Vient enfin la série des Vixens, sorte de résultante de ces divers apports : nudies, insolite, gag, caricature et violence. Toutes les différences s’effacent pour ne plus former qu'un seul et même système filmique fondé sur l’extravagance de scénarios que l’on imagine inexistant
Excès en tout, en anatomie féminine, en situations incongrues ou invraisemblables, en dialogues crus, en images baroques, en angle de prises de vues improbables, en cuts nerveux et illogiques.
Autant d’éléments qui fondent une politique d’auteur tout en disqualifiant ceux qui n’ont voulu voir en Russ Meyer que l’image d’une paire de seins démesurée, que le roi de la sexploitation.
Et bien tant pis si je suis disqualifié...En tout cas j'aime beaucoup FASTER PUSSYCAT...