Critique Les Inrocks 2 (fin)
Il serait même tentant de se mettre à genoux devant l'esthétique sauvage de ce film : le grain gris-bleu de sa photo impeccable, son iconologie cuir crypto lesbienne, ses contre-plongées vertigineuses, ses chorégraphies de jiujitsu, etc. De Mondino à Kill Bill en passant par les Cramps, un film qui s'impose comme un western matrice.
Les Inrockuptibles #480 - Février 2005, p.102