| Accueil | Créer un blog | Accès membres | Tous les blogs | Meetic 3 jours gratuit | Meetic Affinity 3 jours gratuit | Rainbow's Lips | Badoo |
newsletter de vip-blog.com S'inscrireSe désinscrire
http://tellurikwaves.vip-blog.com


 CINEMA :Les blessures narcissiques d'une vie par procuration
VIP Board
Blog express
Messages audio
Video Blog
Flux RSS

CINEMA :Les blessures narcissiques d'une vie par procuration

VIP-Blog de tellurikwaves
  • 12842 articles publiés
  • 103 commentaires postés
  • 1 visiteur aujourd'hui
  • Créé le : 10/09/2011 19:04
    Modifié : 09/08/2023 17:55

    Garçon (73 ans)
    Origine : 75 Paris
    Contact
    Favori
    Faire connaître ce blog
    Newsletter de ce blog

     Août  2025 
    Lun Mar Mer Jeu Ven Sam Dim
    282930010203
    04050607080910
    11121314151617
    18192021222324
    252627282930

    © DR -PRETTY WOMAN de Garry Marshall (1990 ) p4

    20/12/2011 20:16

     © DR -PRETTY WOMAN de Garry Marshall (1990 )  p4


    Madame LE FIGARO

     

    Le temps ne semble pas avoir de prise sur ce « sexygénaire » au charme inoxydable. Loin du tumulte Hollywoodien, l’acteur produit et joue dans le dernier film de Lasse Hallström, Hatchi, conte métaphorique imprégné des valeurs bouddhistes qu’il revendique.

     

    Difficile d’imaginer que cet homme, celui d’American Gigolo et de Pretty Woman, a fêté ses 60 ans cet été. Richard Gere, dents blanches, yeux noirs et crinière grise, résiste au temps. Est-ce le bouddhisme qu’il pratique assidûment depuis qu’il a épousé la cause tibétaine dans les années 80, lui l’ami intime du dalaï-lama ? Du coup, le diable sexy s’est fait ermite : aujourd’hui, Gere, marié et père de famille, médite plus qu’il ne fait parler de lui dans les tabloïds. Ses choix parlent pour lui : il joue et produit Hatch , de Lasse Hallström, tiré d’une histoire vraie, celle d’un chien fidèle (et accessoirement héros national au Japon), conte sur l’amitié, la patience et la fidélité, et métaphore de l’enseignement bouddhiste.

    Madame Figaro. Aimeriez-vous vous réincarner en chien ?
    *
    Richard Gere. Ni en chien ni en crapaud, en vache ou en serpent. Le monde des hommes n’est pas si mal.
    Même si ce chien s’appelle Hatchi, comme celui de votre film, attachant, doué d’émotions et de sentiments…
    *
    Ce serait tentant. Nous avons plein de choses en commun. Hatchi, le mot gravé sur le collier du chien, signifie « huit » en japonais, un chiffre symbole de l’infini et de la quête du paradis.
    *
    Ce qu’en somme vous recherchez ?
    *
    Oui, mais Hatchi n’est pas un homme. Je n’ai pas voulu faire d’anthropomorphisme. Dans le film, même si Hatchi éprouve des sentiments et des émotions, il reste un chien. La preuve : connaissez-vous un homme ou une femme capable d’une telle fidélité ? Moi non ! Il n’y a qu’un chien pour être aussi loyal. C’est ce qui m’a touché dans cette histoire vraie. Le véritable Hachiko a vécu à Tokyo dans les années trente. Son maître était professeur à l’université de Tokyo. Il prenait chaque jour le train à la gare de Shibuya. Le chien l’y a attendu au-delà même de la mort de son maître. Aujourd’hui, Hatchi y a sa statue.
    *
    Alors, quelle sorte d’homme aimeriez-vous devenir après votre mort ?
    *
    Je ne veux pas devenir une sorte d’homme. Je serai le même. En mieux. La vie est comme l’eau d’un fleuve. C’est toujours de l’eau, mais elle change, elle est plus froide, plus chaude… Après ma mort, je serai différent car je serai devenu meilleur.
    *
    Comment ?
    *
    Grâce à la méditation. Je médite tous les jours quarante-cinq minutes. Et parfois davantage.
    *
    Combien de temps faut-il pour atteindre le nirvana ?
    *
    Je pratique le bouddhisme depuis trente ans, et je n’y suis pas encore. Il me faudra encore plusieurs vies pour l’atteindre.
     
