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 CINEMA :Les blessures narcissiques d'une vie par procuration
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CINEMA :Les blessures narcissiques d'une vie par procuration

VIP-Blog de tellurikwaves
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  • Créé le : 10/09/2011 19:04
    Modifié : 09/08/2023 17:55

    Garçon (73 ans)
    Origine : 75 Paris
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    ©-DR- LA VIE à L'ENVERS de Alain Jessua (1964) p2

    03/04/2014 18:49

      ©-DR- LA VIE à L'ENVERS de Alain Jessua (1964) p2


    Critique de Magrol (ALLO CINE)
    Un des films les plus justes et les plus fascinants qui aient jamais été tournés sur la question de la psychose. À partir d’un roman écrit par lui-même, Alain Jessua retrace l’itinéraire inéluctable d’un homme dans le déclenchement de sa folie.

    Charles Denner incarne de façon fabuleuse ce personnage hanté par les formes au point de se fondre peu à peu en elles au point de perdre toute notion de l’altérité. Le passage, si progressif qu’il en est imperceptible, du monde « normal » à celui où Jacques Vallin se réfugie de plus en plus, est rendu parfaitement au niveau cinématographique par une variation vertigineuse sur les sons, les formes et les lumières.

    Le noir et blanc des images notamment, à travers une infinité de nuances de gris, témoigne d’une manière étonnante de l’éprouvé halluciné de cet être humain en proie à la question de son identité et du vide de la vie. Sans les symboles permettant de le décrypter, les choses, les êtres, le temps, perdent leur sens et deviennent des lignes et de la lumière pures. La fin est étonnante, rendant compte de cette « paisibilité » qui peut accompagner - pour un temps - les « fous » dans leur monde à part…
     *

    *

    *

    It Will Turn Your Life Upside Down

    10/10
    Author: Bill Kamberger from Baltimore, MD
    12 April 2000

     

    Jessua has never achieved the fame of Truffaut and Resnais, but he was at least their equal in talent. In this, his finest film, he explores a young man's withdrawal from Parisian bourgeois life into a world of his own. Is the man going insane? By conventional standards, yes, but it's clear that the life he's fleeing is madder still. Moreover, since we hear and see the events from his point of view, and since that point of view is unfailingly witty and astute about the underlying if not the literal truth, we even come to accept his delusions as more "real" than reality. The writing finds humor in the bleakest situations, while the direction reveals a Zen spirituality in the most banal images. Denner's performance is enough to give "psychotic charm" a good name, and he manages to be heartbreaking without ever resorting to obvious pathos. In short, a masterpiece.

    Was the above review useful to you?  

     

    4 out of 5 people found the following review useful:

    A unique movie of benign schizophrenia (not split-personality)

    10/10
    Author: pluckpurr from United States
    2 December 2010

    I saw this movie on television in the late 19sixties - and was mesmerized - and haven't seen it since. I just checked Amazon and there is someone selling a video of it for $198.00. It is a very sweet film. Charming. Intelligent. Poetic. If you like taking walks in Springtime in a local uncrowded park, you might find it refreshing. There is a subtle ardor about it. It doesn't seem to 'pretend' anything. The 'Mystery' of it unfolds delicately, bit by bit, frame by frame. The 'Sorrow' of it is not built on mountains of angst, but rather a humorous metamorphosis that compares ordinary life to a pure renunciation of the trappings an ordinary life instills and sustains. Not a movie for 'Followers'. The 'Hero's' mindset or mental condition is obviously clinical, yet there is a simple beauty in it, something a person who grows up on a diet of 'Malls' will never understand.

    Was the above review useful to you?  

    Deviancy

    Author: dbdumonteil
    16 March 2014

    Alain Jessua was one of the great mavericks of the French cinema;he was too modern to be labeled "old school" but he had ,fortunately,nothing to do with Godard,TRuffaut and co.Simply ,from this debut to "Paradis Pour Tous" (1982),he has never produced anything mediocre (let's be nice and forget the final works ).

    "La Vie A L'Envers " begins with a tape played backwards ;a man is tired of his girlfriend ,of his nine-to-five work and decides to live without the others -I'm watching you,but I don't see you" -and the things ;it was the beginning of the sixties and France was entering the consumer society ,a society which was omnivorous in its appetite for apartments ,cars ,food ;and the main character turns this down;he has made his this sentence from " fight club" 'the things you own ends up owning you" ;and his bubble head girlfriend is a nuisance to live with at home,with her petty ambitions ("there's one of my movies just out ,let's go to the theater":the "movie" in question is an unbearable commercial )and her longing for a bourgeois life .It's not only misogyny:he even can do without his best friend ( "a friend I never see;"it's better that way" ).In an empty room ,he's never been so happy .When the doctor (the last human being he meets ) tells him he has a friend who can give him a nice place to live provided he continues his "work" (his recorded frame of minds),we think of an insane asylum right now.

