On serait presque par moment tentés de qualifier le tout de soft-porn ou d’érotique, car avouons-le voir la jeune femme se filmer sous toutes les coutures avec son mobile à de quoi dégeler l’Antarctique, avant que l’ensemble devienne de plus en plus glauque, poussant au malaise le spectateur au même rythme qu’elle picole et vomit. Une vision crue et acerbe, où l’exploration de la sexualité est à des années lumières du jovial Turn me on et irait plutôt dans le sens de Rêves Volés.