    « Être bouddhiste m’a donné le sens des responsabilités. »
     
    *
    Cela ressemble à quoi, le nirvana ?
    *
    À un état de plénitude. Vous ne ressentez plus de jalousie, de colère, de haine. Vous ne perdez plus votre énergie à survivre mais à faire le bien.
    *
    Comme le personnage de votre film. Un mari exemplaire, un père parfait, un professeur dévoué...
    *
    Ce film est plein de bonté. C’est un film sur l’attente, la signification de l’attente. Attendre, est-ce renoncer à la vie ou gagner en sagesse ? Hatchi est une métaphore des valeurs qu’enseigne le bouddhisme. Il raconte la vie qui passe. C’est un film à la Robert Bresson. L’histoire d’une vie simple comme la mienne.
    *
    Simple ? Vous êtes un sex-symbol, vous avez épousé les plus belles femmes du monde, vous êtes une star…
    *
    Vous mélangez tout. J’adore préparer les œufs brouillés du petit déjeuner. J’accompagne mon fils tous les matins à l’arrêt de bus. J’assiste à ses matchs de base-ball. Oui, je fais des films. Et alors ? Cela n’a rien d’extraordinaire pour moi. Les choses ne sont extraordinaires que pour ceux qui ne les ont pas encore faites.
    *
    Que faites-vous de votre argent ?
    *
    J’en donne une partie à la Gere Foundation qui oeuvre au Tibet où elle construit des écoles, des hôpitaux, des routes, des puits. Si on ne fait pas attention, la Chine risque de s’approprier toute l’eau qui vient de l’Himalaya.
    *
    Vous avez dit que vous étiez devenu bouddhiste car vous étiez malheureux…
    *
    Je cherchais à savoir pourquoi j’étais sur Terre. Je sentais que j’avais quelque chose à faire, mais je ne savais pas comment. Être bouddhiste m’a donné le sens des responsabilités vis-à-vis de moi-même et de la communauté des hommes.
    *
    Le bouddhisme n’est-il pas en opposition avec la culture américaine, fondée sur le combat, la réussite sociale et non sur la méditation et la prière ?
    *
    Le moine bouddhiste, comme l’Américain moyen, ressent de la jalousie, de la haine, de la colère, et tous deux, qu’ils vivent à New York ou dans un monastère de Lhassa, veulent se débarrasser de ces mauvaises ondes.
    *
    Le président Obama a-t-il un meilleur karma que le président Bush ?
    *
    Ce n’est pas difficile. Tout le monde a un meilleur karma que Bush. Le monde vit un grand moment avec ce nouveau président, et la crise n’a pas que de mauvaises conséquences. Certaines personnes ont perdu beaucoup d’argent, mais elles ont sûrement gagné en humanité.
    *
    Quand avez-vous rencontré le dalaï-lama pour la dernière fois ?
    *
    Il y a trois jours. Et je me suis fait gronder car je ne travaille pas assez !
    *
     *
    Quatrième chapitre de notre série d'été : Julia Roberts.
     
