Revue de presse (fin)
Mais « Philippe Haïm a privilégié les séquence courtes, tournées caméra à l'épaule. D'où une succession d'images saccadées et vibrantes qui, in fine, finissent par nuire à l'efficacité d'un récit haletant.» (Première) Et pour les Inrocks, le réalisateur « semble pris de court par ses effets de vitesse et parvient rarement à y intégrer un peu de crédibilité psychologique : on croit pas du tout au recrutement sauvage par la DGSE d'une étudiante, ex-prostituée», et la «fin peu crédible» (L'Express).
Enfin, selon Télérama, le film ne tient pas la comparaison avec les blockbusters américains, « la complexité d'une intrigue, l'efficacité d'une mise en scène, la complicité entre acteurs, autant d'atouts présents chez Ridley Scott et absents chez Philippe Haïm ». (Mouais bon...et d'une Pas toujours...Ridley m'a bien déçu dans certains films et deuzio tu peux ajouter un zéro au budget de ses films)