Edwige Feuillère : « J'avoue avoir eu du mal à retrouver mon personnage dans le film. Christian Bérard m'avait fait faire de nouvelles robes, d'époque nettement 1880. […] Ma longue traîne de taffetas, à la scène, ondulait au rythme de mes pas sans faire de bruit ; ici, elle provoquait dans les micros,alors peu sensibles et mal réglés,le mugissement des vagues sur une mer déchaînée Il fallut postsynchroniser tout le texte, et dans quelles conditions ! Je n'ai jamais été douée pour ce travail minutieux et mécanique du doublage. »