Analyse filmique par Sandra Walger (suite 12)
Ces par les formes cinématographiques que Bergman crée son propre récit de l’histoire. Il compose son prologue comme un rêve, un faux début de film. De la composition générale de l’extrait se dégage trois parties à l’image d’un rêve : la première est le sommeil des deux hommes, le chevalier se réveille dans son rêve et sent une présence voisine.La deuxième constitue sa rencontre avec la mort qui surgit comme une apparition et l’établissement d’un pari. Enfin, la troisième partie, celle du réveil, où le chevalier réveille l’écuyer et reprend la route. Cette construction onirique est volontaire.