, Amarcord... La bande sonore de Huit et demi est souvent citée en exemple dans la manière dont la partition enrichit le sens et l'émotion de la mise en scène fellinienne à laquelle elle apporte une certaine « cohérence ».La dernière participation de Rota pour Fellini date de Répétition d'orchestre. Après son décès, Fellini trouve en Nicola Piovani un nouveau compositeur fétiche pour ses dernières œuvres : Ginger et Fred, Intervista et La voce della luna. (médiocre)







    © DR - Federico Fellini / HUIT ET DEMI p29

    08/12/2012 19:22

    © DR - Federico Fellini / HUIT ET DEMI   p29


    Filmographie

    Scénariste
    1949 : Au nom de la loi (In nome della legge) de Pietro Germi
    1950 : Les Onze Fioretti de François d'Assise (Francesco, giullare di Dio) de Roberto Rossellini
     
    Assistant
    1948 : L'amore, film en deux parties (I : La Voix humaine - Una voce umana - ; II : Le Miracle - Il miracolo -)
    de Roberto Rosselini (assistant-réalisateur et acteur sur la seconde partie)


    Filmographie /Réalisateur

    Les 50's
    1950 : Les Feux du music-hall (Luci del varietà)* co-réalisation avec Alberto Lattuada
    1952 : Le Cheik blanc ou Courrier du cœur (Lo sceicco bianco)
    1953 : L'Amour à la ville (L'amore in città) co-réalisation avec Michelangelo Antonioni, Dino Risi et Alberto Lattuada : épisode Une agence matrimoniale(Agenzia matrimoniale)
    1953 : Les Vitelloni ou Les Inutiles (I vitelloni)
    1954 : La strada
    1955 : Il bidone
    1957 : Les Nuits de Cabiria (Le notti di Cabiria) toujours pas vu

    Les 60's
     1960 : La dolce vita (parfois intitulé La Douceur de vivre)
    1962 : Boccace 70 (Boccaccio '70) co-réalisation avec Luchino Visconti, Mario Monicelli et Vittorio De Sica
              : épisode Les Tentations du docteur Antonio(Le tentazioni del dottor Antonio)
    1963 : Huit et demi (Otto e mezzo)
    1965 : Juliette des esprits (Giulietta degli spiriti)
    1968 : Histoires extraordinaires, co-réalisation avec Roger Vadim et Louis Malle
              : épisode Il ne faut jamais parier sa tête avec le diable (Toby Dammit)
    1969 : Bloc-notes d'un cinéaste (Block-notes di un regista), documentaire TV
    1969 : Satyricon (Fellini Satyricon)
    *
    Les 70's
     
    1971 : Les Clowns (I clowns)
    1972 : Fellini Roma (Roma)
    1973 : Amarcord
    1976 : Le Casanova de Fellini (Il Casanova di Federico Fellini)
    1979 : Répétition d'orchestre (Prova d'orchestra) ne m'a laissé aucun souvenir
    *
    Plus récents
    1980 : La Cité des femmes (La città delle donne)
    1983 : Et vogue le navire… (E la nave va…)
    1985 : Ginger et Fred (Ginger e Fred (Pas du tout aîmé)
    1987 : Intervista
    1990 : La voce della luna (Une immense déception)
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