     
    Sous ses airs d'éternelle collégienne et de girl next door, la star au sourire Ultra Brite est une serial loveuse. Sur son tableau de chasse, on retrouve le Tout-Hollywood. Mais en 2002, elle flaire la perle rare et mise tout sur ce mari en or."Julia Roberts est la fille la plus hot que je connaisse" Celui qui livre ce verdict sait de quoi il parle. Il s’appelle Steven Soderbergh. Grâce à lui, Roberts décrocha son premier oscar dans Erin Brockovich, un contre-emploi renversant où elle défendait les minorités opprimées en décolleté Wonderbra. Soderbergh la casta ensuite dans deux films cultes : Ocean’s Eleven et Ocean’s Twelve, adaptations new-look de l’Inconnu de Las Vegas, un classique smart où s’illustrait The Rat Pack.(?)
    *
    Entourée des plus beaux gosses de Hollywood, la fille aux jambes télescopiques (1,10 m de gambettes galbées) était aux anges. Telle une gamine gourmande salivant devant la vitrine d’une pâtisserie, elle avait envie de goûter à tout (Brad Pitt, Andy Garcia, Bruce Willis) et finit par sélectionner George Clooney, spécimen de play-boy épicé et incasable. Elle interprète son épouse. Elle est sexy, drôle, brillante. Et ils achevèrent dans la vie réelle ce qu’ils avaient commencé à l’écran. La villa de Côme abrita leurs amours clandestines à l’écart des paparazzis.
    *
    American scenario
    On peut décliner le CV de la petite fiancée de l’Amérique à l’infini : à chaque page figure une aventure amoureuse liée à un tournage. La grande bringue aux cheveux châtains, aux yeux pétillants, au minois d’écureuil, a systématiquement puisé dans le vivier de mâles que lui offrait son travail, prolongeant les idylles virtuelles des scripts à la ville. Un réflexe compulsif. Tout commence avec la déflagration Pretty Woman. Avant cela, la collégienne de Géorgie n’était qu’une provinciale montée à New York, exerçant des métiers de survie (serveuse dans un McDo, mannequin improbable, vendeuse dans un grand magasin) et tannant son grand frère, Eric, déjà comédien, pour qu’il l’introduise dans l’usine à rêves. Grâce à lui, elle plaît, se retrouve dans une bluette (Mystic Pizza) sans oser croire qu’elle décrochera un jour la timbale.
     
