La critique de l'EXPRESS
L’intrigue est aussi simple que fantaisiste: trois gogo danseuses avides de vitesse et de violence rencontrent un jeune couple dans le désert californien. La leader du trio, Varla (Tura Satana, mélange explosif de sang cheyenne et japonais, (décédée l’année dernière), tue le garçon et garde la fille en otage.
Leur chemin croise ensuite celui d’un vieillard sénile vieil homme infirme et de ses deux fils, censés cacher chez eux un magot. Appâtées par l’argent, elles décident de les séduire. A l’arrivée, ça donne beaucoup de bagarres, de poitrines felliniennes et de bottes en cuir.