De gauche à droite :Liv Ullmann,Bibi Andersson et Ingmar Bergman
Analyse du film (7)
Mais le pire, pour lui, reste l'impossibilité de réagir face à ces atrocités, internes ou externes, véritables ou imaginaires. Ainsi écrit-il dans son journal en 1965 " Je suis incapable d'appréhender les grandes catastrophes. Elles ne touchent pas mon esprit.A la rigueur, je peux lire le récit de ces atrocités avec une espèce de convoitise, une pornographie de l'épouvante..." D'où cette séquence du début où l'actrice regarde, impuissante et horrifiée, un reportage télévisé sur l'immolation d'un moine bouddhiste...