    Charles Denner gives a great performance of this rebel without a cause :no political or sentimental reason for such a behavior,and we never have the impression that the character is going insane . When he begins to enter "his" world ,he walks through a subway corridor covered with posters which read 'trust yourself".

    In his sophomore effort ," Jeu De Massacre " ,Jessua would continue his study of deviancy: this time the hero,who makes up incredible stories , disappointed by a routine life and under an over possessive mother 's thumb,tries to live as a comics' hero; "Armaguedon" is " Vie A L'Envers " in reverse:the hero tries to attract the crowds ' attention by becoming some kind of terrorist ;and in his (at least to my eyes) final important work "Paradis Pour Tous" ,a shrink has found a new way of treating depression.

    Between 1963 and 1982,Jessua only made six movies ,but they are all interesting ;to someone who would discover him,I 'd suggest "Traitement De Choc"(1972) ,his most accessible effort.

    *

    Voilà c'est tout.Une seule photo;pas de Trivia,de critiques ni de sites externes






    ©-DR-Bio / Filmo de Charles Denner

    03/04/2014 19:31

    ©-DR-Bio / Filmo de Charles Denner


    Charles Denner est (était) un acteur de théâtre et de cinéma, né le 28 mai 1926 à Tarnów en Pologne, mort (décédé) le 10 septembre 1995 à Dreux.

    Biographie
    Issu d'une famille polonaise, Charles Denner arrive à Paris à l'âge de quatre ans.Durant la Seconde Guerre mondiale, sa famille se réfugie à Brive-la-Gaillarde et est aidée par le rabbin de Brive David Feuerwerker, qui sauve son frère aîné Alfred Denner. Il entre à 16 ans dans la Résistance avec Alfred. Maquisard chasseur alpin du Vercors, il est grièvement blessé à la colonne vertébrale lors de l'embuscade tendue par son groupe à un convoi nazi comprenant un camion de SS qu'il fait exploser à la grenade Gammon. Il recevra la croix de guerre pour ce fait d'armes.

    Après la guerre, il s'initie au théâtre en entrant au cours d'art dramatique Charles Dullin. Il y suit des cours le jour et travaille comme fort des Halles la nuit. Après un passage par ce qu'on appelait à l'époque les jeunes compagnies, Charles Denner entre au Palais de Chaillot dans la troupe du Théâtre national populaire dirigée par Jean Vilar. Au Festival d'Avignon, également créé par Jean Vilar, il donne la réplique à Gérard Philipe en 1951 dans Le Prince de Hombourg (von Kleist). Au TNP encore, il joue avec Jeanne Moreau, François Périer, Michel Galabru et bien d'autres comédiens célèbres de cette génération qui firent comme lui leurs débuts dans ce haut lieu de l'art dramatique français.

    Plus tard et toujours au TNP alors dirigé par Georges Wilson, il donne aussi une belle vision de son talent dans le rôle de Matti dans Maître Puntila et son valet Matti de Bertolt Brecht, mis en scène et joué par Georges Wilson, avec Judith Magre.Des années plus tard, il joue un Rogogine magistral en duo avec Philippe Avron dans L'Idiot de Dostoïevski, mis en scène par André Barsacq au Théâtre de l'Atelier.

    Après une apparition dans Volpone en 1941, Yves Allégret lui offre un petit rôle au cinéma en 1955, dans La Meilleure Part, suivi deux ans plus tard par Louis Malle dans Ascenseur pour l'échafaud. Claude Chabrol le remarque et lui donne le rôle de Landru après l'avoir vu dans le rôle de composition terrifiant de Gori (Goering) dans La Résistible Ascension d'Arturo Ui de Bertolt Brecht, jouée et mise en scène par Jean Vilar.

    Comédien de composition brillant, il sait incarner une grande variété de registres et de personnages qui vont des anarchistes moraux aux petits et grands voyous, des apatrides aux artistes et séducteurs. Il est remarquable dans Landru en 1963. On le voit aussi dans L'Héritier, puis surtout dans L'Homme qui aimait les femmes de François Truffaut pour lequel il vient supplanter un moment le personnage fétiche d'Antoine Doinel.À partir de 1970, il joue dans cinq films de Claude Lelouch dont le premier est Le Voyou.

