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 CINEMA :Les blessures narcissiques d'une vie par procuration
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CINEMA :Les blessures narcissiques d'une vie par procuration

VIP-Blog de tellurikwaves
  • 12842 articles publiés
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  • 1 visiteur aujourd'hui
  • Créé le : 10/09/2011 19:04
    Modifié : 09/08/2023 17:55

    Garçon (73 ans)
    Origine : 75 Paris
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    ©-DR-LE RUBAN BLANC de Michael Haneke (2009) p4

    13/12/2014 06:37

    ©-DR-LE RUBAN BLANC de Michael Haneke (2009)  p4


    SENS CRITIQUE
    2

     


    Critique publiée par popsi_netn le 15 février 2014
    Le Ruban Blanc préside au podium des Meilleurs films. Pas meilleur film de tel genre, ni meilleur de tel réalisateur ou acteur. Meilleur film - Meilleur avec M majuscule - tout court.Attention, mon avis est totalement subjectif. Le long métrage de Michael Haneke transpose sur pellicule tout ce qui me plaît. Je n'y trouve aucun défaut mais y retrouve toutes les qualités que je prise. Il donc s'agit de mon film préféré, un choix plus logique qu'émotif tant tout me rejoint. Allez, plutôt qu'une longue critique fastidieuse (pour conclusion le même résultat), voici une liste de ce que j'admire en White Ribbon (et au 7e art en général).

    *

    - Noir & Blanc
    - La langue allemande
    - Les sous-titres
    - L'austérité de la langue et des sous-titres
    - L'austérité de tout le film
    - Le point spatio-temporel (Allemagne rurale des années 1910)
    - La rareté (unique?) du lieu et époque au cinéma
    - L'histoire
    - La crédibilité du scénario
    - La construction lente mais ferme du scénario
    - Le jeu fin des acteurs
    - Le jeu clé des enfants
    - Le rôle des enfants, à contre-emploi de tout ce que les têtes blondes
    nous-on jamais démontreré jusqu'ici
    - La banalité des péripéties
    - L'importance de chaque péripétie
    - La part dramatique
    - La part mystérieuse
    - La part haletante
    - La part horrifique
    - La tension sous-jacente à chaque minute
    - Le dénouement à demi-mot
    - La conclusion
    - Le message du film, guidé mais jamais expliqué
    - L'absence de morale
    - Le silence lourd
    - La contemplation de la photographie, parfois active parfois passive
    - La poésie
    - L'arrière-goût de mort du récit
    - L'impression d'irréel
    - La profondeur du film, réclamant plus d'une écoute
    - Le choix de l'angle pour le visionnements futurs
    - La face terre-à-terre, montrant les personnages immuables et l'histoire fataliste
    - La face psychologique, montrant les personnages dépassés et l'histoire dramatique
    - La face fantaisiste, montrant les personnages fantomatiques et l'histoire irréelle
    - L'intemporalité, accommodant le visuel scénique d'il y a un siècle
    à une technique irréprochable sans âge
    - La transcendance le Ruban Blanc n'affichant aucune mode, i
    l aurait été aussi bon en 1919, en 1962, en 2001 qu'il le sera en 2026.
    - La provocation commerciale
    - L'élitisme forcé
    - La pureté cinématographique
    - L'Art, point.





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