Revue de presse frenchy
Selon le Figaroscope, «le réalisateur Jérôme Salle signe une adaptation réussie de la bande-dessinée épo du mm nom». C'est «un film d'action haut en couleur, rythmé sans temps mort, à l'américaine, le scénariste Julien Rappeneau et le réalisateur Jérôme Salle ont justement dosé l'équilibre entre scènes d'action et scènes intimistes autour de Largo(Studio) Pour Ciné Live, «par ses qualités visuelles et son scénario formidablement étoffé, Largo Winch redonne ses noblesses au terme de divertissement».
Première écrit :«Blindé, épique et plutôt bien mené, Largo Winch est un vrai bon divertis sement populaire frenchy» et Le Parisien parle d'un «film d'aventure soigné, avec toutes les caractéristiques du genre». Mais certains ont quand même émis des réserves. Studio reproche quelques «ressorts scénaristiques déjà vus, notamment pour les personnages de méchants» même si«l'ensemble tient drôlement bien la route.» Les Inrockuptibles n'a pas apprécié la «réalisation Schyzo:
Tantôt on multiplie les plans filmés d'hélico pour faire genre; tantôt on sort la mandoline pour se remémorer l'enfance lacrymale de Largo». Quant à Le au Monde, il parle de «péripéties prévisibles et invraisemblables, mais réjouissantes». «Un scénario prévisible mais pas désagréable à suivre [...] Pas moins. Mais pas plus» (L'Express)Les autres journaux, au contraire, ont apprécié «un Tomer Sisley capable de très belles choses» (Ciné Live), «ce comédien atypique [...] s'impose comme un comédien français à suivre à la loupe et dicte de nouvelles références de jeu physique» (Première), «nul doute que Tomer Sisley EST Largo Winch.
Même décontraction, même démarche féline, même intensité dans le regard. Sans oublier ce petit côté déraciné qui le rend séduisant auprès de la gent féminine» (Le Figaroscope), «il possède l'étoffe du héros charismatique qu'il incarne (Le Parisien). »Derrière lui, De Kristin Scott Thomas, impeccable en financière cynique, à Gilbert Melki ou Anne Consigny,les seconds rôles sont au diapason.Mention spéciale à Mélanie Thierry qui [...] impose sa grâce peu commune(bof) et sa blondeur incandescente« (Première)Pour Télérama, il n'y a «rien à dire sur le scénario qui s'inspire plutôt bien des deux premiers albums de la série imaginée par Jean Van Hamme», en revanche,«pour le reste on frôle la catastrophe [...]