    Sa santé se dégrade alors qu'il monte pour la dernière fois sur scène pour incarner le Marionnettiste de Lodz de Gilles Segal, mis en scène par Jean-Paul Roussillon. Un one-man show signe la fin de sa carrière en 1986. Pendant l'hiver 1986-1987, à la suite du froid et à de multiples bronchites, ses poumons sont touchés. À partir de 1987, ses déplacements sont rendus difficiles, et il doit rester à son domicile, où une machine à aide respiratoire est installée. Il fut ainsi alimenté en oxygène par un tuyau, ou une sonde.

    À la suite de cette maladie, il doit dans un premier temps abandonner le théâtre, dès décembre 1986, et son one-man show, puis, le cinéma, et la télévision, et ce à titre définitif. Ensuite, avec les années, il doit vivre de plus en plus reclus chez lui, et a de plus en plus de mal pour parler, sa demande en oxygène étant de plus en plus exigeante.Nathalie Rheims a écrit son livre L'un pour l'autre en 1999 autour de Charles Denner.Il est inhumé au cimetière de Bagneux.

    Vie privée

    Charles Denner a été marié deux fois. Du premier mariage sont nés deux enfants Charlet et Ethel.

    Filmographie

    Cinéma
    1941 : Volpone de Yves Allegret : apparition
    1951 : Avignon, bastion de la Provence - court métrage - de James Cuénet (narration)
    1954 : Poisson d'avril de Gilles Grangier : un consommateur au café
    1955 : Les Hommes en blanc de Ralph Habib : un interne
    1955 : La Meilleure Part d'Yves Allégret
    1957 : Ascenseur pour l'échafaud de Louis Malle : l'adjoint de Cherrier
    1962 : Landru de Claude Chabrol : Henri-Désiré Landru
    1964 : Mata Hari, agent H21 de Jean-Louis Richard : Soldat#1
    1964 : L'Aube des damnés d'Ahmed Rachedi - Uniquement la narration
    1964 : La Vie à l'envers d'Alain Jessua : Jacques Valin
    1964 : Les Pieds nickelés de Jean-Claude Chambon : Filochard
    1964 : Les Plus Belles Escroqueries du monde de Claude Chabrol
    1965 : Marie-Chantal contre docteur Kha de Claude Chabrol : Johnson
    1965 : Compartiment tueurs de Costa-Gavras : Bob
    1966 : Le Vieil Homme et l'Enfant de Claude Berri : le père de Claude
    1966 : YUL 871 de Jacques Godbout
    1966 : Le Voleur de Louis Malle : Cannonier
    1967 : Héraclite l'obscur court-métrage de Patrick Deval : Récitant
    1968 : La Mariée était en noir de François Truffaut : Fergus
    1968 : La Trêve de Claude Guillemot : Julien
    1969 : Le Corps de Diane de Jean-Louis Richard : Julien
    1968 : Z de Costa-Gavras : Manuel
    1970 : Le Voyou de Claude Lelouch : Gallois
    1971 : Les Mariés de l'an II de Jean-Paul Rappeneau : le voyageur
    1971 : Les Assassins de l'ordre de Marcel Carné : Graziani
    1972 : L'aventure c'est l'aventure de Claude Lelouch : Simon Duroc
    1972 : Une belle fille comme moi de François Truffaut : Arthur
    1973 : Les Gaspards de Pierre Tchernia : le ministre des travaux publics
    1973 : Un officier de police sans importance de Jean Larriaga : Serge Monnier
    1973 : L'Héritier de Philippe Labro : David Loweinstein
    1973 : Défense de savoir de Nadine Trintignant : Ravier
    1974 : Toute une vie de Claude Lelouch
    1975 : Vous ne l'emporterez pas au paradis de François Dupont-Midy : Nicolas
    1975 : Peur sur la ville d'Henri Verneuil : l'inspecteur Moissac
    1976 : La Première Fois de Claude Berri : le père
    1976 : Mado de Claude Sautet : Reynald Manecca
    1976 : Si c'était à refaire de Claude Lelouch : l'avocat
    1977 : L'Homme qui aimait les femmes de François Truffaut : Bertrand Morane
    1978 : L'Affaire Savolta de Antonio Drove : Lepprince
    1978 : Robert et Robert de Claude Lelouch : Robert Goldman, l'homme d'affaires
    1980 : Le Cœur à l'envers de Franck Apprederis : Guillaume
    1982 : L'Honneur d'un capitaine de Pierre Schoendoerffer : Avocat Gillard
    1982 : Mille milliards de dollars de Henri Verneuil : Walter, le détective
    1983 : Stella de Laurent Heynemann : Richard
    1983 : Les Années 80 de Chantal Akerman
    1983 : Rock 'n Torah ou Le préféré de Marc-André Grynbaum : Joseph, le père d'Isaac
    1986 : L'Unique de Jérôme Diamant-Berger : Vox, le producteur
    1986 : Golden Eighties de Chantal Akerman : M. Schwartz

