Blog Le Monde (fin)
Ce qui permet d’apprécier d’autant plus la façon qu’avait Russ Meyer de retourner tous les codes habituels : ses trois héroïnes se comportent tout à fait comme des mecs très basiques, querelleuses et violentes, avides et sans scrupules.Il entremêle tout cela d’un érotisme assez puissant mais sans aucune nudité, parfois même très allusif. La photographie en noir et blanc est assez éclatante*, avec des cadrages parfois surprenants Certes Faster Pussycat Kill Kill a maintenant un petit côté suranné mais il reste plaisant à regarder. Un film qui se situe totalement en dehors des sentiers battus.
*Ben je n'trouve pas ;plutôt dans les gris et blanc...dommage.Cela dit, j'aime beaucoup ce film