    Une idylle avec Richard Gere
    *
    Or, le rôle de sa vie arrive très vite. On la veut dans une partition de paumée qui cachetonne en cuissardes et mini-robe de Lurex sur Hollywood Boulevard. Pretty Woman devient sa Comtesse aux pieds nus, son conte de fées intime. En Cendrillon moderne, passant du tapin sous la pluie à la suite moelleuse du Four Seasons, elle emballe les foules sentimentales. Le public fond pour son sourire 18 carats avec dents parfaites, son teint de pêche et sa candeur. Le prince charmant, lui, porte des costumes Armani et abat sa Carte Gold dans les spots de Rodeo Drive. Que fait cette Baby Doll de 21 ans face aux avances expertes du don Juan de la décennie ? Elle fond. Après tout, trois mois durant, elle a répété des scènes d’amour avec l’American gigolo, ce Richard Gere qui ravage sans effort deux ou trois générations de midinettes.
    *
    On voit mal pourquoi elle lui résisterait. La tête lui tourne. Elle n’a pas la moindre expérience de l’art dramatique et ne sait pas mettre ses émotions à distance. Une enfance traumatisante – deux parents qui se déchiraient, un père qui quitta le foyer quand elle avait 4 ans et qui mourut cinq ans plus tard – fait de Julia une névrosée quatre étoiles éternellement en quête d’amour. Elle continue donc à mélanger les rôles et la vie, à s’enivrer de cette exquise confusion des genres et des sens. Raison en berne, elle tombe dans le lit de presque tous ses partenaires. À l’époque, intriguée par son aventure avec Gere, les tabloïds enquêtent et découvrent, médusés, qu’elle avait déjà séduit le torride Liam Neeson deux ans plus tôt alors qu’elle tournait en sa compagnie dans Satisfaction, titre prémonitoire !
    *
    Quand on interroge Julia sur sa propension à érotiser le champ professionnel, elle noie le poisson. « Ce qui est formidable au cinéma, dit-elle, c’est l’ambiance sur un tournage ! J’adore ce côté grande famille de bohémiens. Au fond, on se complète le temps d’une histoire. » Le problème avec cette personnalité franchement désinhibée, c’est qu’elle n’accepte pas la fin de l’histoire et la prolonge en actes.
    *
    Le faux mariage
    *
    Peu après le succès de Pretty Woman, on pressent la girl next door aux grandes jambes pour  l’Expérience interdite. Elle a pour partenaire un rebelle pur jus, fils d’un mythe absolu. De  Donald Sutherland, chirurgien distrait de Mash, Casanova bouffon chez Fellini, Kiefer a hérité d’une bonne dose de décontraction et d’un anticonformisme qui séduit très vite la sudiste en jet lag à Hollywood. Peu après ce tournage, ils ne se quittent plus, arrosant leur quotidien de gosses gâtés de cognac, de tequila, de hard rock et de poudre blanche. C’est une période dark pour la jeune femme devenue entre-temps une actrice bankable. Sa bluette sur Rodeo Drive ayant rapporté la somme phénoménale de 400 millions de dollars, elle détrône désormais Meg Ryan et Sandra Bullock, poids lourds des comédies sentimentales.
    *
    Inévitablement, cette ascension éclair produit sur elle un effet déstabilisant. C’est son époque petite robes fleuries ploucs, amaigrissement spectaculaire, joues d’anorexique et mine de junkie. On zoome, on creuse, on s’inquiète. Pourquoi cette adorable Julia déprime-t-elle ? De quoi a-t-elle peur ? Elle possède le succès, le talent et même un fiancé amusant. Justement, Kiefer ne la fait plus kiffer. Ou trop ou mal. Leur couple est un cocktail Molotov qui peut imploser à tout moment. En vacances à Hawaï, ils font beaucoup la fête. Et voici que circule une vidéo : un condensé de pulsions trash.
    *
    On y voit Julia déshabiller tous les hommes présents à la soirée et se prêter à une séance de dirty dancing avec son fiancé. Mais le pire est à venir. De retour des Caraïbes, les noces sont annoncées en grande pompe, le 14 juin 1991 à Los Angeles, cité des anges dépravés. On a annexé le plateau 14 de la Fox, recouvert pour l’occasion d’un gazon cousu main et de milliers de vraies roses. Mais elle ne portera jamais la robe blanche signée Richard Tyler. Sur un coup de tête, très Bette Davies, elle annule tout : les 500 invités, le gratin local, la presse autorisée. Il a même fallu retourner les cadeaux.
     
    Coût du caprice : 500000 dollars ! Kiefer a vécu ce jour-là un very bad trip. « La Julia que j’ai connue était une personne formidable, lâchera-t-il, amer. Mais cette personne existe-t- elle encore ? Depuis ce mariage annulé, je ne l’ai jamais revue. » Après son putsch, celle qui faillit devenir Mrs. Sutherland se consolait dans les bras du meilleur ami de Kiefer, un comédien nommé Jason Patric. Le lendemain, elle s’envolait en Irlande avec ce sextoy de substitution où elle fêta dans le bourbon et le Kama-sutra sa liberté retrouvée.
    *
    Au même moment, des scénaristes futés s’inspirèrent de cette rocambolesque séquence pour lui tricoter sur mesure Just Married. La comédie très autobiographique racontait l’histoire d’une fille qui s’enfuit en robe blanche au moment de prêter serment devant le prêtre. Julia laissa passer huit ans avant d’accepter ce remake de sa propre vie. Pour qu’elle dise « oui », Garry Marshall mit deux atouts dans sa manche : il lui raconta qu’il s’agissait d’une variation sur le film culte de Mike Nichols, le Lauréat, et recruta Richard Gere, à qui elle ne refusait jamais rien !
     