    Télévision
    1960 : Les Joueurs de Marcel Bluwal
    1961 : Le Théâtre de la jeunesse : Gaspard ou le petit tambour de la neige
    1961 : Les Perses de Jean Prat
    1978 : Kakemono Hôtel de Franck Apprederis
    1986 : Espionne et tais-toi de Claude Boissol
    *
    *
    *
     
    Théâtre
    1949 : Les Voyous de Robert Hossein, mise en scène de l'auteur,
    Théâtre du Vieux-Colombier
    1949 : La Tragédie du roi Richard II de William Shakespeare, mise en scène Jean Vilar, Festival d'Avignon
    1949 : Le Cid de Corneille, mise en scène Jean Vilar, Festival d'Avignon
    1949 : Ils attendent Lefty de Clifford Odets, mise en scène Clément Harari, Théâtre Maubel
    1950 : Henri IV de Shakespeare, mise en scène Jean Vilar, TNP Festival d'Avignon
    1950 : Le Cid de Corneille, mise en scène Jean Vilar, TNP Festival d'Avignon
    1951 : La Calandria de Bernardo Dovizi da Bibbiena,
    mise en scène René Dupuy, TNP Festival d'Avignon
    1951 : Le Cid de Corneille, mise en scène Jean Vilar, TNP Festival d'Avignon
    1951 : Le Prince de Hombourg d'Heinrich von Kleist,
    mise en scène Jean Vilar, TNP Festival d'Avignon
    1951 : Mère Courage de Bertolt Brecht, mise en scène Jean Vilar,
    TNP Théâtre de la Cité Jardins Suresnes
    1952 : L'Avare de Molière, mise en scène Jean Vilar,
    TNP Théâtre de Chaillot, Festival d'Avignon
    1952 : Nucléa d'Henri Pichette, mise en scène Gérard Philipe & Jean Vilar,
    TNP TNP Théâtre de Chaillot
    1952 : Le Prince de Hombourg d'Heinrich von Kleist,
    mise en scène Jean Vilar, TNP Festival d'Avignon
    1952 : Lorenzaccio d’Alfred de Musset, mise en scène Gérard Philipe, TNP Festival d'Avignon
    1954 : La Machine infernale de et mise en scène Jean Cocteau,
    Théâtre des Bouffes-Parisiens
    1955 : Un nommé Judas de Pierre Bost et Claude-André Puget,
    mise en scène Jean Mercure, Théâtre des Célestins
    1957 : Péricles, prince de Tyr de William Shakespeare,
    mise en scène René Dupuy, Théâtre de l'Ambigu
    1957 : Marie Tudor de Victor Hugo, mise en scène Jean Vilar, TNP Théâtre des Célestins
    1958 : Ubu roi d'Alfred Jarry, mise en scène Jean Vilar, TNP Théâtre de Chaillot
    1958 : Lorenzaccio d'Alfred de Musset, mise en scène Gérard Philipe, TNP Festival d'Avignon
    1958 : Scènes de comédie d'Alain, mise en scène François Maistre, Théâtre de Lutèce
    1959 : Les Possédés d'Albert Camus d'après Fiodor Dostoïevski,
    mise en scène Albert Camus, Théâtre Antoine
    1960 : La Résistible Ascension d'Arturo Ui de Bertolt Brecht, mise en scène Jean Vilar et Georges Wilson, TNP Théâtre de Chaillot
    1960 : Ubu roi d'Alfred Jarry, mise en scène Jean Vilar, TNP Théâtre de Chaillot
    1961 : Loin de Rueil de Maurice Jarre et Roger Pillaudin d'après Raymond Queneau, mise en scène Maurice Jarre et Jean Vilar, TNP Théâtre de Chaillot
    1961 : Antigone de Jean Anouilh, mise en scène André Barsacq, Vienne
    1961 : Antigone de Sophocle, mise en scène Jean Vilar, TNP Festival d'Avignon
    1961 : L'Alcade de Zalamea de Pedro Calderón de la Barca,
    mise en scène Georges Riquier et Jean Vilar, TNP Festival d'Avignon
    1961 : Les Rustres de Carlo Goldoni, mise en scène Roger Mollien et Jean Vilar,
    TNP Festival d'Avignon
    1961 : La Paix d'après Aristophane, mise en scène Jean Vilar,
    TNP Théâtre de Chaillot
    1963 : Thomas More ou l'homme seul de Robert Bolt, mise en scène Jean Vilar,
    TNP Théâtre de Chaillot, Festival d'Avignon
    1964 : Maître Puntila et son valet Matti de Brecht,
    mise en scène Georges Wilson, TNP Théâtre de Chaillot
    1966 : L'Idiot de Dostoïevski, mise en scène André Barsacq, Théâtre de l'Atelier
    1967 : Le Roi Lear de William Shakespeare, mise en scène Georges Wilson,
    TNP Théâtre de Chaillot
    1968 : Les Rosenberg ne doivent pas mourir d'Alain Decaux,
    mise en scène Jean-Marie Serreau, Tréteaux de France
    1984 : Le Marionnettiste de Lodz de Gilles Segal,
    mise en scène Jean-Paul Roussillon, Théâtre de la Commune
     
