Critique du film (suite)
1) Tout d’abord, les odeurs, horribles, des misères parisiennes, que nous sommes bien incapables de restituer à notre époque hygiénique dans laquelle tout le monde fuit les odeurs (d’ailleurs le mot « odeur » ne tend-il pas à rendre compte des mauvaises odeurs, en contraste avec le mot… parfum ?), feraient assurément vomir ou fuir les spectateurs dès les premières images (terribles !) du film…
2) Enfin, il est tout bonnement impossible de rivaliser, dans notre réalité, avec la perfection absolue du Parfum final, ce graal de l’odeur, irrésistible et puissant.L’objectif de cet article ne consiste pas en une critique personnelle du film, mais en une présentation plus ou moins succincte de quelques uns de ses éléments les plus intéressants,qui montre bien à quel point ce film est source de débats.