    L'amour n'a pas de prix
    *
    Erreur de casting
    Quelques mois passent. Exit Jason Patric, friandise exotique. Robert Altman lui demande une petite participation dans The Player. Lyle Lovett joue aussi dans le film. C’est un chanteur de country au visage émacié, au sourire inquiétant, doté de frisettes gominées de rockeur daté. Sur elle, il produit un effet boeuf. En 1993, elle l’épouse et l’installe dans sa fabuleuse propriété de Los Angeles. Durée du bail, vingt-deux mois d’un bonheur fade, dont elle dira : « Au fur et à mesure, nous avons découvert que nous étions plus amis qu’époux. Lyle est le plus gentil, le plus serviable, le plus charmant des hommes. Nos relations ont été remarquables de douceur, de compréhension et de délicatesse. » Charmant euphémisme. Il faut traduire : au lit, Lyle ne faisait pas l’affaire. Défilent alors dans le désordre : Ethan Hawke, qui est sérieux, Daniel Day-Lewis, qui est dangereux, Matthew Perry, dont chacun sait qu’il est le plus chic type de la planète. Dans Friends, ce joke maker est le colocataire de Joe.
    *
    Dans la vie, il escorte Julia une année durant, job épuisant. Car cette fille-bouche est une croqueuse d’hommes. Insatisfaite chronique, elle cherche le grand amour et ne le trouve pas. Quand il est très tourmenté, ce qu’elle ne déteste pas, le type la quitte. Trop lisse et sympa ? C’est elle qui s’enfuit. Heureusement, elle a le choix. Tous les espoirs de Hollywood se damneraient pour goûter à ses baisers fruités. Professionnellement, elle subit une petite traversée du désert. Mais en 1999, coup sur coup, deux succès la remettent en selle. Dans Just Married (ou presque) et Coup de foudre à Notting Hill, le public la plébiscite. Elle redevient la copine préférée, la belle-fille idéale, le coup du siècle. Elle est prête pour le IIIe millénaire. Un acteur de soap, assez beau, l’épaule. Mais Benjamin Bratt, 35 ans, est-il le bon ? « On n’aime pas sortir le soir, confie-t-elle, on se balade dans la nature. On rit, on adore lire et on s’intéresse à Dieu. Ben m’a fait découvrir son église amérindienne. » Il fait l’affaire jusqu’en 2001. Et puis l’insatiable Julia se lasse. Elle croit avoir trouvé l’âme soeur : pas un comédien cette fois, mais un technicien.

    Le prix du bonheur
    *
    Sur le Mexicain qu’elle tourne avec Brad Pitt, le cameraman, Daniel Moder, l’a si bien éclairée qu’elle n’a plus voulu s’en éloigner. Problème cependant : Danny est déjà marié avec Vera. La killeuse ne s’arrête pas à ce genre de détail. Elle porte en public des tee-shirts « Allow Vera » (en gros : Vera, donne ton autorisation à cette liaison), humilie sa rivale et finit – dit-on – par lui offrir une somme substantielle pour qu’elle lâche son Danny. On parle de 400 000 dollars. L’amour n’a pas de prix quand on est une million dollar baby ! En 2002, triomphante, elle passe la bague au doigt du just divorced. Depuis, nageant dans la love attitude, Danny et elle vadrouillent, passent du duplex de New York au ranch du Nouveau Mexique, s’engueulent, se réconcilient.
    *
    Surtout, il la fait mère et la volage se fixe, enfin satisfaite, apparemment sereine. Son sourire radioactif l’atteste. Ils évoluent dans une arche de Noé foutraque : sept chiens, trois enfants – les jumeaux Hazel et Phinnaeus, et le petit Henry. Alléluia ! Cendrillon, 44 ans, riche et célèbre, a enfin trouvé son prince rédempteur. L’actrice la mieux payée du monde, celle dont on aime afficher les mensurations (1,75 m, 52 kg, 95 bonnet B) et les cachets mirifiques, a enfin posé ses bagages. Lucide, rangée, la très hot Julia propose même sa version du bonheur : « J’ai enfin compris qu’un couple, c’est une équipe. Pas un coach et un joueur obéissant. » On souhaite à sa dream team de très bons scores et un destin durable !
     





    [ Annuaire | VIP-Site | Charte | Admin | Contact tellurikwaves ]

    © VIP Blog - Signaler un abus