    Prix et nominations
    Césars 1977 : nomination au César du
    meilleur acteur dans un second rôle pour Si c'était à refaire
    Césars 1978 : nomination au César du
    meilleur acteur pour L'homme qui aimait les femmes





    ©-DR-COURS LOLA,COURS ! de Tom Tykwer (1998)

    05/04/2014 02:51

    ©-DR-COURS LOLA,COURS ! de Tom Tykwer (1998)


    Cours, Lola, cours (Lola rennt), est un film allemand réalisé par Tom Tykwer et sorti en 1998.

     

     

    Résumé
    Lola et Manni ont vingt ans et vivent le parfait amour depuis quelque temps... D'une cabine téléphonique de Berlin, Manni appelle affolé sa petite amie Lola. Ce dernier, coursier pour un traficant de drogue local devait livrer un paquet contre réception d'une somme de 100.000 marks.

    La réussite de l'opération devait décider de l'importance de ses missions futures. Pourtant, trop pressé d'éviter les inspecteurs du métro, Manni a oublié le sac et son contenu sur le siège d'une rame.Or, l'argent doit être remis dans 20 minutes, faute de quoi sa vie sera en danger... Lola lui fixe rendez-vous et s'emploie dès lors de toutes ses forces à trouver de l'argent






    ©-DR-COURS LOLA,COURS ! de Tom Tykwer (1998) p2

    05/04/2014 02:55

    ©-DR-COURS LOLA,COURS ! de Tom Tykwer (1998)  p2


    Cast
    Franka Potente : Lola
    Moritz Bleibtreu : Manni
    Herbert Knaup : le père de Lola
    Nina Petri : Jutta Hansen
    Armin Rohde : M. Schuster
    Joachim Król : Norbert von Au
    Ludger Pistor : M. Meier
    Sebastian Schipper : Mike
    Julia Lindig : Doris
    Suzanne von Borsody : Mme Jäger
    Heino Ferch : Ronnie






    ©-DR-COURS LOLA,COURS ! de Tom Tykwer (1998) p3

    05/04/2014 02:59

    ©-DR-COURS LOLA,COURS ! de Tom Tykwer (1998)  p3


    Commentaires

    L'originalité de Cours, Lola, cours tient dans sa manière de traiter trois fois la même histoire. À deux reprises, le film recommence en effet au début de l'histoire. Chacune des deux nouvelles versions débute sur la mention « Et si... » à l'écran et propose alors une histoire alternative où les choses ne se déroulent pas de la même manière.

    Lola, le personnage principal, passe presque tout le temps du film à courir, et quand elle ne court pas, la vitesse du film ne ralentit pas pour autant. Le film s'inspire de l'esthétique des clips vidéo, par son rythme et ses couleurs (Lola a les cheveux rouge vif et certains plans sont réalisés en style « dessin animé »). Les plans de caméra se succèdent les uns aux autres à une vitesse effrénée durant tout le film. La musique d'inspiration techno est omniprésente, notamment pendant que Lola court, alors qu'il n'y a pas de dialogues. L'action se passe d'ailleurs à Berlin, la ville de la Love Parade, réputée pour ce genre de musique.(j'ai adoré la bande son)

    Influence

    Cours, Lola, cours est l'un des films allemands les plus importants des années 90.Il a influencé le cinéma allemand et au-delà puisque le premier épisode de la série Alias(?? tu parles d'une référence!) multipliait les clins d'oeil à Cours, Lola, Cours : musique, cheveux teints en rouge ...






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