Analyse filmique par Sandra Walger (suite 4)
Tout d’abord, la mort est omniprésente par l’utilisation des formes symboliques. Dans une première partie, dès le second plan, l’aigle de l’Apocalypse apparaît dans un ciel couvert comme une preuve annonciatrice d’un malheur, c’est à dire de l’arrivée de la mort.Cette apparition précède celle du chevalier au plan5. Elle est ensuite pressentie par ce dernier lorsqu’il interrompt sa prière au plan 13. En effet, il confirmera ce doute lors de sa conversation avec la mort.
La mort est également présente dans le décor comme une ombre dans la troisième partie.Lorsque le soleil ressurgit, les rochers imposants créent un contraste important sur une partie de la plage et donc délimite l’espace de la mort et celle du chevalier qui repart.